Il rappelle que la conséquence la plus funeste à ses yeux de cette entreprise de liquidation est le Grand Remplacement en cours des peuples historiques en Europe, achèvement de ce que préparait la liquidation des nations. La première urgence est donc d'y mettre un terme et de redonner à notre peuple tous les moyens de se ressaisir, de reprendre en main son propre destin et de retrouver les voies de son histoire.

Parce que ce qui survient n'est inéluctable que dans le cadre d'un totalitarisme idéologique et d'une dépossession politique, il faut que la France recouvre sa souveraineté, reconstruise un authentique espace politique, et se dégage de l'emprise de l'idéologie mondialiste, de l'universalisme. "L'universel" n'est pas la catégorie phare des Lumières, c'est la catégorie désastreuse par excellence dès lors qu'il se veut un absolu politique, total et sans réplique.

Pour que vive la démocratie il lui faut un cadre qui épouse une communauté d'histoire et de destin, qui s'inscrive dans la tonalité fondamentale propre à chaque peuple, qui soit fondée sur un contrat de civilisation, sur un pacte d'in-nocence, et qui traduise une volonté commune de demeurer dans son être, une volonté qui prend corps dans la transmission, de génération à génération, d’une terre, de paysages, de patrimoines. Sans un tel espace bien défini et donc doté de frontières, pas de politique possible ; et l'on ne voit que trop bien comment le politique a perdu presque toute substance car presque toute possibilité opératoire suite à une perte de souveraineté non pas au profit d'une démocratie de niveau supérieur, mais d'une oligarchie elle-même jouet d'une mondialisation technique non maîtrisée, cependant que le socle de la société, le peuple, connaissait de profonds bouleversements désintégrateurs, le tout provoqué d'un même mouvement.

Que l'on incrimine au premier chef, ou pas, "l'Empire", ou même, tant qu'à faire, ceux qui le manipulent ; que l'on s'inscrive ou non dans une optique nationale, jacobine ; que l'on se pense culturellement européen ou occidental ; que l'on soit "patriote" ou que l'on conçoive plus largement ses racines ; qu'on y soit attaché par la "gauche" ou par la "droite", par conservatisme ou progressisme ; que l'on soit "humaniste" ou que l'on pense qu'il faut désormais dépasser cette conception ; qu'on prenne son départ à la Révolution ou bien avant ; que l'on réfléchisse en termes de chrétienté ou d'Occident : quelles que soient les limites et la configuration de l'horizon que l'on embrasse, quelles que soient les sources auxquelles on s'abreuve de préférence, il y a aujourd'hui pour tous un point cardinal qui est directement menacé de disparition complète. C'est celui de la maîtrise de notre destin, dont le naufrage est précisément organisé par la destruction de tout espace de jeu politique à proprement parler, tout premièrement la Nation, et pour nous la nation française.

Il faut reconstruire l'espace de la démocratie, l'espace du jeu politique, donc recouvrer notre souveraineté, et réaffirmer notre "être au monde" sans faiblesse, avec exigence, tout spécialement auprès des trop nombreux candidats à notre nationalité. Cela devra se faire dans un cadre d'abord "national", et autour d'un corps politique légitime, à redéfinir selon les exigences de cette reprise ; cela pourra ensuite s’élargir en un mouvement européen.

Malgré des analyses parfois divergentes sur la hiérarchie et à certains égards sur la nature profonde des problèmes qu'il faut affronter, ou encore sur certains aspects de l'analyse politique mondiale, au vu de l'urgence et de la gravité de la situation, et afin que la recomposition accélérée de la donne politique française telle qu'on la constate aujourd'hui ne débouche pas sur une étape supplémentaire dans l'effondrement de notre pays, le parti de l'In-nocence s'associe à l'appel du RIF et se propose de jouer tout son rôle dans ce travail d'élaboration, de rapprochement, et d'action politique, dans l'intérêt supérieur de notre pays. " />
Il rappelle que la conséquence la plus funeste à ses yeux de cette entreprise de liquidation est le Grand Remplacement en cours des peuples historiques en Europe, achèvement de ce que préparait la liquidation des nations. La première urgence est donc d'y mettre un terme et de redonner à notre peuple tous les moyens de se ressaisir, de reprendre en main son propre destin et de retrouver les voies de son histoire.

Parce que ce qui survient n'est inéluctable que dans le cadre d'un totalitarisme idéologique et d'une dépossession politique, il faut que la France recouvre sa souveraineté, reconstruise un authentique espace politique, et se dégage de l'emprise de l'idéologie mondialiste, de l'universalisme. "L'universel" n'est pas la catégorie phare des Lumières, c'est la catégorie désastreuse par excellence dès lors qu'il se veut un absolu politique, total et sans réplique.

Pour que vive la démocratie il lui faut un cadre qui épouse une communauté d'histoire et de destin, qui s'inscrive dans la tonalité fondamentale propre à chaque peuple, qui soit fondée sur un contrat de civilisation, sur un pacte d'in-nocence, et qui traduise une volonté commune de demeurer dans son être, une volonté qui prend corps dans la transmission, de génération à génération, d’une terre, de paysages, de patrimoines. Sans un tel espace bien défini et donc doté de frontières, pas de politique possible ; et l'on ne voit que trop bien comment le politique a perdu presque toute substance car presque toute possibilité opératoire suite à une perte de souveraineté non pas au profit d'une démocratie de niveau supérieur, mais d'une oligarchie elle-même jouet d'une mondialisation technique non maîtrisée, cependant que le socle de la société, le peuple, connaissait de profonds bouleversements désintégrateurs, le tout provoqué d'un même mouvement.

Que l'on incrimine au premier chef, ou pas, "l'Empire", ou même, tant qu'à faire, ceux qui le manipulent ; que l'on s'inscrive ou non dans une optique nationale, jacobine ; que l'on se pense culturellement européen ou occidental ; que l'on soit "patriote" ou que l'on conçoive plus largement ses racines ; qu'on y soit attaché par la "gauche" ou par la "droite", par conservatisme ou progressisme ; que l'on soit "humaniste" ou que l'on pense qu'il faut désormais dépasser cette conception ; qu'on prenne son départ à la Révolution ou bien avant ; que l'on réfléchisse en termes de chrétienté ou d'Occident : quelles que soient les limites et la configuration de l'horizon que l'on embrasse, quelles que soient les sources auxquelles on s'abreuve de préférence, il y a aujourd'hui pour tous un point cardinal qui est directement menacé de disparition complète. C'est celui de la maîtrise de notre destin, dont le naufrage est précisément organisé par la destruction de tout espace de jeu politique à proprement parler, tout premièrement la Nation, et pour nous la nation française.

Il faut reconstruire l'espace de la démocratie, l'espace du jeu politique, donc recouvrer notre souveraineté, et réaffirmer notre "être au monde" sans faiblesse, avec exigence, tout spécialement auprès des trop nombreux candidats à notre nationalité. Cela devra se faire dans un cadre d'abord "national", et autour d'un corps politique légitime, à redéfinir selon les exigences de cette reprise ; cela pourra ensuite s’élargir en un mouvement européen.

Malgré des analyses parfois divergentes sur la hiérarchie et à certains égards sur la nature profonde des problèmes qu'il faut affronter, ou encore sur certains aspects de l'analyse politique mondiale, au vu de l'urgence et de la gravité de la situation, et afin que la recomposition accélérée de la donne politique française telle qu'on la constate aujourd'hui ne débouche pas sur une étape supplémentaire dans l'effondrement de notre pays, le parti de l'In-nocence s'associe à l'appel du RIF et se propose de jouer tout son rôle dans ce travail d'élaboration, de rapprochement, et d'action politique, dans l'intérêt supérieur de notre pays. " />
Il rappelle que la conséquence la plus funeste à ses yeux de cette entreprise de liquidation est le Grand Remplacement en cours des peuples historiques en Europe, achèvement de ce que préparait la liquidation des nations. La première urgence est donc d'y mettre un terme et de redonner à notre peuple tous les moyens de se ressaisir, de reprendre en main son propre destin et de retrouver les voies de son histoire.

Parce que ce qui survient n'est inéluctable que dans le cadre d'un totalitarisme idéologique et d'une dépossession politique, il faut que la France recouvre sa souveraineté, reconstruise un authentique espace politique, et se dégage de l'emprise de l'idéologie mondialiste, de l'universalisme. "L'universel" n'est pas la catégorie phare des Lumières, c'est la catégorie désastreuse par excellence dès lors qu'il se veut un absolu politique, total et sans réplique.

Pour que vive la démocratie il lui faut un cadre qui épouse une communauté d'histoire et de destin, qui s'inscrive dans la tonalité fondamentale propre à chaque peuple, qui soit fondée sur un contrat de civilisation, sur un pacte d'in-nocence, et qui traduise une volonté commune de demeurer dans son être, une volonté qui prend corps dans la transmission, de génération à génération, d’une terre, de paysages, de patrimoines. Sans un tel espace bien défini et donc doté de frontières, pas de politique possible ; et l'on ne voit que trop bien comment le politique a perdu presque toute substance car presque toute possibilité opératoire suite à une perte de souveraineté non pas au profit d'une démocratie de niveau supérieur, mais d'une oligarchie elle-même jouet d'une mondialisation technique non maîtrisée, cependant que le socle de la société, le peuple, connaissait de profonds bouleversements désintégrateurs, le tout provoqué d'un même mouvement.

Que l'on incrimine au premier chef, ou pas, "l'Empire", ou même, tant qu'à faire, ceux qui le manipulent ; que l'on s'inscrive ou non dans une optique nationale, jacobine ; que l'on se pense culturellement européen ou occidental ; que l'on soit "patriote" ou que l'on conçoive plus largement ses racines ; qu'on y soit attaché par la "gauche" ou par la "droite", par conservatisme ou progressisme ; que l'on soit "humaniste" ou que l'on pense qu'il faut désormais dépasser cette conception ; qu'on prenne son départ à la Révolution ou bien avant ; que l'on réfléchisse en termes de chrétienté ou d'Occident : quelles que soient les limites et la configuration de l'horizon que l'on embrasse, quelles que soient les sources auxquelles on s'abreuve de préférence, il y a aujourd'hui pour tous un point cardinal qui est directement menacé de disparition complète. C'est celui de la maîtrise de notre destin, dont le naufrage est précisément organisé par la destruction de tout espace de jeu politique à proprement parler, tout premièrement la Nation, et pour nous la nation française.

Il faut reconstruire l'espace de la démocratie, l'espace du jeu politique, donc recouvrer notre souveraineté, et réaffirmer notre "être au monde" sans faiblesse, avec exigence, tout spécialement auprès des trop nombreux candidats à notre nationalité. Cela devra se faire dans un cadre d'abord "national", et autour d'un corps politique légitime, à redéfinir selon les exigences de cette reprise ; cela pourra ensuite s’élargir en un mouvement européen.

Malgré des analyses parfois divergentes sur la hiérarchie et à certains égards sur la nature profonde des problèmes qu'il faut affronter, ou encore sur certains aspects de l'analyse politique mondiale, au vu de l'urgence et de la gravité de la situation, et afin que la recomposition accélérée de la donne politique française telle qu'on la constate aujourd'hui ne débouche pas sur une étape supplémentaire dans l'effondrement de notre pays, le parti de l'In-nocence s'associe à l'appel du RIF et se propose de jouer tout son rôle dans ce travail d'élaboration, de rapprochement, et d'action politique, dans l'intérêt supérieur de notre pays. " />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Soutien à l'appel du RIF
Le parti de l'In-nocence partage avec le RIF (Rassemblement pour l'Indépendance de la France) le sentiment de vive inquiétude que provoque l'état de notre pays, sa déréliction politique, son affaiblissement et son appauvrissement constants, son état de déculturation avancée, sa soumission au totalitarisme universaliste qui couvre la marche forcée vers une "gouvernance" mondiale échappant à tout contrôle démocratique et entraînant par force tous les peuples et toutes les cultures dans l’illusion d’un creuset universel qui ne saurait être qu’un melting-pot fallacieux, mortifère et gros des pires violences, n'ayant comme ultime débouché que l’alternative entre le retour à la barbarie dans la guerre de toutes les communautés contre toutes les autres, sorte de libanisation générale, et une nouvelle version d'un ordre total de la pire espèce.

Il rappelle que la conséquence la plus funeste à ses yeux de cette entreprise de liquidation est le Grand Remplacement en cours des peuples historiques en Europe, achèvement de ce que préparait la liquidation des nations. La première urgence est donc d'y mettre un terme et de redonner à notre peuple tous les moyens de se ressaisir, de reprendre en main son propre destin et de retrouver les voies de son histoire.

Parce que ce qui survient n'est inéluctable que dans le cadre d'un totalitarisme idéologique et d'une dépossession politique, il faut que la France recouvre sa souveraineté, reconstruise un authentique espace politique, et se dégage de l'emprise de l'idéologie mondialiste, de l'universalisme. "L'universel" n'est pas la catégorie phare des Lumières, c'est la catégorie désastreuse par excellence dès lors qu'il se veut un absolu politique, total et sans réplique.

Pour que vive la démocratie il lui faut un cadre qui épouse une communauté d'histoire et de destin, qui s'inscrive dans la tonalité fondamentale propre à chaque peuple, qui soit fondée sur un contrat de civilisation, sur un pacte d'in-nocence, et qui traduise une volonté commune de demeurer dans son être, une volonté qui prend corps dans la transmission, de génération à génération, d’une terre, de paysages, de patrimoines. Sans un tel espace bien défini et donc doté de frontières, pas de politique possible ; et l'on ne voit que trop bien comment le politique a perdu presque toute substance car presque toute possibilité opératoire suite à une perte de souveraineté non pas au profit d'une démocratie de niveau supérieur, mais d'une oligarchie elle-même jouet d'une mondialisation technique non maîtrisée, cependant que le socle de la société, le peuple, connaissait de profonds bouleversements désintégrateurs, le tout provoqué d'un même mouvement.

Que l'on incrimine au premier chef, ou pas, "l'Empire", ou même, tant qu'à faire, ceux qui le manipulent ; que l'on s'inscrive ou non dans une optique nationale, jacobine ; que l'on se pense culturellement européen ou occidental ; que l'on soit "patriote" ou que l'on conçoive plus largement ses racines ; qu'on y soit attaché par la "gauche" ou par la "droite", par conservatisme ou progressisme ; que l'on soit "humaniste" ou que l'on pense qu'il faut désormais dépasser cette conception ; qu'on prenne son départ à la Révolution ou bien avant ; que l'on réfléchisse en termes de chrétienté ou d'Occident : quelles que soient les limites et la configuration de l'horizon que l'on embrasse, quelles que soient les sources auxquelles on s'abreuve de préférence, il y a aujourd'hui pour tous un point cardinal qui est directement menacé de disparition complète. C'est celui de la maîtrise de notre destin, dont le naufrage est précisément organisé par la destruction de tout espace de jeu politique à proprement parler, tout premièrement la Nation, et pour nous la nation française.

Il faut reconstruire l'espace de la démocratie, l'espace du jeu politique, donc recouvrer notre souveraineté, et réaffirmer notre "être au monde" sans faiblesse, avec exigence, tout spécialement auprès des trop nombreux candidats à notre nationalité. Cela devra se faire dans un cadre d'abord "national", et autour d'un corps politique légitime, à redéfinir selon les exigences de cette reprise ; cela pourra ensuite s’élargir en un mouvement européen.

Malgré des analyses parfois divergentes sur la hiérarchie et à certains égards sur la nature profonde des problèmes qu'il faut affronter, ou encore sur certains aspects de l'analyse politique mondiale, au vu de l'urgence et de la gravité de la situation, et afin que la recomposition accélérée de la donne politique française telle qu'on la constate aujourd'hui ne débouche pas sur une étape supplémentaire dans l'effondrement de notre pays, le parti de l'In-nocence s'associe à l'appel du RIF et se propose de jouer tout son rôle dans ce travail d'élaboration, de rapprochement, et d'action politique, dans l'intérêt supérieur de notre pays.
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