Le parti de l'In-nocence n'oublie pas, lui, les méthodes du FLN pour obliger une partie des Algériens à manifester, tout comme les méthodes atroces et gratuitement inhumaines dont il s'est rendu seul coupable sur le territoire de l'Algérie même tant à l'encontre de Français que de "compatriotes" récalcitrants.

Le parti de l'In-nocence voit dans un tel déni de la réalité, une telle malversation, un tel parti pris idéologique, poindre la mise à l'écart pure et simple des Français fidèles à la France et à son histoire. Il voit dans cette commémoration, à laquelle s'est précipité sans vergogne Monsieur Hollande, et qui n'a pas suscité la moindre critique du pouvoir en place ou de la majorité au pouvoir, la preuve supplémentaire de la collusion de la gauche et de la droite dans l'imposture idéologique qui œuvre à une "France d'Après" rendue possible à force d'oubli organisé, de matraquage idéologique, de falsifications, d'embrigadement de la jeunesse, et de calomnies chaque jour plus éhontées sur la France d'Avant." />
Le parti de l'In-nocence n'oublie pas, lui, les méthodes du FLN pour obliger une partie des Algériens à manifester, tout comme les méthodes atroces et gratuitement inhumaines dont il s'est rendu seul coupable sur le territoire de l'Algérie même tant à l'encontre de Français que de "compatriotes" récalcitrants.

Le parti de l'In-nocence voit dans un tel déni de la réalité, une telle malversation, un tel parti pris idéologique, poindre la mise à l'écart pure et simple des Français fidèles à la France et à son histoire. Il voit dans cette commémoration, à laquelle s'est précipité sans vergogne Monsieur Hollande, et qui n'a pas suscité la moindre critique du pouvoir en place ou de la majorité au pouvoir, la preuve supplémentaire de la collusion de la gauche et de la droite dans l'imposture idéologique qui œuvre à une "France d'Après" rendue possible à force d'oubli organisé, de matraquage idéologique, de falsifications, d'embrigadement de la jeunesse, et de calomnies chaque jour plus éhontées sur la France d'Avant." />
Le parti de l'In-nocence n'oublie pas, lui, les méthodes du FLN pour obliger une partie des Algériens à manifester, tout comme les méthodes atroces et gratuitement inhumaines dont il s'est rendu seul coupable sur le territoire de l'Algérie même tant à l'encontre de Français que de "compatriotes" récalcitrants.

Le parti de l'In-nocence voit dans un tel déni de la réalité, une telle malversation, un tel parti pris idéologique, poindre la mise à l'écart pure et simple des Français fidèles à la France et à son histoire. Il voit dans cette commémoration, à laquelle s'est précipité sans vergogne Monsieur Hollande, et qui n'a pas suscité la moindre critique du pouvoir en place ou de la majorité au pouvoir, la preuve supplémentaire de la collusion de la gauche et de la droite dans l'imposture idéologique qui œuvre à une "France d'Après" rendue possible à force d'oubli organisé, de matraquage idéologique, de falsifications, d'embrigadement de la jeunesse, et de calomnies chaque jour plus éhontées sur la France d'Avant." />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur l'indignité d'une commémoration falsificatrice
Le parti de l’In-nocence est indigné par la récente commémoration du prétendu massacre du 17 octobre 61. La thèse du massacre, ce jour-là, de plusieurs centaines d'Algériens, avancée par l'historien amateur et militant communiste Einaudi — lequel s'est contenté de croire sur paroles les témoignages d'Algériens affiliés au FLN ou sous son influence —, a été clairement et parfaitement réfutée par une enquête menée à l'initiative du premier ministre Lionel Jospin et confiée par le ministre de l'intérieur Jean-Pierre Chevènement à des historiens de métier au dessus de tout soupçon partisan et qui avaient conclu à une vingtaine de morts, ce qui est suffisamment dramatique pour n'avoir pas à être exagéré.

Le parti de l'In-nocence rappelle que la mémoire non seulement ne saurait être mensongère mais qu'elle ne doit pas être sélective. Il rappelle que de janvier 1955 à juillet 1962, les tueurs du FLN assassinèrent en France métropolitaine 6000 Algériens et en blessèrent 9000, par l'entremise de l'"organisation spéciale" du FLN — parce qu'ils appartenaient au MNA ; qu'ils refusaient de payer l'impôt révolutionnaire ; qu'ils soutenaient la France ; qu'ils buvaient de l'alcool ou vivaient avec des Françaises. Que, le 26 mars 1962, devant la Grande Poste de la rue d’Isly à Alger, les forces de l’ordre ne firent pas preuve de la même retenue que le 17 octobre à Paris quand elles ouvrirent directement le feu sur une foule de civils français non armés, faisant entre 70 et 80 morts et 150 blessés. Ces victimes, bien réelles celles-là, n'ont droit qu'au mépris et à l'oubli. Qu'à cette époque des dizaines de gardiens de la paix tombaient sous les balles du FLN à Paris. Que dans la Seine ce sont des dizaines de cadavres poignardés, égorgés, torturés, qu'on a retrouvés tout au long de l'année 1961 et jetés au fil du courant par les hommes de main de la Wilaya.

Le parti de l'In-nocence n'oublie pas, lui, les méthodes du FLN pour obliger une partie des Algériens à manifester, tout comme les méthodes atroces et gratuitement inhumaines dont il s'est rendu seul coupable sur le territoire de l'Algérie même tant à l'encontre de Français que de "compatriotes" récalcitrants.

Le parti de l'In-nocence voit dans un tel déni de la réalité, une telle malversation, un tel parti pris idéologique, poindre la mise à l'écart pure et simple des Français fidèles à la France et à son histoire. Il voit dans cette commémoration, à laquelle s'est précipité sans vergogne Monsieur Hollande, et qui n'a pas suscité la moindre critique du pouvoir en place ou de la majorité au pouvoir, la preuve supplémentaire de la collusion de la gauche et de la droite dans l'imposture idéologique qui œuvre à une "France d'Après" rendue possible à force d'oubli organisé, de matraquage idéologique, de falsifications, d'embrigadement de la jeunesse, et de calomnies chaque jour plus éhontées sur la France d'Avant.
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