Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur la mise en place officielle de la tyrannie remplaciste
Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) constatent qu’en le mois qui s’achève le macronisme, section française du remplacisme global, a déjà profité de son Assemblée nationale hébétée — sa “matière parlementaire indifférenciée”, en somme… — pour mettre en place officiellement la tyrannie remplaciste et la criminalisation de toute résistance à la substitution ethnique et civilisationnelle. Dans la nuit du 24 au 25 juillet, les députés ont intégré dans le code pénal une peine d’inéligibilité pour les personnes déclarées coupables de faits liés au racisme, à l’antisémitisme, au négationnisme, à l’homophobie et à toute forme de discrimination. Concrètement, les personnes condamnées pour ces délits seront déclarées inéligibles pour 10 ans, sauf décision motivée du tribunal. La “provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à caractère racial” (art. 24 alinéa 7 de la loi du 29 juillet 1881) est au nombre de ces délits. Or on sait de reste que ces qualifications souvent tout artificielles, surtout la dernière, servent en fait, la plupart du temps, à faire taire tous ceux qui prétendent résister au Grand Remplacement. Avec les nouvelles dispositions, ceux-là seront purement et simplement exclus de la communauté nationale. Ils deviendront, comme notre peuple, des morts-vivants.

Le parti de l’In-nocence et le NON notent qu’après le Canada et la Suède la France devient le premier pays à interdire de fait toute opposition à l’invasion, à la conquête, à la colonisation, à l’islamisation. En Europe, les gouvernements au pouvoir, à commencer par le nôtre, disent à leurs peuples indigènes : « Disparaissez, noyez-vous dans la masse, faites-vous oublier. Non seulement vous n’existez pas mais vous n’avez jamais existé ». L’antiracisme devenu fou en vient, comme le portait son nom, et par un tour complet de la spirale du sens, à promouvoir de plus en plus expressément le génocide par substitution d’une race, la moins nombreuse et la moins compatible, estime-t-il, avec la production industrielle de la Matière Humaine Indifférenciée (MHI).
1801