Le parti de l’In-nocence constate cependant que ce "Haut Conseil" ne déroge en rien à la doxa mortifère régnant sans partage depuis des décennies et prolonge ainsi l'aveuglement volontaire d'"élites" médiatico-politiques définitivement étrangères à un peuple qu'elles méprisent et qu'elles se réjouissent, au fond, de voir disparaître. En effet, face au constat parmi d'autres que « la maîtrise du français, incontournable, nécessaire, est parfois rejetée », il ne trouve rien de mieux que d'en rendre responsable l'école elle-même, puisque c'est elle qui « peine à intégrer les enfants d'immigrés » ; et, face à la constatation inévitable d'un « espace scolaire … aujourd'hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l'expression du communautarisme, d'une identité religieuse, voire du rejet de la culture et des valeurs de la République française », il en conclut au déficit de mixité sociale, c'est-à-dire ethnique, qu'il faudrait donc combattre plus et mieux, par la force s'il le faut. Autrement dit : de cette situation désastreuse et ruineuse c'est le pays d'accueil, c'est le peuple d'accueil, qui sont exclusivement responsables, ce sont eux seuls qui doivent unilatéralement se réformer encore et toujours pour, enfin, faire toute la place à des migrants souvent sans scrupules et qui se conduisent de plus en plus souvent comme en pays conquis." />
Le parti de l’In-nocence constate cependant que ce "Haut Conseil" ne déroge en rien à la doxa mortifère régnant sans partage depuis des décennies et prolonge ainsi l'aveuglement volontaire d'"élites" médiatico-politiques définitivement étrangères à un peuple qu'elles méprisent et qu'elles se réjouissent, au fond, de voir disparaître. En effet, face au constat parmi d'autres que « la maîtrise du français, incontournable, nécessaire, est parfois rejetée », il ne trouve rien de mieux que d'en rendre responsable l'école elle-même, puisque c'est elle qui « peine à intégrer les enfants d'immigrés » ; et, face à la constatation inévitable d'un « espace scolaire … aujourd'hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l'expression du communautarisme, d'une identité religieuse, voire du rejet de la culture et des valeurs de la République française », il en conclut au déficit de mixité sociale, c'est-à-dire ethnique, qu'il faudrait donc combattre plus et mieux, par la force s'il le faut. Autrement dit : de cette situation désastreuse et ruineuse c'est le pays d'accueil, c'est le peuple d'accueil, qui sont exclusivement responsables, ce sont eux seuls qui doivent unilatéralement se réformer encore et toujours pour, enfin, faire toute la place à des migrants souvent sans scrupules et qui se conduisent de plus en plus souvent comme en pays conquis." />
Le parti de l’In-nocence constate cependant que ce "Haut Conseil" ne déroge en rien à la doxa mortifère régnant sans partage depuis des décennies et prolonge ainsi l'aveuglement volontaire d'"élites" médiatico-politiques définitivement étrangères à un peuple qu'elles méprisent et qu'elles se réjouissent, au fond, de voir disparaître. En effet, face au constat parmi d'autres que « la maîtrise du français, incontournable, nécessaire, est parfois rejetée », il ne trouve rien de mieux que d'en rendre responsable l'école elle-même, puisque c'est elle qui « peine à intégrer les enfants d'immigrés » ; et, face à la constatation inévitable d'un « espace scolaire … aujourd'hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l'expression du communautarisme, d'une identité religieuse, voire du rejet de la culture et des valeurs de la République française », il en conclut au déficit de mixité sociale, c'est-à-dire ethnique, qu'il faudrait donc combattre plus et mieux, par la force s'il le faut. Autrement dit : de cette situation désastreuse et ruineuse c'est le pays d'accueil, c'est le peuple d'accueil, qui sont exclusivement responsables, ce sont eux seuls qui doivent unilatéralement se réformer encore et toujours pour, enfin, faire toute la place à des migrants souvent sans scrupules et qui se conduisent de plus en plus souvent comme en pays conquis." />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur un rapport du Haut Conseil à l'intégration
Le parti de l’In-nocence remarque que le Haut Conseil à l'intégration, dans un rapport qu'il va remettre au premier ministre, confirme le constat le plus accablant qui se puisse faire de la situation de l'école et de notre société, en proie aux conséquences d'un "vivre ensemble" à marche forcée aussi faux et ridicule que catastrophique. Ce "vivre ensemble" est invivable parce qu'il confond tout, c'est le cas de le dire, et dénature la dialectique de l'Autre et du Même, du Proche et du Lointain, du Propre et de l'Étrangèreté. Il est tout bonnement impossible sur la base d'un multiculturalisme qui ne fait que favoriser tous les communautarismes aux dépens de la République, et d'un multiethnisme qui suscite une tribalisation accélérée de la Cité, deux vecteurs d'une régression politique, culturelle et civilisationnelle sans précédent dans notre pays par son ampleur et sa rapidité.

Le parti de l’In-nocence constate cependant que ce "Haut Conseil" ne déroge en rien à la doxa mortifère régnant sans partage depuis des décennies et prolonge ainsi l'aveuglement volontaire d'"élites" médiatico-politiques définitivement étrangères à un peuple qu'elles méprisent et qu'elles se réjouissent, au fond, de voir disparaître. En effet, face au constat parmi d'autres que « la maîtrise du français, incontournable, nécessaire, est parfois rejetée », il ne trouve rien de mieux que d'en rendre responsable l'école elle-même, puisque c'est elle qui « peine à intégrer les enfants d'immigrés » ; et, face à la constatation inévitable d'un « espace scolaire … aujourd'hui le lieu de revendications nouvelles qui ressortent de l'expression du communautarisme, d'une identité religieuse, voire du rejet de la culture et des valeurs de la République française », il en conclut au déficit de mixité sociale, c'est-à-dire ethnique, qu'il faudrait donc combattre plus et mieux, par la force s'il le faut. Autrement dit : de cette situation désastreuse et ruineuse c'est le pays d'accueil, c'est le peuple d'accueil, qui sont exclusivement responsables, ce sont eux seuls qui doivent unilatéralement se réformer encore et toujours pour, enfin, faire toute la place à des migrants souvent sans scrupules et qui se conduisent de plus en plus souvent comme en pays conquis.
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