Le parti de l'In-nocence note que cette volonté de ne pas voir la réalité est portée par "Le Monde" jusqu’au point de l'affirmation tout à fait erronée puisque le titre et l’imprécision de l’article lui-même suggèrent que quarante-trois pour cent des jeunes hommes de ces quartiers sont au chômage, alors qu’il s’agit de quarante-trois pour cent des jeunes hommes actifs, soit moins de vingt pour cent de la population concernée, ce qui, tout en étant élevé, ne l’est pas de la même manière.

Le parti de l'In-nocence relève que ces chiffres effrayants du chômage des jeunes adultes actifs dans ces dites "zones urbaines sensibles" gagneraient sans doute, avant d'être interprétés comme les signes d'inégalités considérables au sein de la société française (dont celle-ci est implicitement rendue responsable) à être confrontés à ce qu'ils sont dans les pays d'origine des familles de ces jeunes adultes actifs, ce qui permettrait de voir en eux une constante de civilisation, à laquelle, il est vrai, la société française est éminemment propice. Que sept pour cent des habitants quittent le quartier et soient remplacés « par de nouveaux habitants, généralement en situation de précarité accrue par rapport aux partants » montre assez, au demeurant, combien les situations prétendument décrites ou analysées ne sauraient l'être, en fait, sans une prise en compte sérieuse de l'immigration de masse et de ses conséquences — lesquelles offrent matière, en effet, à un accroissement continu des inégalités, difficilement dénonçable, en bonne logique, par les champions de cette même immigration. " />
Le parti de l'In-nocence note que cette volonté de ne pas voir la réalité est portée par "Le Monde" jusqu’au point de l'affirmation tout à fait erronée puisque le titre et l’imprécision de l’article lui-même suggèrent que quarante-trois pour cent des jeunes hommes de ces quartiers sont au chômage, alors qu’il s’agit de quarante-trois pour cent des jeunes hommes actifs, soit moins de vingt pour cent de la population concernée, ce qui, tout en étant élevé, ne l’est pas de la même manière.

Le parti de l'In-nocence relève que ces chiffres effrayants du chômage des jeunes adultes actifs dans ces dites "zones urbaines sensibles" gagneraient sans doute, avant d'être interprétés comme les signes d'inégalités considérables au sein de la société française (dont celle-ci est implicitement rendue responsable) à être confrontés à ce qu'ils sont dans les pays d'origine des familles de ces jeunes adultes actifs, ce qui permettrait de voir en eux une constante de civilisation, à laquelle, il est vrai, la société française est éminemment propice. Que sept pour cent des habitants quittent le quartier et soient remplacés « par de nouveaux habitants, généralement en situation de précarité accrue par rapport aux partants » montre assez, au demeurant, combien les situations prétendument décrites ou analysées ne sauraient l'être, en fait, sans une prise en compte sérieuse de l'immigration de masse et de ses conséquences — lesquelles offrent matière, en effet, à un accroissement continu des inégalités, difficilement dénonçable, en bonne logique, par les champions de cette même immigration. " />
Le parti de l'In-nocence note que cette volonté de ne pas voir la réalité est portée par "Le Monde" jusqu’au point de l'affirmation tout à fait erronée puisque le titre et l’imprécision de l’article lui-même suggèrent que quarante-trois pour cent des jeunes hommes de ces quartiers sont au chômage, alors qu’il s’agit de quarante-trois pour cent des jeunes hommes actifs, soit moins de vingt pour cent de la population concernée, ce qui, tout en étant élevé, ne l’est pas de la même manière.

Le parti de l'In-nocence relève que ces chiffres effrayants du chômage des jeunes adultes actifs dans ces dites "zones urbaines sensibles" gagneraient sans doute, avant d'être interprétés comme les signes d'inégalités considérables au sein de la société française (dont celle-ci est implicitement rendue responsable) à être confrontés à ce qu'ils sont dans les pays d'origine des familles de ces jeunes adultes actifs, ce qui permettrait de voir en eux une constante de civilisation, à laquelle, il est vrai, la société française est éminemment propice. Que sept pour cent des habitants quittent le quartier et soient remplacés « par de nouveaux habitants, généralement en situation de précarité accrue par rapport aux partants » montre assez, au demeurant, combien les situations prétendument décrites ou analysées ne sauraient l'être, en fait, sans une prise en compte sérieuse de l'immigration de masse et de ses conséquences — lesquelles offrent matière, en effet, à un accroissement continu des inégalités, difficilement dénonçable, en bonne logique, par les champions de cette même immigration. " />
Le site du parti de l'In-nocence

 

Communiqués

 


Sur un rapport inédit de l'Observatoire des zones urbaines sensibles
Le parti de l'In-nocence remarque, à l'occasion de la publication par le journal "Le Monde" d'un rapport inédit de l'"Observatoire des zones urbaines sensibles", à quel point la langue se venge et combien des expressions aussi ridicules et mensongères que "quartiers populaires" (dans sa nouvelle acception) ou "zones urbaines sensibles" rendent absolument impossible toute appréhension de la réalité des situations — mais sans doute est-ce pour cela qu'elles ont été inventées...

Le parti de l'In-nocence note que cette volonté de ne pas voir la réalité est portée par "Le Monde" jusqu’au point de l'affirmation tout à fait erronée puisque le titre et l’imprécision de l’article lui-même suggèrent que quarante-trois pour cent des jeunes hommes de ces quartiers sont au chômage, alors qu’il s’agit de quarante-trois pour cent des jeunes hommes actifs, soit moins de vingt pour cent de la population concernée, ce qui, tout en étant élevé, ne l’est pas de la même manière.

Le parti de l'In-nocence relève que ces chiffres effrayants du chômage des jeunes adultes actifs dans ces dites "zones urbaines sensibles" gagneraient sans doute, avant d'être interprétés comme les signes d'inégalités considérables au sein de la société française (dont celle-ci est implicitement rendue responsable) à être confrontés à ce qu'ils sont dans les pays d'origine des familles de ces jeunes adultes actifs, ce qui permettrait de voir en eux une constante de civilisation, à laquelle, il est vrai, la société française est éminemment propice. Que sept pour cent des habitants quittent le quartier et soient remplacés « par de nouveaux habitants, généralement en situation de précarité accrue par rapport aux partants » montre assez, au demeurant, combien les situations prétendument décrites ou analysées ne sauraient l'être, en fait, sans une prise en compte sérieuse de l'immigration de masse et de ses conséquences — lesquelles offrent matière, en effet, à un accroissement continu des inégalités, difficilement dénonçable, en bonne logique, par les champions de cette même immigration.
936