Vannes sur Medjerda

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Citation
Mais on peut s’étonner qu’en France, des islamistes agissent désormais comme en Tunisie par des méthodes d’intimidation et d’extrême violence

L'ennemi est dans nos murs.

"d’islamistes usant de bombes lacrymogènes et de pierres."

Des pierres, des pierres pour les mécréants, toujours des pierres...

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Charmants.

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Peut-être devrait-on leur offrir Éloge moral du paraître.

La police de Manuel Valls est-elle intervenue efficacement ou les policiers craignent-ils désormais d'être accusés de harcèlement moral ?

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Sur la photo, on voit des "blancs". Ce sont des Turcs ou de ces paumés convertis, tels que décrits par Morgan Sportès dans "Tout, tout de suite" ?

Je sais bien qu'il ne faut pas discriminer au faciès mais ces garçons, à l'allure sympathique, ont bien la tête de l'emploi !

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Pendant les émeutes de 2005, un collègue de travail étranger m'avait demandé quand est-ce, qu'en France, on envoyait l'armée. Je lui avais répondu que mon pays n'étant plus tout à fait un État de droit, la donne avait changé.

Là, il suffisait de leur rentrer vaillamment dedans, en profitant de l'occasion pour expulser ou démanteler ce qui pouvait l'être.

Peut-être que le jour où il y aura un blessé grave, voire un mort, les autorités bougeront le petit doigt...Encore faut-il ne pas redouter la bavure, les articles vengeurs et hystériques de Libération, les cris d'orfraie des "assos", j'en passe et des meilleures.

Je crois qu'il est très difficile d'envisager le moindre seuil qui entraînerait une réaction de l'état, étant donné ce qui a déjà eu lieu depuis une décennie.

Citation
Pierre Jean C.
Pendant les émeutes de 2005, un collègue de travail étranger m'avait demandé quand est-ce, qu'en France, on envoyait l'armée. Je lui avais répondu que mon pays n'étant plus tout à fait un État de droit, la donne avait changé.

Là, il suffisait de leur rentrer vaillamment dedans, en profitant de l'occasion pour expulser ou démanteler ce qui pouvait l'être.

Peut-être que le jour où il y aura un blessé grave, voire un mort, les autorités bougeront le petit doigt...Encore faut-il ne pas redouter la bavure, les articles vengeurs et hystériques de Libération, les cris d'orfraie des "assos", j'en passe et des meilleurs.

Il ne rentre pas dans la mission de l'armée de faire le ménage à l'intérieur (ou alors, il faudrait que la situation soit une guerre civile bien avancée, état d'urgence, couvre-feu tous les soirs partout etc). Les militaires sont formés pour combattre une armée, pas pour envoyer des roquettes sur une barre du 93.

Par rapport au fameux mort déclenchant: j'y ai cru, je n'y crois plus. La racaille islamique a déjà au moins deux policiers à son tableau de chasse (une policière municipale en 2010 et un motard des douanes en 2011) et la masse des Français anonymes sacrifie environ une victime par jour sur l'autel du multiculturalisme.

Les accidents de la route nous coûtent six morts par jour. Peut-on vraiment comparer ces chiffres? Ceux qui prennent la parole pour dénoncer la violence routière ne sont pas persécutés. On a besoin de se déplacer, mais a-t-on absolument besoin de supporter la délinquance d'importation?

Islamistes PS mêmes, combattants....

Je suis d'accord avec Emmanuel Michon. Mais dans ce cas, quel pourrait être un élément déclencheur ? Que le fils d'un dignitaire du régime connaisse un sort similaire à celui d'Ilan Halimi, dans une banlieue chaude ?
Ce qui m'étonne : on dirait que les incivilités les plus marquantes touchent rarement des personnes d'influence (le député Jacques Myard s'est fait prendre à partie par un islamiste de choc ; mais c'était Myard, qui est déjà averti, et pas Filipetti ou une députée PS...).

Il y a quelque part en France un mystérieux bouton dissimulé qui déclenche la révolution, le tout est de le trouver, après quoi tout ira bien.

Non, je crois que la solution explosive n'est que la traduction du désir d'une résolution douloureuse mais courte, hélas la réalité ne devrait pas suivre ce chemin.

De façon assez triviale, nous allons passer par toutes les couleurs de l'envenimement, où chaque étape sera commentée de «je n'aurais jamais cru que nous en arriverions là»; je veux croire, en ce qui me concerne, à un retour de balancier assez ferme dans un horizon 20-30 ans, avec autant d'abus dans la rigueur qu'il y en eut dans le laxisme, et la pente sera beaucoup plus longue à remonter qu'elle fut à descendre.

Si ce n'est pas cela, c'est un tableau proche des conclusions de cet éditorial du PI qui nous attend: autant aller directement se jeter dans le canal.

Bruxelles n'est pas en reste :
Le Figaro

Au Brésil et aux États-Unis, pour réprimer des émeutes ou nettoyer des quartiers tenus par la racaille, c'est bien l'armée que l'on envoie. Concernant par exemple l'islamo-délinquance, couplée au grand banditisme, qui sévit actuellement dans les quartiers Nord de Marseille, les spécialistes sont d'accord sur le fait qu'une intervention musclée de forces armées mettrait fin à ce fléau en quelques jours.

La police nationale, y compris ses CRS, est totalement castrée, inhibée. Puis dans une société où de jeunes juifs sont attaqués à coups de marteau, seule une armée formée à la lutte contre les périls qu'engendre la présence arabo-musulmane serait en mesure de rétablir l'ordre public.

Rassurant.
(Chers In-nocents, coupez éventuellement le son...)

video: [www.youtube.com]

Une fois de plus, c'est des salafistes en toc, les gars, des fuyards en puissance !

Glissement sémantique : une trentaine de jeunes vannetais, en désaccord avec la présence de cette assemblée dans la cité des Vénètes...

Il me semble que la formule "guerre civile" n'est pertinente que si elle désigne un conflit armé entre concitoyens et compatriotes (même si les factions font appel aux puissances étrangères, comme au XVI°s). Or un citoyen français salafiste partage-t-il avec les autres Français la conscience d'appartenir à la même patrie, et à la même communauté d'histoire et de valeurs ? Ce concitoyen est-il mon compatriote ?

Citation
Ce concitoyen est-il mon compatriote ?

Bien sûr que non. Rappellons-nous Moussaoui qui refusait absolument d'être désigné comme francais alors que ces imbéciles de journalistes répétaient à l'époque cent fois par jour "Moussaoui le francais".

"Ce concitoyen est-il mon compatriote ?"
Cher Henri Bès, vous tapez, selon moi, dans le mille.Être compatriotes c'est se référer à la même Mère-Patrie.Or pour ces gens-là, soit la Mère-Patrie reste leur pays d'origine vers lequel tournent sans cesse leurs regards ainsi que leurs pensées émues et dans la culture duquel ils veulent être éduqués, soit c'est la grande matrice de l'umma. Dans les deux cas ce ne sont donc pas nos compatriotes mais de simples citoyens français de papiers.

D'ailleurs l'amour qu'ils vouent à leur patrie d'origine (à grand renfort de patriotiques drapeaux les jours de mariage) ne semble pas bien payé de retour, comme il arrive souvent parmi les exilés. Ceci pourrait expliquer peut-être le succès du mythe de l'umma dans les milieux immigrés : elle serait un objet de rêve et de désir plus malléable qu'une réalité arabe complexe. Ce mythe s'incarne dans le réel sous la forme de voiles féminins, qui se multiplient dans la rue de manière alarmante (pour moi).

Entièrement d'accord avec les messages d'H. Bès et Cassandre.


"Être compatriotes c'est se référer à la même Mère-Patrie"


Très juste, mais nous ne retrouverons notre Mère-Patrie, et n'envisagerons son avenir, qu'àprès un long travail de remémorisation - sorte d'ascèse collective (si nous en sommes encore capables). On ne projette que ce que l'on prolonge, et l'on ne prolonge que ce que l'on assume. La mémoire de la France, de l'Europe, telle que je la conçois, n'est pas tant remémoration d'une histoire que réappropriation de ce qui est au-delà de l'histoire, de ce qui gît dans la dimension intemporelle de son existence.