Chacun a pu admirer, dans ce texte de présentation, la façon dont les choses sont dites, ou plutôt non dites, à l'aide de multiples mots "codés". Un grand moment de "saccharinois" (tendance
fauxel) pour dire, mais sans le dire, que la priorité sera donnée, comme toujours, au jeune homme ou à la jeune femme immigré(e), arabe ou subsaharien(ne) incapable d'écrire, non diplômée (en ces temps de planche à diplômes !), bref, à quelqu'un dont on peut être sûr qu'il n'aura pas de connaissances, encore moins de culture, et qui, donc, ne fera pas de difficultés pour n'écrire que des choses sympa, bien pensantes, et surtout racistes comme l'exige toujours l'antiracisme, qu'il n'est même plus nécessaire de qualifier de dogmatique.
Le changement de peuple et le changement de civilisation (car on entre tout de même dans une civilisation où un journal de référence recrutera de préférence quelqu'un qui ne sait pas bien lire, ni écrire, ni penser...) ne faisaient pas encore assez l'objet de propagande, il a semblé nécessaire, au lendemain de l'élection de M. Hollande, d'accélérer le Désastre.
Quant à Mme Florence Aubenas, c'est avant tout une immense Amie du Désastre, et une c'est-vrai-qu'iste des plus enragées (ce qui est tout sauf incompatible).
Il en va du
Monde comme de
France Culture. Ils ne veulent que cela, des "journalistes" incultes et incapables de s'exprimer, dont on peut être sûr qu'ils fileront droit, idéologiquement. Un journaliste qui serait cultivé et qui par extraordinaire saurait sa langue n'aurait aucune chance d'y obtenir un poste.