Communiqué n° 1404, lundi 25 juin 2012
Sur l'assassinat d'un collégien pour manquement à la soumission exigée par son agresseur
Le parti de l'in-nocence exprime son horreur devant le meurtre d'un adolescent de treize ans à Rennes, en raison de son attitude insuffisamment soumise aux yeux de son agresseur, d'origine tchétchène, déjà connu des services de police mais “parfaitement intégré” — selon le discours obligé — depuis deux ans qu'il résidait en France. On voit par là que sa communauté, nombreuse dans la région, risque d'être à nouveau "stigmatisée" (comme peut-être sa religion), ce qui semble être la principale préoccupation des médias. La pusillanimité de la presse écrite et parlée, sur ces sujets, n'a d'égal que son déchaînement idéologique à la moindre expression critique à l'encontre de l’immigration massive et de peuplement qui a atteint désormais, à force de contre-colonisation destructrice, un niveau mettant en danger la survie même du pays comme tel, sur tous les plans, et d'abord celui de sa civilisation.
Le parti de l'In-nocence remarque que ce "fait divers" s'inscrit dans une longue et impressionnante suite (largement tue) de violences parfois extrêmes dont le racisme à l'encontre des "souchiens" ou apparentés et l'antisémitisme sont la raison essentielle. Leur rythme va s'accélérant. Elles expriment toute la réalité des pressions ethniques ou religieuses qui sapent notre société, avec la généralisation de la peur, la multiplication des menaces, l’apprentissage de la soumission. Face à cette décomposition du contexte social sous la pression terrible de l’obligatoire "vivrensemble", au sein de cet enfer si bien pavé de bienpensance irénique et menteuse, les Français sont désarmés, et cela même juridiquement, souvent, soumis qu'ils sont à l'obligation de retenir jusqu’à leur pensée pour consentir et parvenir à vivre dans un réel faussé, renversé, embué par l'interdiction de nommer ce qui survient.