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De la langue crue (anecdote)

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
27 février 2008, 21:27   De la langue crue (anecdote)
Un nouveau professeur d'E.P.S. prend ses fonctions dans un collège tranquille et se présente à une classe de cinquième. Certains points de cette présentation m'ont été rapportés. Il a dit son âge, 34 ans, et a prévenu d'emblée qu'il était sûr qu'on allait le trouver méchant et que ça lui était bien égal parce qu'avec lui c'était cash (ou clash, à moins que crash ?), il a ajouté qu'il ne connaissait que deux notes : 0 et 20 puis il a synthétisé sa mise au point en ces termes définitifs : "Suffit de pas me casser les couilles et tout se passera bien entre nous."

C'est déjà pas mal. Mais le plus drôle c'est que ce pédagogue a immédiatement collé un zéro à un élève parce qu'il venait de commettre écart de langage !

La caractéristique d'un nombre grandissant d'histoires vraies, c'est qu'elles singent la fable et y parviennent de mieux en mieux.
27 février 2008, 22:41   Re : De la langue crue (III)
Ce qui marque un progrès, comment dire, "différencié", une évolution en inversion de phase modulée et continue avec l'aimable sentence d'introduction de ce garde Viet-Min du Camp 113, rapportée dans son livre de souvenirs par le capitaine Thomas (voir l'arborescence sur Fleury un peu plus bas), qui s'adressait aux nouveaux venus au camp en ces termes convaincants: "Si vous restez tranquilles moi peut-être pas couper les couilles".
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