Lycophobie

Les discours de haine nous rappellent le temps où les entrailles fumantes de la bête immonde exhalaient leur parfum nauséabond.

Cette haine n'a plus de limite, elle s'étend même aux espèces protégées...

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Les déclarations de M. Bové ne tiennent pas, à mon sens, de quelque phobie que ce soit, mais elles sont symptomatiques de la posture politicienne. On défend les loups quand ils sont loin et ne s'attaquent qu'aux moutons des autres ou aux mouflons ou aux chevreuils; mais dès que les loups attaquent les troupeaux de son bled ou ceux de ses amis ou les siens propres, alors on crie "mort aux loups". On est démocrate à Bruxelles, où il convient de faire "belle âme"; on est populiste quand on est au milieu des siens et que les liens d'appartenance à un clan ou à une ethnie se renouent.

Citation
JGL
On défend les loups quand ils sont loin et ne s'attaquent qu'aux moutons des autres ou aux mouflons ou aux chevreuils; mais dès que les loups attaquent les troupeaux de son bled ou ceux de ses amis ou les siens propres, alors on crie "mort aux loups"

Cela s'applique aussi à une certaine autre espèce de mammifère.

Si seulement ce que dit JGL était vrai aussi des les prédateurs humains de certains quartiers dits sensibles ! Il suffirait alors de faire comme avec les loups et d'en introduire quelques uns (ou quelques bandes) dans certains quartiers, régulièrement, afin qu'ils attaquent les enfants de nos belles âmes qui répètent ad nauseam que ces quartiers sont la solution, non le problème, qu'il faut le vivre-ensemble, que le métissage est une obligation, etc.
Cette histoire de loup et la réaction à deux vitesses des écolo-gauchistes dogmatiques doit nous servir de modèle d'action.