La vie quotidienne en France (et en Europe) au temps du Grand Remplacement

« Et que dire de l'entreprise iranienne qui veut racheter l'usine de poulets ? Les syndicats, paraît-il, n'y trouvent rien à redire, la viande est déjà hallal ! C'est de tous côtés que s'insinue la conquête, par l'ignorance et l'obscurantisme et par l'argent ! »

Une cause de leur déconfiture est justement la perte des marchés Hallal dans des pays musulmans, qui ont contesté l'hallalité pratiquée ! (peut-être justement parce que le produit était également consommé par les noms musulmans ce qui a dû le rendre suspect !) Bien fait pour Doux !!!

Une conquête, qui porte ses fruits:

[www.lefigaro.fr]

Cher Renaud, je passais en coup de vent, et j'ai songé que le document sonore joint serait peut-être utile à votre avocat, car je n'ai guère entendu le Parquet de Paris au sujet de cet appel public au meurtre en provenance de Sexion d'Assaut, groupe de rap qui se réclame de l'Islam et juge les homos pas halal - appel dont vous trouverez la musique et les paroles, sur la même page (cliquer sur la courbe de fréquences bleue)
[christiancombaz.fr]

J’ai entre les mains La Provence du jour — quinze août donc — Le titre principal, à la Une, ouvre déjà des perspectives : Pastis contre rosé le match de l’été. L’article de fond, en page deux, retient mon attention Marie est une femme d’avenir avec, sauf erreur de ma part, Notre-Dame de la Garde en illustration. Exposé du vicaire général Jean-Marc Aveline, directeur de l’Institut Catholique de la Méditerranée. Le prêtre et chercheur explique : « C’est une vision de femme forte, très actuelle, qui fait écho aux luttes de toutes celles qui se sont engagées dans la révolution au Maghreb mais aussi dans la lutte en Amérique du Sud et ailleurs. »[…] Et ce fondateur de la revue « Chemins de Dialogue » rappelle que le Coran cite plus souvent Marie ou Maryam que la Bible.

"Et le ce fondateur de la revue « Chemins de Dialogue » rappelle que le Coran cite plus souvent Marie ou Maryam que la Bible."

Chrétiens et Musulmans unissez-vous... contre les Juifs ?

"Tags haineux et vandalisme dans une école niçoise

Sur les murs, des injures haineuses à l'encontre de la France, des juifs ou encore de la police. Sur le sol, de la vaisselle en morceaux, de la nourriture écrasée et le contenu d'une machine à café déversé. Tel est le consternant spectacle découvert, hier matin à Nice, par la responsable du complexe scolaire Thérèse-Roméo. La cantine de cet ensemble de quatre écoles situé au coeur de la ville a été visitée dans la nuit de lundi à mardi. Comme elle l'avait déjà été, à plusieurs reprises, cet été."

Nice-Matin, 15 août 2012.

Citation
Jérôme Reybaud
"Tags haineux et vandalisme dans une école niçoise

Sur les murs, des injures haineuses à l'encontre de la France, des juifs ou encore de la police. Sur le sol, de la vaisselle en morceaux, de la nourriture écrasée et le contenu d'une machine à café déversé. Tel est le consternant spectacle découvert, hier matin à Nice, par la responsable du complexe scolaire Thérèse-Roméo. La cantine de cet ensemble de quatre écoles situé au coeur de la ville a été visitée dans la nuit de lundi à mardi. Comme elle l'avait déjà été, à plusieurs reprises, cet été."

Nice-Matin, 15 août 2012.

Charmant. Mon épouse étant arabophone, ils nous arrive parfois de nous attarder sur les tags qui fleurissent sur les murs des villes du sud-est de la France. Ceux écrits en arabe, très nombreux, sont le plus souvent antisémites, appellent à la guerre sainte ou sont tout simplement injurieux, c'est-à-dire antifrançais. Certains, très récents, vomissent encore Sarkozy!

"Nice : les policiers caillassés répliquent au flash-ball

Des jets de pierres et de canettes lors d'un contrôle houleux. Trois tirs de flash-ball en guise de riposte. Et deux suspects interpellés au final.
(...)
Lundi soir, la BST intervient à la demande de riverains excédés. Pour endiguer ces tapages dus aux deux-roues qui troublent leur quotidien estival. Les policiers contrôlent un individu juché sur un moto-cross. Celui-ci ne peut présenter les papiers du véhicule. L'audition doit se poursuivre au poste. Mais les témoins de la scène vont en décider autrement. Un attroupement se forme. Des insultes fusent. Et bientôt, les projectiles aussi. Pris pour cibles, les fonctionnaires usent alors de leurs lanceurs de balles de défense. Pas de blessé. Mais la police repart avec deux suspects : le conducteur de la moto, un jeune de 20 ans poursuivi pour outrage et rebellion. Et un adolescent de 16 ans, également suspecté d'outrage. Tous deux passeront la nuit en garde au service du Quart, à la caserne Auvare. L'un comme l'autre en sont finalement ressortis libres, hier après-midi. Le parquet de Nice attendrait de disposer de plus d'éléments pour se prononcer sur le sort de l'aîné. Le cadet, lui, a écopé d'une sanction pour le moins originale : un cahier de vacances à remplir consciencieusement cet été, s'il veut s'éviter des poursuites judiciaires à la rentrée."

Nice-Matin, 15 août 2012.

Le cadet, lui, a écopé d'une sanction pour le moins originale : un cahier de vacances à remplir consciencieusement cet été, s'il veut s'éviter des poursuites judiciaires à la rentrée.

On peut dormir tranquille.

Cher Christian Combaz, vos interventions sur ce Forum sont toujours très intéressantes (dans tous les sens du terme)... N'hésitez donc pas à les multiplier !

Onomastique.

Citation
Le Figaro

La population britannique d'origine musulmane devrait doubler dans les 20 ans à venir. Actuellement elle est d'environ 2.9 millions d'habitants.

La ville d'Amiens (Picardie) a été la théâtre de violences urbaines dans la nuit de lundi à mardi. Crédit Reuter

Atlantico : La Poste ne distribue plus les colis depuis plusieurs semaines dans certaines rues d'un quartier de Carrières-sous-Poissy (Yvelines) pour des raisons de sécurité. Ce n’est pas la première fois que cela arrive. Est-ce un phénomène qui vous étonne ?

Mohamed Douhane : Toutes les violences qui touchent les chauffeurs de bus, les employés de la Poste, les médecins, le Samu… sont récurrentes et ne datent pas d’aujourd’hui. Elles ont commencé au début des années 1980, dans un contexte d’apparition des violences urbaines, en particulier dans la région lyonnaise. Les villes de Vénissieux et de Villeurbanne ont été particulièrement touchées.

Depuis, elles n’ont cessé de se développer sur tout le territoire national.Toutes nos villes...

Je pense qu’il faudrait s'abstenir dans ce fil d’entrées qui sont de simples liens, et qui rendent la lecture désagréable.

Merci de me le rappeler, cher Renaud Camus, j'ai développé...

Stéphane Gatignon, maire EELV de Sevran, à propos des émeutes d’Amiens (les GG du 15 aout 2012) :
«La société française est en train d’être totalement bouleversée. On construit autre chose que la France qu’on a connue. La France à la papa, c’est fini ! Les banlieues comme Amiens, Sevran, c’est des lieux qui sont quelque part en avance, ce sont des laboratoires de toutes ces ruptures. On est dans des villes qui sont cosmopolites et on accepte toujours pas le
cosmopolitisme en France.»



Stéphane Gatignon disant enfin (malgré lui) la vérité
Les Français ne veulent pas de cosmopolitisme qui signifie la guerre civile, c'est vrai. Si le progrès signifie : plus de violence, plus d'agressivité, plus de nocence, plus de délinquance et de crime : alors Amiens (et environ 700 quartiers en France) sont en avance. Je dis alors: vive le retard ! Vive l'archaïsme !

Pauvre type !

C'est lui qui demandait des casques bleus pour rétablir la paix à Sevran...

En tout cas, il doit avoir une dent contre son père.

Si je puis me permettre, Maître :

D'où vient cette très belle photographie, cher Agrippa ?

Un clic dessus vous le révèlera, cher Bruno Chaouat.

Merci, Agrippa.

Et la moutarde hallal, ça existe ?

Ce ne serait pas le bleu outremer ?

Souvenir varois :

---

« Courriers : tri sélectif aux Restos du Cœur ? »

« Avec l'ouverture des Restos du Cœur, la collecte des denrées alimentaires a eu lieu dans les moyennes et grandes surfaces de Brignoles. Mes moyens sont modestes, mais je participe. Le don que j'ai effectué comportait entre autres, un pack de trois boîtes de pâté de campagne. On me l'a refusé sous pretexte qu'il contenait du porc ! J'ai rétorqué que parmi les nécessiteux, il n'y avait pas que les personnes de religion musulman ! On m'a répondu : « Ah ! Si en plus, on doit trier ! » Je suis outrée. C'est pourquoi désormais, le don que je ferai en denrées alimentaires comportera exclusivement des petits pots pour bébés. Quant aux boîtes de pâté, elles resteront dans mon caddie pour la consommation de ma famille. Un conseil, soyez généreux, mais faites attention de ne pas choquer une certaine catégorie de gens, pourtant bien contents d'aller remplir leurs cabas ! » J.R. (Brignoles)

dans la presse:

Les premières condamnations après les affrontements d’Amiens, en début de semaine, sont tombés. Jugés vendredi en comparution immédiate, deux des trois auteurs présumés des violences dans les quartiers nord de la ville, ont été condamnés à 10 et 8 mois de prison avec sursis.

Le procureur adjoint avait requis 12 mois de prison, dont 6 ferme, et leur placement sous mandat de dépôt.

Rappelons que ces "affrontements" (des émeutes, pas des "affrontements", mais passons) qui voient des émeutiers armés ont blessé six policiers.

Dans le journal Le Monde, le même jour:

La scène s'est prolongée pendant une vingtaine de minutes, le temps pour William de tirer au moins neuf coups, de blesser un jeune à l'épaule et au bras, de viser une dame et sa fille de 9 ans qui passaient en voiture. A ses côtés, Monique - la plus vindicative, selon les jeunes - rechargeait le fusil. Alertés, les gendarmes ont fini par intercepter le couple, qui a été condamné dès le 6 août par le tribunal correctionnel de Nîmes en comparution immédiate pour "violence avec armes et incitation à la haine raciale". William a pris quatre ans ferme et Monique, deux ans. Incarcérés à l'issue de l'audience, l'un et l'autre ont fait appel du jugement.


Vous avez bien lu: quatre ans ferme en comparution immédiate pour avoir blessé un jeune à l'épaule et au bras. Et deux ans à Monique pour s'être montrée vindicative selon les jeunes !

Précision à propos des condamnation d'Amiens :
"Sous le feu des questions de la présidente, la personnalité de ces deux prévenus se dessine peu à peu. Celle de deux égarés qui traînaient leur misère le soir des émeutes. Wilfrid, tout d'abord, qui, à 26 ans, est sous tutelle et qui reconnaît avoir brûlé une poubelle le 16 août. Il admet aussi en avoir incendié d'autres dans la nuit du 12 au 13, au plus fort des violences. Combien? Il ignore car il ne sait pas compter au-delà de 20. Pourquoi? lui demande la présidente. À chaque fois, l'interrogatoire prend le ton d'un échange entre une maîtresse d'école et un garçonnet que l'on sermonne. Lors de sa garde à vue, Wilfrid avait expliqué qu'il était énervé le soir des émeutes. Une peine de cœur, des copains qui l'avaient agacé et aussi, sans doute, tout ce bruit dans la cité avaient mis ses nerfs en vrille. «Je suis souvent énervé», confesse-t-il à la présidente en promettant aussi qu'il ne «recommencera pas ces bêtises». À côté de lui, Christopher, «le meilleur ami de Wilfrid», reconnaît qu'il était là pour faire le guet. Ce gosse fragile de 20 ans, livré à lui-même, raconte qu'il ne veut pas abandonner son copain quand il ne va pas bien. Après ces explications, le procureur en convient: «Ces deux-là étaient en marge des émeutes», mais requiert pourtant mandat de dépôt contre eux. Une sanction jugée trop rude par le tribunal qui leur a infligé des peines de sursis de dix mois et huit mois."
(Amiens : condamnations avec sursis pour Wilfrid et son acolyte)
On a arrêté des lampistes, des idiots - pas les vrais meneurs, ni les criminels.

Wilfrid et Christopher quoi ?
Et pourquoi donne-t-on les noms complets des agresseurs du Gard ?

Le fonds du Qatar QIA a dépensé 500 millions d'euros pour acquérir l'immeuble qui abrite les magasins de Virgin et de Monoprix au 52-60, avenue des Champs-Elysées. Cet immeuble, précise Valeurs actuelles du 14 juin au 20 juin 2012, offre une rentabilité locative inférieure à 4%, alors que l'immobilier d'entreprise rapporte 5% en moyenne.

Il faut en conclure qu'une fois encore cet investissement du Qatar a d'autres fins qu'économiques.

......

Le samedi, jour de match pour le PSG, j'observe désormais les jeunes ploucs au teint pâle qui hantent les allées de mon hypermarché à la recherche de packs de bières vanter, sans trop comprendre, le mystérieux émir d'un lointain pays qu'ils croyaient jusqu'à peu plus ou moins légendaire.

A Saint Ouen, si vous ne confiez pas votre carte d'identité au dealer qui garde l'entrée, vous ne passez pas.

La vraie menace.

Brest. Frappée par son oncle pour ne pas avoir suivi le ramadan

19 août 2012 à 16h42



Une réunion familiale qui rassemblait une quinzaine de personnes originaires de l'île de Mayotte a mal tourné, samedi, dans le quartier de Kerourien, à Brest.
Selon la police, une jeune fille de 18 ans se serait vue reprocher par l'un de ses oncles de ne pas avoir respecté les règles du ramadan, qui s'achevait ce week-end, et aurait reçu plusieurs coups de poings de la part de son oncle. A leur arrivée sur place, les forces de l'ordre ont dû faire preuve d'habileté pour parvenir à extirper la Brestoise de l'habitation où se déroulait la soirée, les autres membres de la famille refusant que la jeune fille puisse être examinée.
Les policiers ont néanmoins réussi à procéder à son extraction. La victime s'est vue prescrire deux jours d'ITT. L'homme soupçonné de violences sur sa nièce aurait, quant à lui, pris la fuite.

Et pendant ce temps, le président Hollande adresse tous ses vœux de réussite aux musulmans, au fait, qu'est-ce-que ça veut dire, adresser des vœux de réussite ? Parle-t-il aussi aux athées ? Heureusement, il n'oublie pas de faire allusion à la laïcité, je suis rassurée !

Il est six heures du matin. Depuis quelques semaines, une tente grise est plantée dans la rue, à l'angle du square déserté par les enfants depuis longtemps. Nous sommes à Nanterre, où les nuits arpentées de cris sauvages qui scandent le demi-sommeil d'habitants presque résignés, n'existent que par intermittence. D'ordinaire vers cinq heures du matin, après avoir hurlé et s'être battus toute la nuit, ils dorment ou en tout cas, ils se taisent. Mais grâce à cette tente, bénéficiant d'une autorisation spéciale de la Mairie, il n'y a plus d'aube non plus, car ils sont là, au pied de la tente, assis sur des chaises, à vociférer comme des bêtes dans une langue étrangère, débattant de je ne sais quel sujet dès les premières heures du jour. Par moment ils se lèvent, menaçants, furieux, prêt à bondir sur l'un d'entre eux, puis un autre calme en criant celui qui s'agite trop, et ça recommence etc....
Le commissariat, qui reçoit de plus en plus d'appels concernant le tapage qu'entraîne ce nouveau "refuge pour jeunes", invite vivement les habitants à écrire à la Mairie (sic).

«Ce sont de bons voisins, on se disait bonjour quand on se croisait. Parfois on entendait des bruits mais jamais on aurait pensé que cela finirait par la mort d'une enfant.»

Le Figaro

Plus le temps passe plus la perte de souveraineté des européens sur leur terre semble certaine. Personne n'est prêt à payer le prix necessaire pour que cela cesse, respecter les règles en vigueur ne font qu'aggraver le problème. Quel est le soutient apporté à la jeune femme anglaise par ses concitoyens ? Rien bien au contraire, elle est devenue une pestiférée, de même que le couple condamné à 4 et 2 ans de prison ferme pour propos à caractère raciste. Qui soutient ces personnes ? Avons-nous vu des manifestations, des marches, des articles ? Staline n'aurait pas mieux fait. C'est vraiment la fin, même sous les arbres de mai les prémices de l'invasion se font sentir, n'en déplaise à Monsieur Rogemi.

Quel est le soutient apporté à la jeune femme anglaise par ses concitoyens ?

Pardon mais quelle jeune femme anglaise, if you please ?

Citation
Francis Marche
Quel est le soutient apporté à la jeune femme anglaise par ses concitoyens ?

Pardon mais quelle jeune femme anglaise, if you please ?

Sorry, I just read an article about the hunting of Emma West.

Extrait d'un entretien avec un Tunisien vivant en France, paru dans Charlie Hebdo (via Les Heures les plus claires) :

Tu as lu le Coran?

Je l’ai appris à l’école. Il y a des versets que je connais par cœur. Et ça m’a servi! Je te raconte une anecdote: j’étais tout seul dans une rame de métro à Paris, il était une heure du mat’, et il y a une bande de jeunes qui entrent et qui commencent à m’agresser, ils me prennent mon portefeuille, mon portable. Je me rends compte qu’ils sont tunisiens, et en arabe je leur dis: «Faites pas chier, je suis arabe comme vous…» Et là, il y en a un qui dit: «Ça doit être un Juif!» Et les autres: «On va lui niquer sa race!» Dans la panique, je me dis que le seul truc pour me tirer d’affaire, c’est de leur réciter le Coran. J’ai dit quelques versets, et ils se sont arrêtés. Ils m’ont rendu mon portable, mon portefeuille. Ils m’ont dit: «Mon frère, il ne faut avoir peur que d’Allah.» J’ai remercié mes instits du primaire de m’avoir appris le Coran.

Cela me rappelle ceci :

Voici une histoire acquae-sextiennes récente.

Une fille de bonne famille, la vingtaine, étudiante à la faculté, dîne avec ses parents -- et nous -- au restaurant. La soirée se déroule convenablement, dans un bon esprit. Vient le terme du repas et les discussions prennent fin, quand elle "confesse" que de nos jours, les jeunes filles devraient apprendre par cœur (!) la première page du Coran pour, en cas de tentative de viol (!) par un musulman, lui réciter ce passage, et ainsi éviter l'acte (!) -- je vous passe les détails et les explications de texte.
Pour prouver qu'elle respecte vraiment ce conseil, de sa douce bouche sortent alors les paroles (en arabe) de cet "extrait".
Le père, personnage fort respectable, devenu blanc, manqua de peu un arrêt cardiaque -- oui, là, j'en ajoute un peu !

Je pense que ses parents n'avaient jamais imaginé entendre pareils propos...

(Pyrrhon, le 29 décembre 2011)

[petite précision : cette famille vit habituellement à Paris]

Le père, personnage fort respectable, devenu blanc

Métamorphose ?

Vous n'allez pas recommencer ! (un peu lourdingue, le mec)

Mais je pensais que, justement, vous vouliez recommencer, vous citant vous-même...

« Roubaix : des policiers molestés samedi soir aux abords du parc Barbieux » (La Voix du Nord)

L'épisode qui s'est déroulé samedi soir aux abords du parc Barbieux illustre tristement les difficultés que rencontrent les policiers à Roubaix lorsqu'ils prétendent simplement faire leur travail. Peu avant 19 h, à proximité du centre de Roubaix, une patrouille de policiers aperçoit quatre jeunes sur des scooters, multipliant les imprudences et conduisant évidemment leurs engins sans casque. Les agents prennent les trompe-la-mort en chasse, reçoivent le soutien de collègues, et finissent par en coincer un en bordure du parc Barbieux. L'interpellation s'avère délicate : l'individu insulte les policiers, hurle et se débat, si bien qu'il attire l'attention de membres d'un turbulent cortège de mariage qui passait par là. Les noceurs, sans chercher à comprendre, sont aussitôt venus prêter main forte au contrevenant, et ont commencé à leur tour à noyer les policiers sous les coups et les insultes...

[www.lavoixdunord.fr]

Voici un cortège de noceurs le même jour à Lille (il est vivement conseillé d'abaisser le son) :

Citation
Pyrrhon
Voici un cortège de noceurs le même jour à Lille (il est vivement conseillé d'abaisser le son) :

Laure Adler affirme qu'il n'y avait aucun drapeau algérien présent ce jour-là, ni aucune grosse cylindrée !!! Prétendre le contraire serait évidemment la preuve d'une volonté de nuire.

Autre cas similaire à celui du yogi - mais en variante un peu plus coercitive :
LILLE
Il squatte le studio du voisin
Publié le samedi 25 août 2012 à 06h00

Il squatte le studio du voisin

Quelle surprise pour ce jeune homme de s'apercevoir, en rentrant de vacances, que son studio est occupé... par un dealer. Ce dernier est parti en prison pour un an.


JUSTINE FAIDERBE > justine.faiderbe@nordeclair.fr
Ce 23 août, Arnaud* pense rentrer chez lui tranquillement après ses vacances. Il arrive au pied de son immeuble lillois, monte les étages et... voit de la lumière « en dessous de la porte », explique-t-il à la barre. Il appelle la police. En entrant chez lui entouré des forces de l'ordre, il découvre non seulement un scooter garé dans son vestibule, mais aussi Sofiane B., confortablement installé dans sa kitchenette, l'un de ses pulls sur le dos. Le choc.


Jeune majeur
Le jeune homme, à peine majeur, est appréhendé par la police, qui perquisitionne le studio et s'aperçoit vite qu'en fait ce dernier s'en sert de planque pour son trafic de drogue : 300 gr d'herbe sont confisqués, « ainsi qu'une balance, trois téléphones et rien de moins qu'une arme » , liste la présidente du tribunal, Nourith Reliquet, pour qui Sofiane B. « s'est comporté en véritable maître des lieux ».
Arnaud est parti depuis plusieurs semaines en vacances. Le hic : comment le prévenu a-t-il pu s'introduire dans le studio ? « Il y a des traces d'effraction » pour la victime, qui affirme aussi avoir « laissé les clés » à son voisin de palier.

« Une organisation artisanale »
Sofiane B. ne donne pas d'explication claire. Il avoue juste avoir squatté l'appartement plusieurs jours. Il dit aussi y avoir déjà « séjourné » quelques mois auparavant. Arnaud s'en était « rendu compte », avec la facture d'électricité et celle du téléphone qui augmentaient, mais n'avait pas porté plainte.

Fumeur et dealer
Habitant de l'immeuble, Sofiane B. est connu comme fumeur quotidien et dealer. Pas un gros trafiquant selon son avocate, qui compte « quinze clients par jour ». « C'est une organisation artisanale - et pas un réseau - qu'a mise en place mon client. » Huit condamnations figurent dans son casier judiciaire. Le conseil demande au tribunal d'écarter la peine plancher qu'a requise à l'encontre de Sofiane B. le procureur André Lourdelle, avec deux ans de prison dont neuf mois de sursis.
Mais la présidente Reliquet n'en tient pas compte : alors qu'il risquait quatre ans de peine plancher, elle envoie directement le jeune majeur un an derrière les barreaux. Une autre année lui pèse en sursis sur la tête.w * Le prénom a été modifié.
Sofiane squatte l'appartement de son voisin pour son trafic de drogue

Citation
Pyrrhon
« Roubaix : des policiers molestés samedi soir aux abords du parc Barbieux » (La Voix du Nord)

L'épisode qui s'est déroulé samedi soir aux abords du parc Barbieux illustre tristement les difficultés que rencontrent les policiers à Roubaix lorsqu'ils prétendent simplement faire leur travail. Peu avant 19 h, à proximité du centre de Roubaix, une patrouille de policiers aperçoit quatre jeunes sur des scooters, multipliant les imprudences et conduisant évidemment leurs engins sans casque. Les agents prennent les trompe-la-mort en chasse, reçoivent le soutien de collègues, et finissent par en coincer un en bordure du parc Barbieux. L'interpellation s'avère délicate : l'individu insulte les policiers, hurle et se débat, si bien qu'il attire l'attention de membres d'un turbulent cortège de mariage qui passait par là. Les noceurs, sans chercher à comprendre, sont aussitôt venus prêter main forte au contrevenant, et ont commencé à leur tour à noyer les policiers sous les coups et les insultes...

[www.lavoixdunord.fr]

« Roubaix : privés de mariage le samedi ? » (Nord Éclair, mardi 28 décembre 2010)

À partir du 1er janvier 2011, il n'y aura plus (sauf autorisation exceptionnelle) de mariage en mairie de Roubaix le samedi après-midi. Soulagement pour les uns. Déception pour les autres.
D'un côté il y a celles et ceux qui se voient privés d'une fête prévue de longue date. Les courriers de mécontentement affluent au cabinet du maire, René Vandierendonck.

De l'autre, les riverains qui assistent aux débordements n'auront pas de nostalgie de ces après-midis débridés. Car soyons clairs : ça devenait fréquemment surréaliste. Passe encore l'ambiance bon enfant de la fête. Mais on a parfois assisté à de véritables gymkhanas sur la Grand-Place, à des concerts dans le hall de la mairie, à des remontées en sens interdits, toutes sirènes hurlantes, drapeaux déployés. Et les mariés arrivaient avec parfois plus d'une heure de retard...
Bref, la situation devenant parfois ingérable, elle a été... contournée. [...]

[www.nordeclair.fr]


Faudra contourner aussi... les cortèges noceurs venus d'ailleurs ! (d'un mariage célébré dans une ville voisine, j'veux dire)