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Le coût réel de l'immigration

Envoyé par Gérard Rogemi 
Monographie très interessante des Contribuables Associés

Le coût réel de l'immigration

On nous répète en boucle que l'immigration est un bienfait pour la France. Il semble interdit de contester ce qui est posé comme un impératif idéologique. Les "intelligents" s'offusquent immédiatement que l'on ose remettre en question ce dogme. Nous serions des arriérés, des passéistes, voire des "racistes" simplement parce que l'on ose poser des questions sur l'impact réel de l'immigration sur l'économie de notre pays, notre croissance et nos systèmes sociaux.

Ce qui apparait évident de prime abord, c'est qu'aucune étude sérieuse n'a été menée. Les grands organismes publics et les think-tanks ultra-libéraux ne VEULENT pas savoir. Aujourd'hui le piège s'est refermé sur nous. Les immigrés sont désormais tellement nombreux qu'il est électoralement dangereux de poser ces simples questions. La nouvelle religion de la diversité - qui est un terme pudique pour signifier simplement le reflux de notre culture et de notre mode de vie dans notre propre pays, rend impossible toute analyse sérieuse de ces questions. Au lieu de cela, on doit subir en boucle des mensonges tellement grossiers que des enfants intelligents pourraient les balayer de la main. Ainsi, il parait que "l'immigration est nécessaire pour payer nos retraites". C'est un raisonnement ridicule, presque insultant, mais que vous trouverez dans toutes les revues pseudo-économiques. En réalité les "immigrés" étant des ayant-droits bénéficiant des mêmes avantages que nous, leurs cotisations ne couvrent même pas le déficit qu'ils contribuent eux-mêmes à creuser. Cela nous amène à une excellente étude sur le coût réel de l'immigration, menée par Contribuables Associés et évoquée par le Salon Beige.

Les besoins de la population immigrée ayant augmenté, les dépenses sont supérieures aux rentrées des cotisations et des impôts.

Pendant les Trente Glorieuses, l’immigration de travail a été un bénéfice pour l’État, car les cotisations sociales encaissées étaient supérieures aux prestations fournies. Avec le regroupement familial, la recherche par les migrants d’un asile politique ou économique et l’aggravation des déséquilibres Nord-Sud, l’immigration de travail s’est progressivement transformée en immigration de peuplement. Les besoins de la population immigrée et issue de l’immigration en matière de logement, de santé, d’éducation ayant augmenté, les dépenses sont supérieures aux rentrées des cotisations et des impôts. Aussi passe-t-on volontiers sous silence la question des coûts qui comporte trois aspects : celui des dépenses consenties, celui des recettes encaissées, celui des investissements engagés pour modifier le ratio dépenses-recettes et de leur rentabilité.

En voici quelques points clés, résumés d'une manière très sommaire et insuffisante :

- La France compte 6.868.000 immigrés, soit 11% de la population métropolitaine
- L’immigration réduit des deux tiers la croissance du PIB
- Le coût de l’immigration en France est de 71,76 milliards d’euros
- Les recettes liées à l’immigration en France sont de 45,57 milliards d’euros
- Le déficit dû à l’immigration et supporté par les contribuables est de 26,19 milliards d’euros
- Lorsqu’une personne immigrée ne repart pas dans son pays d’origine à la fin de son contrat de travail, c’est l’Etat (le contribuable) qui prend en charge le coût des prestations sociales
- Les immigrés extra-européens et leurs descendants perçoivent 22% des prestations sociales
- Le coût unitaire des demandes d’asile est de 15.000 euros
- La plupart des dépenses d’immigration ne relèvent pas du ministère de l’Immigration de Brice Hortefeux
- Les dépenses sécuritaires liées à l’immigration s’élèvent à 5,2 milliards d’euros
- Le travail au noir concerne au minimum 500.000 personnes immigrées et représentent un manque à gagner pour l’Etat de 3,810 milliards d’euros
- 65 à 90% des prostituées sont étrangères
- Le taux de chômage des immigrés est le double de celui des non immigrés
- Les prestations sociales constituent 14% du revenu moyen des ménages immigrés contre 5% pour les ménages non immigrés

Il est évident que cette étude n'aura aucun impact médiatique. Le système refuse de se poser ces questions, de peur de découvrir une réalité catastrophique. Pourtant l'honnêteté intellectuelle, mais aussi la bonne gestion des finances publiques, le commanderaient, que l'on soit favorable ou non à l'immigration. C'est là le grand artifice des immigrationnistes : refuser de savoir. On sait désormais que l'immigration n'est qu'un outil dans les mains des officines. Les pauvres immigrés n'en sont souvent que les jouets, et les premières victimes d'une machine devenue folle. L'immigration de peuplement cache un grand dessein. Elle est favorisée pour détruire la culture française détestée par les élites cosmopolites de notre pays, entretenir un coût du travail faible, et pour changer la donne électorale en France au profit de la gauche.

Ajoutons qu'un des grands succès de la supercherie immigrationniste de gauche est d'avoir réussi l'amalgame des "immigrés", opposés aux autres. Par le biais d'organisations de propagande comme "SOS racisme", les grands manipulateurs auront fait croire aux immigrés qu'ils étaient tous solidaires, et tous dans le même bateau. Rien n'est plus faux ! Il existe autant de conflits d'intérêts entre les immigrés, en fonction de leur réussite, de leur statut social, de leur date d'arrivée sur le territoire, de la réussite de leurs enfants, qu'entre les français "de souche". Un "immigré" d'origine vietnamienne qui aura développé avec succès son commerce et dont les trois enfants auront réalisé de bonnes études n'a certainement pas le même intérêt que la famille de maliens en perdition sur la dalle d'Argenteuil. En interdisant de poser le débat du coût de l'immigration, ses promoteurs masquent habilement aux immigrés eux-mêmes ce qui les opposent. Généralement, ces derniers ne sont pas dupes, et tiennent sur les conséquences de l'immigration un discours plus lucide et plus cru que le petit français moyen abruti par la gauche, et qui se croit humaniste parce qu'il laisse s'installer une situation impossible.

Laissons la conclusion aux auteurs de l'étude :

Evidemment des solutions alternatives ont été avancées pour cette réduction des coûts, à savoir :
• une politique d’aide ciblée aux familles pour accroître la natalité des populations autochtones et éviter le recours à l’immigration massive de main d’oeuvre ; Différentes solutions ont été envisagées pour diminuer les coûts.
• une politique de préférence nationale ou européenne réservant les emplois en priorité aux Français d’origine, puis aux ressortissants des pays de l’Union Européenne ;
• une politique de durcissement des conditions d’entrée et d’accueil des immigrés originaires de l’espace non-européen ;
• un moratoire de l’immigration donnant la priorité à l’intégration des populations d’origine étrangère présentes sur le sol français au détriment de l’accueil de nouveaux flux.

En tout état de cause et dans un domaine comme celui de l’immigration, qui divise l’opinion publique française au-delà même des clivages traditionnels, l’approche documentée des coûts permet à chacun d’étayer ses prises de position sur des données fiables.

Trouvé sur le blog Le Conservateur
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