Communiqué n° 1430 : Sur un changement de politique de l’In-nocence

Communiqué n° 1430, samedi 8 septembre 2012
Sur un changement de politique de l’In-nocence

Le parti de l’In-nocence a décidé d’abandonner un de ses points de doctrine originels, à savoir l’absence, de sa part, de tout prosélytisme. Il estime désormais la situation trop grave, avec le changement de peuple en cours et toutes ses conséquences sur l’ordre public, l’enseignement, l’état du territoire, pour qu’il puisse s’offrir plus longtemps le luxe de ne pas tout faire pour que sa voix soit entendue et pour que des sympathisants toujours plus nombreux le rejoignent. Ceci est la condition de cela : le parti ne pourra peser dans les affaires du pays et participer efficacement aux débats, ceux qui ont lieu et ceux qui sont jusqu'à présent tenus sous le boisseau, qu’en assumant plus complètement qu’il ne l‘a fait jusqu’à présent son statut de parti, en enjoignant à le rejoindre tous ceux qui partagent son sentiment d’urgence sur le destin de la nation, en faisant toujours davantage pour diffuser ses thèmes principaux : Grand Remplacement, nocence & in-nocence, déculturation, décivilisation, urgence d'une sécession scolaire et de la formation d’une nouvelle élite, intellectuelle, culturelle, morale et spirituelle.

Œuvrer, en somme, à une nouvelle Renaissance.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

"en assumant plus complètement qu’il ne l‘a fait jusqu’à présent son statut de parti"

Donc militants ? donc campagnes électorales ? donc élections ?

Je me félicite de ce changement de politique.

Cher Didier Bourjon,

Vous usez d'un vocabulaire, disons, barésien. Je n'ai rien contre. Mais il me paraît voué au chipotage et trop défensif.
Le communiqué de son côté utilise le mot prosélytisme, juste mais embarrassant : il est largement "connoté péjorativement". Aussi peut-il se révéler contre-productif pour les In-nocents.

Cher Nicolas P.,

que proposez-vous en retour ?

Cher Pyrrhon,

Je supprimerais la première phrase.

(Message supprimé à la demande de son auteur)

Cher Didier Bourjon,

Quand on est accueilli, on attend qu'on vous y invite pour prendre ses aises. Dont acte.

À moi ?

J'essayais de m'y mettre...

Avec toute ma considération, et ma sympathie.