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Communiqué n° 1466 : Sur la brève occupation du chantier de la future mosquée de Poitiers

Communiqué n° 1466, samedi 20 octobre 2012
Sur la brève occupation du chantier de la future mosquée de Poitiers

Le parti de l’In-nocence salue avec admiration et sympathie l’action des courageux jeunes gens qui quelques heures durant, de façon totalement non-violente et sans profanation puisque l’édifice n’est pas encore consacré, ont occupé le toit de la future grande mosquée de Poitiers. En faisant choix de cette ville, haut lieu du refus millénaire de l’islamisation de notre pays, et en procédant de manière parfaitement in-nocente, ils ont témoigné non seulement de leur amour de notre civilisation et de notre patrie, du rejet de la colonisation en cours et du Grand Remplacement, mais aussi de leur intelligence de la dramatique situation où nous sommes, alors que le territoire national se couvre de mosquées avec la bénédiction empressée des laïcards d'hier et des convertis de demain, dont ils ridiculisent les contradictions et les hypocrisies. Sans se livrer au moindre chantage, sans rien demander en échange de leur évacuation, ils n'ont fait que réclamer que soient consultés les électeurs sur ce qui survient. Et c’est cette revendication légaliste entre toutes qui leur vaut d'être traités de tous les noms rituels de la haine idéologique par le complexe médiatico-politique. Puisse leur exemple pacifique contribuer au réveil, avant qu’il ne soit tout à fait trop tard, de notre peuple hébété du matin au soir et du berceau au mouroir par l’endoctrinement remplaciste.
D’après le Nouvel Observateur, les islamistes du MRAP, de SOS Racisme et d’un mystérieux Rassemblement des musulmans de France, que je suppose groupusculaire, exigent 1. « la dissolution immédiate de toutes les poupées gigognes de la mouvance identitaire d'extrême droite qui a occupé le chantier de la mosquée de Poitiers », 2. la fermeture de « l'ensemble des sites internet de la mouvance identitaire », 3. « l'inculpation, pour incitation à la haine raciale, des dirigeants de ces formations d'extrême droite ».

C’est amusant. Ces gens réagissent toujours de la même façon, en exigeant persécution politique, censure, procès truqués. Peu importe ce que vous avez fait (écrit un roman comme Salman Rushdie, fait un petit dessin comme Kurt Westergaard, ou manifesté pacifiquement sur le chantier d’une mosquée). Ce sont eux qui décident de la qualification des faits, de leur gravité, et de la sanction qui s’impose. Les libertés politiques (d’expression, d’association, de manifestation) sont perçues comme tout à fait subsidiaires, voire complètement méconnues.

[tempsreel.nouvelobs.com]
Je me demande s'il ne serait pas opportun de souligner le fait que tous ces procureurs ont été condamnés par la Justice:`
- Harlem Désir pour avoir occupé un "emploi fictif", c'est-à-dire pour avoir abusé des fonds d'une Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants : [tempsreel.nouvelobs.com]
- son rival lors de l'élection du premier secrétaire du PS, Cambadélis pour des abus commis aux dépens de la MNEF et pour avoir "occupé un emploi fictif" dans une société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés : [www.lemonde.fr]
- Jean-Marc Ayrault, condamné à six mois de prison avec sursis et 30 000 francs (4600 euros) d'amende, pour des faits de favoritisme : [www.lexpress.fr]

etc.
Rémi a raison : une bonne partie des donneurs de leçons ont eu affaire à la justice.

Je saisis l'occasion pour signaler qu'une mosquée, contrairement à une église, n'est pas consacrée. Elle peut être inaugurée, si on veut, mais elle est propre à la prière à tout instant, y compris quand elle n'est pas terminée.
De toutes façons pour un musulman tout le territoire du "dar-el-islam " est "mosquée". On peut y prier partout. Or la France est devenue "dar-el-islam" pour la plupart des musulmans.
Jean-Marc,

le dictionnaire indique que "consacrer" signifie en français "rendre sacré en dédiant à un dieu, une divinité".

Il était donc logique d'utiliser ce terme à propos d'une future mosquée : sur le territoire de la France, pour y décrire ce qui y advient, nous n'avons pas à employer une autre langue que la nôtre ou à la plier à des exigences d'interprétations étrangères à notre tradition nationale.
C'est exactement cela, la prière peut être faite en tout endroit, la mosquée est essentiellement un lieu de rassemblement. Une maison peut servir de lieu de prière, ou une rue.

Certaines formes de protestantisme ont la même approche : les temples sont simplement des bâtiments où l'on se regroupe.

J'ignore le statut exact des synagogues, mais je ne suis pas persuadé qu'elles aient un caractère sacré et nécessitent donc une "consécration".
Non, Rémi, c'est une question de compréhension de cette religion, que Cassandre exprime d'ailleurs très bien.

Pour le chrétien, il y a des lieux "sacrés", au sens premier du mot, dont les églises. Pour les musulmans, la notion n'est pas la même. Certains lieux ont un statut particulier, mais la terre (ou du moins la terre d'islam) est une immense mosquée. J'ignore le statut exact des mosquées dans les pays non-islamiques, du point de vue de leur droit.

Plus concrètement, pour le chrétien, tant qu'une église n'est pas consacrée, c'est un bâtiment profane. Pour le musulman, il n'y a pas de solution de continuité entre le terrain, le bâtiment, la mosquée.
Je saisis l'occasion pour signaler qu'une mosquée, contrairement à une église, n'est pas consacrée.

On peut aussi rappeler qu’Al-lah est le nom de l’une des 300 divinités adorées à la Mecque. C’est la divinité non-spécialisée (simplement : « le dieu »). Il a son pendant féminin (Al-lat, en toute logique). Il y a un monsieur qui s’appelle monsieur Rushdie qui a été condamné à mort au nom de la communauté des musulmans de la planète (l’oumma) simplement pour avoir fait allusion à ces détails dans un roman qui parlait de tout autre chose.
"ce matin à 6 heures, ils ont envahi la mosquée de Poitiers, privant les fidèles de leur prière". C'est la première phrase du commentaire de cette vidéo diffusée (et vendue aux quotidiens en ligne, dont Le Figaro.fr) par BFM.TV sur la manifestation non violente de Generation Identitaire au chantier de la future mosquée de Poitiers. Cette mosquée n'a pas été encore inaugurée, cette manifestation n'a donc pu "priver les fidèles de leur prière". Qu'importe, l'essentiel n'est pas la véracité des faits rapportés, mais ce que vous devez en penser, ce qu'il vous faut ne surtout jamais penser: le réel et ce qui y survient.

[www.lefigaro.fr]
Mais enfin, Jean-Marc, il n'y a aucune raison de faire dépendre l'usage du terme "consacrer", tel qu'il est défini par le dictionnaire, de l'autorisation de telle ou telle religion. Dans une mosquée, comme dans une église, on y prie, on y rend un culte. Pour décrire le lieu dédié à cette pratique en France, l'usage en français sur le sol français est de dire qu'il est "consacré". Que la secte des adventistes du quinzième jour ait une autre conception, peu nous chaut.
Rémi,

Je voulais dire que la phrase sans profanation puisque l’édifice n’est pas encore consacré ne correspondait pas à une réalité, c'est tout.

Il n'est nul besoin de parler de profanation, c'est un abus de langage par assimilation au culte catholique.

Vous êtes juriste, vous noterez donc que le terme "profanation", pour des tombes par exemple, est fort récent dans notre droit. Auparavant, on ne connaissait que la "violation de sépulture", on a créé la notion de "profanation" pour des actes symboliques dépourvus de tout lien avec le fait de rendre impropre au culte (par exemple, casser des bancs dans une église ne la profane pas ; jeter un calice au sol le profane).
Ah maintenant c'est le terme "profanation" qui ne convient pas. Le dictionnaire nous dit qu'il signifie "action de profaner les choses sacrées" et au figuré "mauvais usage ou irrespect des choses précieuses, irremplaçables".

Le communiqué dit donc qu'il n'y a pas eu un mauvais usage d'un lieu dédié au culte musulman.

Vous dites que le terme "profanation" est utilisé aujourd'hui en droit "pour des actes symboliques dépourvus de tout lien avec le fait de rendre impropre au culte" : ça tombe bien, la mosquée n'était pas encore dédiée au culte, c'était un chantier. C'est précisément ce que voulait souligner le communiqué.

Bon, pardonnez-moi, je dois vous laisser pour aller sodomiser d'autres diptères. C'est dimanche après tout.
Sur le fond, Rémi, vous avez raison, j'ai une tendance au pinaillage et j'ai tort. Je pense simplement que le niveau d'exigence sur ce forum en matière de syntaxe, d'orthographe, d'orthotypographie devrait s'étendre aussi à la vérification des faits, mais je le pense à l'évidence avec une insistance non-appropriée.
En l'occurrrence, si je peux me permettre, je ne trouve pas que Jean-Marc pinaille : écrire que l'on n'a pas profané une mosquée parce qu'elle n'a pas encore été "consacrée" ne veut rien dire du tout, si tant est qu'une mosquée n'est jamais "consacrée", et par conséquent la profanation, y commise ou non, ne peut dépendre de ce qui n'y a jamais lieu.
C'est une question de juste bon gros sens aux dimensions confortables.
Vous avez raison Alain, il ne s'agit pas d'un pinaillage et cette question touche à une problématique fondamentale: l'Islam ne se reconnaît aucun lieu circonscrit non plus que borné dans le temps (à la différence des églises du christianisme: la "consécration" d'un lieu saint dans le christianisme pose que ce lieu demeurerait profane jusqu'à sa consécration, vaut acceptation implicite qu'il appartenait jusqu'à ce moment à l'espace de la laïcité). Ces bornes temporelles absentes, que refuse de se donner l'Islam (et qu'il faudrait peut-être mettre en relation avec le caractère dit "incréé" de ses textes) fait tout le problème -- le lieu saint, dans cette religion, c'est tout l'espace où sont présents des musulmans d'où l'offense permanente qui leur est faite par le fait de seulement vivre à leur côté, de seulement partager l'espace avec eux quand on n'est pas des leurs. Ce chantier de mosquée, puisqu'il était leur, n'avait point besoin d'être mosquée fonctionnelle pour être sacré: il était déjà sacré parce qu'il était leur.

Système théologique le plus épouvantablement orgueilleux qui se puisse concevoir, et dans lequel le concept de laïcité n'a aucune espèce de sens.
» Système théologique le plus épouvantablement orgueilleux qui se puisse concevoir, et dans lequel le concept de laïcité n'a aucune espèce de sens

Ce que vous dites là, cher Francis, me rappelle singulièrement les premières phrases de ce que j'avais avancé ici...
"Système théologique le plus épouvantablement orgueilleux qui se puisse concevoir, et dans lequel le concept de laïcité n'a aucune espèce de sens"

(Ni celui d'autocritique.)

Ce n'est que trop vrai.
Comment consacre-t-on une mosquée ? Avec de l'eau bénite ?
L'expression est mal choisie je trouve.
Bourdin : "Est-ce que vous savez que le monde bouge, que les gens voyagent et que les frontières sont poreuses, ouvertes ? (...)
Vous voulez quoi, une nation blanche de peau, une nation aux yeux bleus ? Vous voulez quoi comme nation, vous voulez quoi ?"

Que faire contre ça ?
Nous voulons choisir, ce qui est le contraire de la submersion passive, de l'abandon de soi à l'existant, par exemple, à cet existant-ci:

«Des organisations criminelles turques de passeurs, agissant en quasi-impunité en Turquie, impactent lourdement le territoire Schengen et donc la France, assure la PJ : elles sont responsables, notamment depuis 2009, des principaux flux d'entrées massives dans l'UE, via la Grèce et la Bulgarie, de clandestins en provenance de Turquie, Afghanistan, Pakistan, Sri Lanka, Bangladesh, Syrie, Irak, Maghreb, Somalie et Caucase notamment.» Cette filière représente «90 %» du flux d'illégaux en Europe!"

[www.lefigaro.fr]


Nous ne voulons plus rien subir sans contrepartie de ce qui relève exclusivement du choix des hommes, et donc du politique.
Nous connûmes des peuples blancs de peau, des peuples aux yeux bleus, par contre une nation blanche de peau, qu'est-ce que ça ?
Parfois, je me prends à rêver d'entendre un Francis Marche répondre à la radio aux questions objurgatoires (hum... désolé) d'un Bourdin bien lourdingue...
22 octobre 2012, 15:28   L'UOIF et l'iman El-Hadj Amor
« Pour convaincre l’UOIF de mettre la main au porte-monnaie, El-Hadj Amor a utilisé un argument choc: « J’ai fait valoir l’histoire de Poitiers. Un lieu de culte et de paix sur les ruines de la bataille de 732: tout un symbole. »

C'est dans l'Express, et ça date du 10 janvier 2005.

[www.lexpress.fr]


Et quand on voit les mêmes responsables de cette mosquée bavasser aujourd'hui dans les micros du JT de 20 heures que les jeunes de Génération Identitaire "vivent dans le passé, le mythe et le goût des conflits de civilisation", et toute notre classe politique corrompue de leur faire chorus... Nous sommes seuls. Ces jeunes sont seuls. La Résistance est seule. Elle a du travail sur la planche.
22 octobre 2012, 16:18   Re : L'UOIF et l'iman El-Hadj Amor
Pourquoi pas, tant qu'on y est, en signe de réconciliation et de paix, une réplique du reichstag à Auschwitz ?

Je crois que jamais dans toute l'histoire on n'a pris à c epoint le peuple pour un imbécile !
Utilisateur anonyme
22 octobre 2012, 17:05   Re : L'UOIF et l'iman El-Hadj Amor
Certes, et avec une telle intensité qu'imbécile, il l'est en grande partie devenu.
Dans le droit fil de ce petit dialogue avec l'ami Eytan: cette déterritoralisation et détemporalisation qu'opère l'Islam s'accordent, sont cohérentes, sont paradigmatiquement en harmonie avec la mondialisation. Le sans-frontiérisme est musulman, et il est certes nullement fortuit que l'essor de cette religion en Europe et ailleurs accompagne, escorte comme un vol de mouettes le chalutier à l'oeuvre sur l'océan, l'essor de la mondialisation économique et financière. L'Islam est la religion de ces temps-ci, de cette période historique-ci, inaugurée avec le millénaire, comme le protestantisme avait été celle de l'essor du capitalisme industriel, le catholicisme celui de l'émergence des Etats-nations dans le monde occidental, puis de son essor colonial. L'étalement de l'islam sur l'humanité est corrélable, consubstantiel à l'uniformisation et à l'abstraction croissantes des territoires nationaux et des terroirs que les sociétés humaines, implantées ou natives, avaient jusqu'ici faits leurs et qui se voient perdre tout objet et toute singularité en régime économique mondialisé. En Europe, les institutions de l'Union européenne sont providentielles pour les agents de cette mutation -- il est probable que l'islam soit devenu religion pan-continentale de l'Europe avant même d'avoir été dominante sur le sol de France et quasi-officielle pour son Etat.

La finance islamique, une des plus mondialisées qui soient, pourvoit à cette mutation pan-continentale, transcontinentale. Ce dont rêvait le communisme, et qu'il n'a pu réaliser – l’assujettissement et l’indifférenciation de l’humanité --, l'islam va le faire.
"En Europe, les institutions de l'Union européenne sont providentielles pour les agents de cette mutation"

Proposition d'amendement : "En Europe, les politiques choisies par les représentants des peuples élus au suffrage universel et les représentants des gouvernements des Etats-nation au sein des institutions de l'Union européenne" (le reste sans changement)

On peut préférer une forme plus ramassée : "En Europe, la politique de l'UE"
L'Europe, par dépérissement du sentiment national -- en attendant la dispariton pure et simle des nations -- est, en effet, une zone de déploiement idéale pour l' umma qui ne connaît ni frontières ni nations.
L'Europe n'est pas la cause du dépérissement du sentiment national, elle en est plutôt un des effets. Et ce dépérissement, à mon sens en grande partie inéluctable dans les formes que ce sentiment prenait jadis, dont certaines ne sont certainement pas à regretter (chauvinisme, etc.), ne peut être dépassé positivement que dans l'affirmation d'une identité européenne que les Etats-nation ont en partage.

La faute majeure des responsables politiques l'Union européenne est d'avoir bradé l'identité particulière de l'Europe contre son identification à des droits universels. De ce point de vue, elle répète ce que la France a fait ces quarante dernières années et à cause de quoi elle s'est perdue.

On se souvient de la petite annonce qu'un juif avait fait passer dans un journal avant la fondation de l'Etat d'Israël : "Échangerais deux mille ans d'Histoire contre un peu de géographie". Il faudrait échanger l'Universel européen, qui est une contradiction dans les termes, contre un peu de particulier.
« l'Universel européen, qui est une contradiction dans les termes »

De cette confusion entre l'Europe et une entreprise universaliste vient une grande partie du mal, ce marais dans lequel les institutions européennes sont enlisées. De là l'incapacité, notamment, à penser des racines et des frontières à l'Europe.
En l'occurrence peu importe qui de la poule ou l'oeuf est responsable. Je me contentais de constater une simultanéité entre la perte du sentiment national et l'évolution de l'Europe.

On pourrait dire, et c'est une idée que j'ai entendu dans la bouche d'A. Finkelkreaut , que Vichy et la collaboration s'expliquent aussi bien par un déficit de sentiment national que par un excès.
Citation
Cassandre
L'Europe, par dépérissement du sentiment national -- en attendant la dispariton pure et simle des nations -- est, en effet, une zone de déploiement idéale pour l' umma qui ne connaît ni frontières ni nations.

Le Maître précisa naguère, sur un autre fil, que la question européenne est, avec la proche-orientale, celle sur laquelle le PI n'a jamais pu élaborer une doctrine définitive, faute d'une trop grande divergence de vue entre ses membres.

Votre contribution, chère Cassandre, illustre à merveille ce propos car je vois, pour ma part, dans l'Europe, civilisationnelle et même institutionnelle, l'ultime rempart contre l'islamisation de la France. On m'objectera la CEDH, le Parlement où siègent quelques unes de nos plus belles chances et que sais-je encore. Certes, mais précisément je doute que l'Espagne, la Hongrie, ou l'Estonie envoient dans cette enceinte beaucoup de représentants levantins.

Combien de voix drainerait un parti islamiste au niveau national (attendons quelques mois pour le savoir...)? Et combien, même avec le Royaume-Uni, même avec l'Allemagne, au niveau européen?

Les principaux intéressés ne s'y trompent pas, qui fustigent l'Europe pour mieux souligner ce que nous devrions au bassin méditerranéen, qui dédaignent Chopin pour faire donner les youyous...

Encore que cela changerait rapidement s'il fallait en croire certains événements récents (débat sur la référence aux racines chrétiennes de l'Europe), tant et si bien que l'on en viendrait à souhaiter une Europe moins française...
23 octobre 2012, 22:16   Poitiers
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