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Communiqué n° 1467 : Sur les médias et l’occupation de la mosquée de Poitiers

Communiqué n° 1467, lundi 22 octobre 2012
Sur les médias et l’occupation de la mosquée de Poitiers

Le parti de l’In-nocence constate que l’occupation pacifique et sans violence, par un groupe de jeunes gens anti-remplacistes, du chantier de la future grande mosquée de Poitiers reçoit très peu d'écho de la part du complexe médiatico-politique, comme si cette puissance-là était effrayée par le pouvoir d’exemple de cette action intelligente, courageuse, in-nocente et de forte portée symbolique.

Le parti de l’In-nocence estime pour sa part qu’elle marquera une date dans l’histoire de la résistance de notre peuple à son Grand Remplacement et au changement de civilisation. D’ores et déjà elle permet de mesurer, par le relatif silence qui l’entoure, à quel point la prétendue “actualité”, avec ses mises en exergue et ses mises à l’écart parmi ce qui survient, est une création de tous les instants, une sélection biaisée pour modeler les esprits et décourager les prises de conscience, une fiction méticuleuse au service du changement de peuple, un roman national à l’envers, une veule épopée de la soumission.
MANIFESTATION - Samedi, ces militants de Génération identitaire avaient déployé une banderole sur le toit du bâtiment...

La garde à vue des quatre membres de Génération identitaire qui ont participé samedi à l'occupation de la mosquée en chantier de Poitiers (Vienne) pour protester contre «l'islamisation de la France» a été prolongée dimanche, a indiqué le parquet. Ces quatre personnes, âgées de 23 à 26 ans, sont considérées comme les animateurs du mouvement d'extrême droite, dont l'action a suscité une vague de protestations. Elles font l'objet d'une enquête pénale pour «organisation d'une manifestation non autorisée, provocation à la haine raciale, dégradation et vol, participation à un groupement en vue de préparer des violences ou des dégradations en réunion», a précisé le procureur Nicolas Jacquet.

Samedi matin, plus de 70 manifestants avaient déployé sur le toit de l'édifice religieux, à Buxerolles (Vienne), une banderole portant la mention «732, génération identitaire», en référence à l'année 732 où Charles Martel a arrêté la progression des troupes musulmanes au nord de Poitiers. Par cette action Génération identitaire, jeune mouvement proche du Bloc identitaire, cherchait à attirer l'attention sur ses revendications, notamment la mise en place d'un référendum national sur l'immigration et la construction de lieux de culte musulmans en France. «Nous ne voulons plus d'immigration extra-européenne ni de nouvelle construction de mosquée sur le sol français», peut-on lire sur son site Internet. Les manifestants, arrivés sur place vers 6h00 avec une tente et un groupe électrogène, ont accepté d'évacuer les lieux six heures plus tard sous la menace d'une intervention policière demandée par le préfet de la Vienne Yves Dassonville.

Fermes condamnations

Des partis de gauche et des associations ont demandé samedi la dissolution du mouvement d'extrême-droite. Le Parti socialiste par la voix de son premier secrétaire Harlem Désir a dénoncé un «groupuscule fanatique dont les agissements violents sont une menace pour l'ordre public, la sécurité des personnes et pour la cohésion républicaine». Cette action a été vivement dénoncée par l'ensemble de la classe politique à l'image du Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui a, selon Matignon, condamné fermement «cette provocation qui révèle une haine religieuse inacceptable» et constitue une «agression contre la République et ses valeurs». Pour le secrétaire général de l'UMP Jean-François Copé, cet événement montre «combien nous devons promouvoir la laïcité». Les institutions représentatives de l'islam de France ont également fortement réagi. Le Conseil français du culte musulman (CFCM) a dit y voir le signe d'une «nouvelle forme de violence antimusulmane».

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De plus en plus souvent, lorsqu'il y a des violences urbaines dues à des "jeunes" (ceux dont on ne précise jamais l'appartenance ethnique), se glisse entre les phrases des articles de presse l'information suivante, capitale à mon sens : « il n'y a eu aucune interpellation ». Tandis que les courageux jeunes gens de Génération identitaire ont droit à des gardes à vue prolongées, eux.

On voit très bien à qui le régime ose s'attaquer, et à qui il n'ose pas.
Vendredi dernier 7 septembre, un inconnu a uriné dans les deux grands bénitiers de l’église Notre-Dame la Grande de Poitiers (rien dans la presse, un signalement sur le Forum Catholique). Silence de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur (et des cultes…). L’église de Cormery (Indre-et-Loire) saccagée et profanée au milieu de la semaine dernière (signalement dans La Nouvelle République qui évoque des faits similaires survenus à Corçay de manière presque concomitante, et des « actes très similaires » survenus en Loir-et-Cher « ces derniers mois ».

Suite : Deux poids, deux mesures
Les identitaires sont mis en examen entre autres pour "vol et dégradations de biens commis en réunion et portant sur des tapis de prière appartenant à la mosquée de Poitiers ». Ces tapis de prière, apparemment emportés sur le toit de l’immeuble, où ils ont souffert des intempéries, sont devenus une sorte de grande cause nationale, dans la presse remplaciste. On assiste en direct à la création d’un nouveau délit de blasphème, l’atteinte au tapis de prière, par une sphère médiatico-politique qui semble s’être donnée pour objectif la talibanisation de notre société.

Ceci dans un pays où la moitié de la population semble en permanence suspendue à des grilles, des immeubles, des panneaux, des wagons, pour protester contre on ne sait trop quoi, la réclame invasive, le nucléaire insidieux, les OGM pleins d’embûches, etc.

On a dépassé toutes les bornes du ridicule.
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