Le site du parti de l'In-nocence

Les Tarterêts la nuit dernière

Envoyé par Marcel Meyer 






LES MÉDIAS N'EN PARLENT PAS !ALORS JE LE DIFFUSE !!

JUSTE POUR INFO
VOILA CE QUE L'ON NE DIT PAS AUX INFOS NATIONALES :

Collègues de la C.R.S.29,
Salut à tous
et aussi à vous braves gens crédules qui ne croyez que ce que vous voyez ou entendez aux infos.
J'étais sur les "Tarterets", hier soir, pris à partie.
Pour résumer, les collègues ont contrôlé une camionnette pourrie
et ont vu une vingtaine d'e*****és cagoulés (barre de fer, batte de base ball et surtout pavés)
fondre sur eux depuis une butte juste au-dessus d'eux.
Les 4 collègues qui étaient en contrôle ont juste eu le temps de se jeter à l'intérieur du véhicule
tandis que Régis (le conducteur) prenait un pavé en plein visage.
Et là, déferlement de violence, les mecs ont essayé de rentrer à l'intérieur,
les collègues qui étaient derrière tenaient les portes pendant que Régis se faisait éclater la tête à bout portant par des pavés
(17 pavés à l'intérieur du véhicule entre 500 g et 1 kilo, du sang partout, radio explosée),
j'ai vu le véhicule : c'est un truc de fou.
UN a réussi à rentrer par derrière (en ouvrant la porte par pesée !!! AVEC UN PIED DE BICHE)
et a tiré la caisse munition qui, heureusement, était quasiment vide car les potes s'étaient bien équipés.
Par chance, Régis n'a pas perdu connaissance, malgré la rafale qu'il a pris
et a réussi à desserrer le frein à main pour partir malgré 2 pavés coincés sous les pédales.
C'est juste un miracle que Régis soit en vie aujourd'hui (nez fracturé, plancher orbital enfoncé et plaies diverses),
parfois on a des réflexes de survie insoupçonnables, car s'il perd connaissance,
les mecs rentrent dans le boxer et, là, je pense qu'il y a mort d'un côté ou de l'autre.
Les autres potes sont choqués par la violence de l'agression.
Ils ont la haine de ne rien avoir pu faire pendant que Régis ramassait
mais, malheureusement, ils n'ont pas eu le choix.
Nous, on est arrivé quelques minutes après,
on a progressé à pied dans la cité mais évidemment plus personne.
Pendant ce temps là, à Grigny, l'autre demie compagnie prenait des fusées de détresse en tir tendu
et 1 pavé de 10 kgs lancé du 10ème étage qui sest éclaté à 2 mètres d'eux.
DE MEME SUITE, ENCORE SUR GRIGNY, A LA GRANDE BORNE ,
UNE PATROUILLE CRS A ETE PRISE A PARTIE
PAR UNE DIZAINE D'INDIVIDUS CAGOULES LEUR JETANT DES COCKTAILS MOLOTOV.
BILAN : 3 BLESSES DONT UN COLLEGUE AYANT RECU LE COCKTAIL SUR LUI ET AYANT PRIS FEU.
HEUREUSEMENT, NOS TENUES SONT BONNES ; IL S'EN SORT AVEC BRULURES ET COUP DE CHAUD.....

MERCI LES MEDIAS DE PARLER DE TOUT CELA A VOS CITOYENS.
Service Technique de Recherches judiciaires et Documentation
Division des Applications Judiciaires
Groupe Administration JUDEX
01, Boulevard Théophile Sueur
93111 ROSNY SOUS BOIS

Français dormez tranquilles,
tout est en ordre,
continuez à croire les médias et à ne pas soutenir la police contre les voyous qui les agressent,
la violence se rapproche de vous peu à peu,
Mais ne pleurez pas demain sur votre sort quand elle sera à votre porte et que vous en serez victime.
Si vous pensez comme moi, diffusez ce mail, sinon acceptez la situation bien assis sur votre séant mais ne venez pas vous plaindre le jour ou vous serez victime d'une telle violence....
Dans la série « c’était mieux avant »

J’ai connu les Tarterêts de près à l’époque où j’étais interne au Lycée de Corbeil-Essonnes, entre 1961 et 1964. Le Lycée, bâti en 1958, est situé au bord de la Nationale 7. Il suffisait de traverser la route et l’on entrait dans ce qui était alors une très jolie forêt occupant une bonne partie du coteau qui menait de là aux berges de la Seine. En 1963-64 la discipline de l’internat s’était quelque peu allégée et je pouvais sans provoquer de scandale sortir de l’enceinte — laquelle n’était pas fermée — après les cours pour aller faire une promenade dans ce bois. Je me souviens notamment d’une soirée de fin de printemps où les quelques dizaines de minutes que j’y passai furent accompagnées d’un concert d’oiseaux qui me sembla extravagant de puissance et de beauté : des milliers d’oiseux peut-être chantant à tue-tête sur tous les tons, on aurait dit les grandes orgues de la Nature.
On nous amuse avec Cahuzac, et pendant ce temps il y a cette épouvante.
Utilisateur anonyme
06 avril 2013, 12:50   Re : Les Tarterêts la nuit dernière
Ainsi qu'avec le mariage gay.
Tous ces machins sont du pain béni pour le gouvernement & pour le Système, qui pendant ce temps n'ont pas de comptes à rendre sur ce qui arrive.
Et à Marseille, au cours des trois derniers jours:

1) [www.laprovence.com]

2) Voilà également le titre d'un autre article qui sera mis en ligne demain: Laissé pour mort devant son collège après des insultes. Un élève de 15 ans victime d'une expédition punitive et gravement blessé.
On nous amuse avec Cahuzac ?

Un ministre du budget qui pourfend la farude fiscale et qui fraude, qui ment devant le Parlement, ce n'est rien ? un Président qui, à l'évidence, pratique la politique du chien crevé au fil de l'eau, ce n'est rien ?

Il me semble avoir vu autrefois un communiqué à propos de M. Woerth, par exemple.
Je suis d'accord avec Anna. Cahuzac est offert en victime expiatoire, en bouc émissaire. Ce n'est certes pas immérité mais ces gens ne doivent pas pouvoir s'en tirer à si bon compte.
Marcel,

Voici ce qui avait été publié à propos de M. Woerth.

[www.in-nocence.org]

Que les mafaiteurs des Tarterêts doivent être pourchassés, c'est une évidence. Que le comportement de M. Cahuzac (non pas tant son compte en Suisse que son impudence devant le Parlement) cause un trouble majeur, c'est une évidence aussi.
Utilisateur anonyme
06 avril 2013, 14:54   Re : Les Tarterêts la nuit dernière
Des scandales à la Cahuzac, il y en a plusieurs par siècle. C'est certes désolant, mais mille fois moins grave à mes yeux que le phénomène majeur dont les récents événements des Tarterêts sont la preuve et le reflet.
Je me permets de copier-coller le message que j'avais posté il y a quelques jours sur un autre fil :

"Certes, monsieur Cahuzac a agi en contradiction totale avec la morale économique qu'il entendait pourtant imposer au Français, gravement menti aux représentants de la France et par conséquent à la France elle-même. L'indignation que soulève son comportement est légitime. Mais on êut aimé que, à plus forte raison, la même indignation accablât au moins autant le personnel politique au service du système, personnel politique qui depuis trente ans vit en contradiction totale avec la morale immigrationniste et vivrensembliste qu'il entendend pourtant, lui aussi, imposer aux Français et qui a gravement menti à la France en soutenant que, depuis trois décennie, le nombre d'immigrés n'avait pour ainsi dire pas augmenté, que l'islam n'était qu'amour, paix et tolérance et que l'insécurité n'était qu'un fantasme, de surcroît raciste quand on la liait à l'immigration. Or ces mensonge qui mettent en péril non pas un gouvernement ni un régime mais l'existence même de la France historique, menacent son identité et son peuple, n'ont à ce jour soulevé aucune indignation dans la caste médiatico-politique. Monsier Cahuzac si coupable soit-il apparaît un peu comme l'âne de la fable.
On s'attarde sur une délinquance qui, au fond, ne mine le quotidien de personne, ne regarde personne (Cahuzac et Augier appartiennent à une oligarchie qui évolue sur une autre planète), et l'on néglige d'aborder de front des comportements sauvages qui pourrissent chaque heure de la journée de millions de Français. C'est aussi ça, le problème.

Je crois même qu'on peut appliquer, à raison cette foi, le discours excusologique sur l'insécurité, ce discours qui minimise, à celui sur le pouvoir corrompu: le gros des politiques, par exemple, est intègre et dévoué.
Certes, mais pourquoi s'être alors ému du comportement de M. Woerth en son temps et ne pas s'émouvoir de celui de M. Cahuzac maintenant ?
Peut-être parce que nous pardonnons moins aisément leurs turpitudes aux gens pour qui nous avons voté.
Marcel,

Vous reconnaitrez là, j'en suis sûr, mon mauvais esprit habituel.

Il me semble cependant que le propos de l'In-nocence, tel que je le comprends (et c'est la raison pour laquelle je persiste à intervenir sur ce forum) est de clairement définir ce qu'est une nocence, pusi de rechercher comment en diminuer les effets.

Cela suppose une sort d'indépendance du point de vue (une porte qui claque, qu'elle soit claquée par M. Woerth ou M. Cahuzac fait le même bruit. Je prends l'exemple de la porte qui claque, sans doute à tort, car ces messieurs sont bien élevés et ne claquent pas les portes. Cela étant, comme une porte dérobée, plus dans leur style, ne fait pas de bruit, je reste à la port equi claque).

Que des évènements se passent en banlieue et qu'ils soient des nocences, j'en suis certain.

Qu'il y ait d'autres nocences, j'en suis certain aussi. Le cahuzachéen comportement décroche le pompon, comme on dit. Je ne crois pas qu'on ait déjà vu ça. Comme abaissement de la démocratie représentative, on ne fait pas mieux.

Il y aurait bien sûr une autre façon de voir les choses : supposer que la nocence procède éternellement de ce qui est nommé ici le Grand Remplacement et qu'elle lui est consubstantielle (Bourdalou disait à peu près cela du Saint-Esprit) et qu'à côté de cette sorte d'hyper-nocence, de cette nocence complète et parfaite, le reste n'est que détail, du radar qui vous piège à 51 km/h jusqu'à la peste noire.
Citation
Jean-Marc du Masnau

Il y aurait bien sûr une autre façon de voir les choses : supposer que la nocence procède éternellement de ce qui est nommé ici le Grand Remplacement et qu'elle lui est consubstantielle (Bourdalou disait à peu près cela du Saint-Esprit) et qu'à côté de cette sorte d'hyper-nocence, de cette nocence complète et parfaite, le reste n'est que détail, du radar qui vous piège à 51 km/h jusqu'à la peste noire.

Peut-être caricaturez-vous un peu, en employant ce langage théologique, certaines théories qui mériteraient un meilleur traitement. Le changement de population n'est pas séparable d'une dégradation des moeurs politiques, et peut-être est-il à son service, d'ailleurs (Eric Werner a cette hypothèse). Une société de citoyens un peu plus responsables et conscients ne se laisserait pas mener en bateau par des Ruquier et des Plenel, gruger par des Cahuzac, ni brutaliser par des sauvages qu'elle paie à raison du nombre d'enfants qu'ils font. Je ne crois pas que l'on se soit étonné, à Benghazi, au Caire, à Tunis ou à Paris, que les anciens dirigeants de ces pays aient accumulé des trésors personnels sur le dos de leurs peuples. Mais s'ils l'ont fait, s'ils ont pu le faire, c'est qu'il n'y avait pas de citoyens dans ces pays-là, seulement des sujets. Or, que devenons-nous ici, en France, grâce au changement de population, au mensonge institutionnel, à la partialité de la justice, et à la terreur dont bandes des quartiers sont responsables, sinon des sujets dont la voix ne compte pas ? Werner, qui est ici ma source, a le mérite d'insister sur les effets politiques de la terreur comme instrument de gouvernement, et il pense que la substitution de populations est politiquement bénéfique aux élites locales (européennes) : elle leur fournit un instrument de contrôle efficace sur les citoyens ou sur ceux qui voudraient l'être.
Cher Henri, la caricature est évidente, je me revendiquais de Bourdaloue, le prédicateur qui conduisit les dames à se munir de certain récipient de même nom, considérant la longueur de ses sermons.

Cela étant, votre message renforce mon idée première. Ces évènements existaient du temps de Sarkozy, et on parlait des turpitudes de Sarkozy, ils existent du temps de Hollande, et on ne parle pas de celles d'Hollande.
"Or, que devenons-nous ici, en France, grâce au changement de population, au mensonge institutionnel, à la partialité de la justice, et à la terreur dont bandes des quartiers sont responsables, sinon des sujets dont la voix ne compte pas ? Werner, qui est ici ma source, a le mérite d'insister sur les effets politiques de la terreur comme instrument de gouvernement, et il pense que la substitution de populations est politiquement bénéfique aux élites locales (européennes) : elle leur fournit un instrument de contrôle efficace sur les citoyens ou sur ceux qui voudraient l'être. "

Je n'ai pas lu ce Werner, mais je suis d'accord avec ce qui ressort de ses idées d'après le message d' Henri Bès.
Nous vivons une crise majeur et ceux qui l’ont lancé ne voudraient pas avoir des peuples forts et confiants près à leur rentrer dedans. Les laisser vivre dans la peur physique des "divers" , leur injecter le doute sur leurs cultures, leurs religions, leurs identités, c’est miner leurs forces dont le peu qu'il leur reste n'est plus mobilisé pour le combat civique mais pour une survie de plus en plus anxiogène.
M. Werner ne mélange-t-il pas cause et effet ?

Un esociété de citoyens n'a pas besoin de recourir à l'immigration pour exécuter les tâches les plus humbles.

Essayez de recruter une femme de ménage, et vous verrez qui vient.
Vous êtes fatigant et quelque peu à côté de vos pompes, sauf votre respect, du Masnau.

Cher Henri Bès, Werner semble formuler à peu près les mêmes réflexions que Renaud Camus dans son discours des Assises contre l'islamisation, celui qui lui vaut un proche procès. Insister sur les effets politiques de la terreur infligée aux indigènes par les bandes de barbares allochtones comme instrument de gouvernement est tout à fait semblable à la théorie de la nocence comme instrument du Grand remplacement. Quant à l'idée selon laquelle la substitution de populations fournit aux "élites" locales un instrument de contrôle efficace sur les citoyens ou sur ceux qui voudraient l'être, elle rejoint le constat que nous faisons tous, Terra Nova en tête..
Cher Monsieur,

Je vous laisse la responsabilité de vos jugements de valeur. Je ne vous ai jamais, je crois, mis en cause sur votre comportement ou votre façon d'être, même si j'ai contesté certaines de vos idées, je m'attriste que vous le fassiez. Vous savez en outre que je ne tiens pas à cet usage des patronymes pris isolément, et vous en usez à mon encontre. J'ai passé l'âge des casernes, être désigné par "du Masnau" ne me convient pas, mon identité principale, c'est le prénom qu'on m'a donné au jour de mon baptême. Dites simplement "Cher Monsieur", si vous ne pouvez me nommer "Jean-Marc".

Cela étant, il est évident que je n'apporte rien à une discussion sur les Tarterêts, vu que les opinions sont cristalisées, mon intervention aurait en effet été plus pertinente en réponse à un communiqué sur le comportement du Chef de l'Etat, je suis tout à fait prêt à l'admettre.
Citation
Jean-Marc du Masnau
Une société de citoyens n'a pas besoin de recourir à l'immigration pour exécuter les tâches les plus humbles.
Essayez de recruter une femme de ménage, et vous verrez qui vient.

Si vous entendiez ce que dit ma femme de ménage ! D'ailleurs elle est d'origine européenne, mais ce n'est pas de ma faute, c'est une collègue (lectrice du Nouvel Observateur au-dessus de tout soupçon) qui me l'a vivement recommandée.

Je ne crois pas pertinent l'argument des humbles tâches, qui donneraient droit de cité aux étrangers qui les accomplissent. On ne peut considérer comme le salaire d'une tâche, des droits politiques particuliers accordés à ceux qui l'accomplissent. Comparez donc la situation des Philippins dans le monde arabe, et celle des Afro-maghrébins dans le nôtre, et les humbles tâches aussi, tant qu'on y est. Mes propres grands-parents venus d'ailleurs pour travailler en France ne confondaient pas leur salaire, que leurs patrons leur devaient, et les droits et devoirs politiques des citoyens français qu'ils n'étaient pas et qu'il fallait solliciter, non exiger comme un droit, si l'on voulait rester. Vous dites qu'une société de citoyens ne recourt pas à l'immigration pour exécuter les tâches les plus humbles : pourtant, c'est à cause de 14-18, où des masses de Français sont morts en tant que citoyens, que certaines provinces vidées de leurs hommes ont vu arriver des étrangers, et parmi eux ma propre famille. Mais vous savez tout cela, et vous vous amusez à faire grimper les In-nocents aux branches...

J'ai un peu perdu de vue Eric Werner depuis Ne vous approchez pas des fenêtres, le dernier livre de lui que j'ai lu et qui m'a déplu. En revanche, les deux essais politiques (plus anciens, pour parler comme les journalistes quand ils évoquent le début du XXI°s) auxquels je pensais, L'après-démocratie et L'avant-guerre civile, sont lumineux.
Je n'ai pas l'impression que ce soient des "sujets" paralysés par la terreur qui ont élu avec une si confortable majorité l'équipe actuellement au pouvoir ; peut-être peut-on les accuser d'inconscience ou de déni caractérisé de réalité, mais dans ce cas je ne vois pas comment l'on pourrait être guidé dans ses choix politiques (et il s'agit bien de "choix") par la peur de ce qu'on est incapable de se représenter.
Cher ami,

Je n'ai pas dit que le fait de faire ces humbles tâches donne un droit quelconque. Je dis simplement que bien des Français (et votre femme de ménage est un contre-exemple admirable) répugnent à faire ces tâches-là et que certains justifient le recours à l'immigration pour ce motif.
Cher Alain,

Le problème est en effet là. Les électeurs parisiens voient très bien ce qui se passe, les bobos ne sont pas fous, mais ils préfèrent un monde multiculturel à un monde homogène, c'est librement qu'ils votent en sa faveur.

Ce serait une lourde erreur que de penser que des gens qui pensent ainsi le font sous la contrainte, et je suis certain que les sites du type "François de souche" les confortent encore dans leurs idées. On ne peut les convaincre que par le raisonnement, ils sont des rebelles en chambre, ils n'aiment pas qu'on leur assène des choses.
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