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Communiqué n° 1578 : Sur un faisceau d’événements récents

Communiqué n° 1578, jeudi 23 mai 2013
Sur un faisceau d’événements récents

Le parti de l’In-nocence note qu’en l’espace de quelques jours à peine, presque de quelques heures, l’historien Dominique Venner a mis fin à ses jours au pied de l’autel majeur de Notre-Dame de Paris, en une tentative désespérée pour attirer l’attention d’un peuple hébété sur le Grand Remplacement de population et de civilisation en cours, au bénéfice principal de l’islam ; qu’à Londres un soldat blanc a été sauvagement décapité en pleine rue au cri d’Allah akbar ; que la Suède vit une guerre ethnique ouverte, très semblable à celle qu’a connue la France en 2005, et que tout ce que trouve à dire de ces événements notre télévision officielle, ridiculement, c’est qu’ils « remettent en cause le modèle social suédois » ; que la même télévision, dans le même temps, diffuse un reportage sur les conversions à l’islam dans notre pays, qui s’effectueraient au rythme de quatre mille par an ; qu'en revanche elle ne croit pas devoir donner un instant d’attention à la mort d’Henri Dutilleux, certainement l’un des dix plus grands compositeurs français de tous les temps ; mais qu’elle se prépare, en toute probabilité, à accorder une place considérable au décès de Georges Moustaki, personnage et chanteur sans doute estimable mais culturellement et musicalement insignifiant.

Le parti de l’In-nocence estime qu’il y a un lien étroit entre l’effondrement culturel dont témoigne l’abolition revendiquée de l’échelle des valeurs culturelles, d’une part, et, d'autre part, l’aveuglement à peine moins revendiqué face au changement de peuple et de civilisation, celui qui a conduit Dominique Venner à son geste fatal et magnifique. La petite bourgeoisie qui règne seule, culturellement, se révèle chaque jour plus incapable et moins désireuse de défendre une civilisation qui au fond ne lui est rien et pour laquelle elle éprouve le même ressentiment haineux que les actuels colonisateurs contre-coloniaux. On a longtemps jugé très abusifs et déplacés les termes de “collaborateurs” et de “collaboration”, pour les promoteurs du remplacisme, les propagateurs de l’hébétude, les réducteurs au conflit social de la guerre de conquête ethnique et autres Amis du Désastre. Il se révèle quotidiennement, hélas, que ces termes sont en tout point pertinents et justifiés.
Merci pour ce très beau communiqué. J'ajouterai qu'en France comme d'ailleurs dans les autres pays européens, nous sommes victimes d'un matraquage médiatique permanent, sur toutes les chaînes de radio et de télévision, dans les tous les journaux " de référence " ( on les reconnaît au nombre de fautes de syntaxe qui parsèment leurs articles ) pour nous persuader qu'il ne se passe rien, qu'il n'y a rien à voir, pour nous sommer de dire que les arbres sont bleus et les corbeaux verts. La propagande soviétique lorsqu'elle sévissait paraît à côté un gentil travail d'amateur. Il n'y a pas de jour qu'il n'y ait à travers le monde des émeutes, des meurtres, des attentats perpétrés par les fidèles de la religion de paix, d'amour et de tolérance, mais non, nous disent les médias, il ne se passe rien ! Le terme de collaborateur employé par l'auteur de l'article du communiqué est tout à fait légitime. Il y a des gens qui jouissent chaque fois que notre culture, nos traditions, nos moeurs, notre identité sont bafouées par les contre colonisateurs, et que notre pays fait un pas de plus vers le tombeau. Lisez les productions de Terra Nova, ce lobby socialiste qui a persuadé ce parti d'abandonner le peuple français au profit de la diversité et de l'immigration qui sont désormais le fonds de commerce électoral de la gauche pour vous en convaincre. Des collaborateurs, c'est bien ce qu'on appelle des traîtres, non ?
La France est comme toujours en avance sur son temps et a trouvé la solution : Vincent Peillon s'est engagé hier, devant le Sénat, à créer des postes d'enseignants d'arabe.
Dans vingt ou trente ans, on pourra dire " bienvenue dans la république islamique du Frankistan ".
"La petite bourgeoisie qui règne seule, culturellement, se révèle chaque jour plus incapable et moins désireuse de défendre une civilisation qui au fond ne lui est rien et pour laquelle elle éprouve le même ressentiment haineux que les actuels colonisateurs contre-coloniaux." Très juste.

S'agissant de la réaction médiatique aux évènements de Londres et de Stockholm il me semble que la palme de l'ignominie revient une nouvelle fois au Monde, et notamment à son correspondant en Angleterre, Marc Roche.
Pour lui, à le lire, le problème des quartiers comme Woolwich, où s'est déroulé le meutre du jeune soldat anglais, ce sont les derniers "petits Blancs", les "blancs d'en bas", les "blancs de souche", les "perdants" comme il les nomme dans son article dégoulinant d'un mépris de classe éclatant, qui sont bien sûr racistes - ils font régner dans le quartier un "racisme endémique" -, xénophobes et complaisants à l'égard des nazillons de l'English Defence League, laquelle aurait d'ailleurs attaqué des mosquées. Petits blancs, retraités ou ouvriers sans qualification qui n'ont pu quitter le quartier, qui se sentent "trahis" par la politique des travaillistes et n'acceptent pas leur statut minoritaire dans les "zones populaires des grandes villes anglaises" dominées désormais, jubile Marc Roche, par les"minorités (sic) noires et asiatiques". Ah les salauds ! Cependant, au regard de la longue durée, tout cela n'est pas bien grave puisqu'ils ont toujours été des salauds de racistes. Au XIXe siècle, nous explique Marc Roche, leurs ancêtres haissaient les juifs et les huguenots. On se demande bien pourquoi Engels admirait la classe ouvrière de l'est de Londres.
La page suivante traite du "déclassement" des banlieues immigrées suédoises. Là nous sommes en territoire connu si l'on peut dire. "Ségrégation", "échec scolaire", "coupe" dans les budgets sociaux, "brutalités" et "racisme" policiers, baisse des subventions des assoces, manque d'équipements culturels, fermeture des centres pour les "jeunes" ; ne manque que la référence, devenue inévitable en France, à la stigmatisation postcoloniale. Mais comme la pauvre Suède n'a colonisé personne ou presque, Olivier Truc, le correspondant du Monde peut difficilement caser un petit couplet sur la question(cela dit, des historiens postcolonaux suédois trouveront bien un jour, sur les rives du fleuve Sénégal, les restes d'un petit drakkar ayant mené un raid esclavagiste au XIe siècle ; les assoces pourront demander réparation...)...
Le qualificatif “magnifique”, concernant le suicide de Venner, me semble tout de même de trop.
Didier,

Je vous trouve sévère. L'Académie, citée par Littré, nous dit cela :

Ce que le libéral fait par générosité, le magnifique ne le fait que par ostentation.

Pensez-vous toujours que "magnifique" soit de trop dans ce cas ?
Eh bien oui, je persiste. Car je ne vois pas, dans le choix qu'il a fait du lieu de son suicide, une simple ostentation. À ce compte-là, le porche de l'Élysée ou l'Institut du monde arabe auraient fort bien fait l'affaire.
Lorsque j'ai appris la nouvelle, le premier à me venir fut : troublant. Mais je reconnais qu'il est bien vague…
C'est aussi le mot qui me vient à l'esprit, il y a quelque chose d'obscur, quelque chose de dérangeant que j'ai du mal à comprendre.
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