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La page Facebook du bijoutier de Nice

Envoyé par Henri Chatterton 
Voilà un exemple de désinformation médiatique venue de la gauche qu’on peut démonter littéralement en trois clics.

1. Quelqu’un (un étudiant, aux dernières nouvelles), crée une page Facebook de soutien au bijoutier de Nice qui a expédié ad patres le monsieur qui venait de le dépouiller après l’avoir roué de coups. La France entière « clique » pour « liker » le bijoutier (j’ai cliqué moi-même, mes voisins ont cliqué, tout le monde a cliqué !).

2. Monsieur François Jost, universitaire et « spécialiste des médias », écrit sur « le + » du Nouvel Observateur, qu’il faut en rabattre beaucoup, que 80 % des gens qui ont « liké » sont à l’étranger, comme le prouve une consultation du site socialbakers.com, et que cela ressemble à un coup monté. M. Jost précise cependant que, personnellement, il n’y connaît rien (« Je ne suis pas assez calé en informatique pour répondre à cette question » [i. e.  : y-a-t-il ou non coup monté ?]).

3. Tous les médias bien-pensants — c’est-à-dire... tous les médias — reprennent cette idée qu’il y a peut-être coup monté.

Or il suffit d’aller sur le site socialbakers.com pour lire que, lorsque le nombre de fans qui cliquent croît exponentiellement, le site n’est pas en mesure de les sourcer géographiquement en temps réel, que cela se fait avec le temps. (In some cases in particular with fast growing pages, the fans update faster than the list of top 45 countries local fan counts. This means that the number of other fans might be higher, and will smooth out in the coming days.)

Et voilà le mythe des clics achetés au Bangladesh par des amis de Mme Le Pen démonté... en un clic. M. Jost, qui se désole des soutiens au bijoutier niçois (« Cela est-il un symptôme supplémentaire de la "lepénisation" des esprits, à l’heure où, dit-on, plus de 30% de nos concitoyens adhèrent aujourd’hui aux idées de Marine Le Pen ? Si oui, ce serait une nouvelle beaucoup plus triste que la pression fiscale »), a écrit n’importe quoi, en consultant un site dont il ne comprend pas le fonctionnement, et dont il s’est abstenu de lire les avertissements en petits caractères.

Et toute la classe phraseuse a repris son affirmation que 81,2% des clics venaient de l’étranger (en l’occurrence, ils ne venaient pas de l’étranger, ils étaient dans la catégorie « autres et non classés » (« Other and not yet targetted Countries »)).

C’est extrêmement regrettable, d’abord parce que cela traduit un manque de sérieux flagrant chez les gens de médias (puisque n’importe quel clampin peut savoir de quoi il retourne en deux minutes, simplement en allant voir sur le site socialbakers.com), ensuite parce qu’on prend clairement les gens pour des imbéciles. On est en train d'annoncer que « le million point six de soutiens au bijoutier a été bidonné par une officine d’extrême droite » à un public qui vient précisément de soutenir le bijoutier niçois.
Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 19:18   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Même cet article du Monde démonte la théorie de la fraude sur la page de soutien au bijoutier de Nice, qui est une véritable affaire dans l’affaire, la chose ayant d’ailleurs trois niveaux :

— l’affaire elle-même et les questions qu’elle suscite sur la Justice, l’État de droit, l’autodéfense, la légitime défense, la récidive ;
— la création d’une page de soutien au bijoutier sur Facebook, le grand succès de cette page et les questions qu’il soulève : qui sont ces gens qui ont massivement liké cette page, pourquoi ce soutien massif maintenant alors qu’il y a déjà eu des affaires similaires ?
— la thèse que les likes — les mentions “J’aime” — auraient été achetés car ils proviendraient massivement de l’étranger ; cette thèse étant relayée notamment, sur Facebook, par une page comme “L’humour de droite”.

A la fin, les débats ne finissent par porter plus que sur cette question : les “J’aime” viennent-ils ou non de l’étranger ?
Oui, c’est exactement cela. Vous constatez sur Facebook que vos proches, vos amis, vos voisins et la moitié de vos collègues ont « aimé » le bijoutier tout comme vous, et pendant ce temps les médias claironnent que c’est un coup monté, en n’ayant, encore une fois, aucun argument, en recopiant littéralement n’importe quoi, écrit littéralement par n’importe qui.
Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 22:28   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Le Med-Pol, paniqué, réagit exactement comme le chef des porcs dans La ferme des animaux.
Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 22:28   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Et la situation devient ubuesque où le camp du Bien (plutôt autoproclamé d’ailleurs) est composé des gens qui sont convaincus, qui savent que les likes viennent de l’étranger et où la Bête immonde en remet une couche par la voix de gens affirmant que les gens qui “aiment” cette pages sont d’honnêtes Français bien réels comme vouzémoi. On baigne en pleine abstraction (un peu comme quand des “antifas” tabassent des jeunes gens de “La Manif Pour Tous” parce qu’il avait été décidé par l’AAPB que le “mariage pour tous”, c’était la gauche, le Bien, et que l’opposition à ça, c’était le fascisme).
Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 22:34   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Eh oui Mon Cher Leroy : réduire le monde à deux camps ; décréter qu'on est celui du Bien, ainsi que la nécessité d'éradiquer, au nom d'une vision sociologiste (donc scientifiste) de la société, l'autre camp, qui du coup ne peut être que celui du Mal, fût-ce au sacrifice la vérité et/ou de centaines de milliers de gens — that's how it works.
Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 23:01   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Je vous invite, mon cher Davoudi, à vous pencher sur le cas — exceptionnellement éloquent — de la page Facebook “L’humour de droite”. Tout y est.

Utilisateur anonyme
17 septembre 2013, 23:35   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Oui, je connais ça, la version facebookienne de l'idéologie politique du Grand Journal de Canal + (amour inconditionnel des jeunes sensibles, des Roms et de toutes les communautés ; haine instinctive et totale de la France de souche qui en a assez.)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 00:31   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
C’est exactement ça ! “L’humour de droite”, c’est Le Petit Journal en ligne.
(Cela dit, pour leur répondre, il y a sur Twitter un “Humour de gauche” pas mal gratiné...)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 09:09   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Dans cette histoire, ce n'est pas tant le parti pris des médias, assez attendu, qui m'intéresse mais le commentaire que peut faire le citoyen lamba via les résocios.

Un article du NouvelObs en a dégoté quelques uns et ils sont très significatifs.

On y apprend que connaître quelqu'un qui a "liké" cette page facebook, équivaut à peu de choses près à avoir un aïeul collabo ou un frère mafioso.

Le NouvelObs connaît ses classiques et, via ce recensement, attaque cette page avec une tactique vieille comme le monde (de la com') : aller chercher sur cette page les commentaires les plus bêtes, les plus racistes, les plus beaufs, etc. pour décrédibiliser le tout et faire passer ce million de personnes pour d'affreux suppôts du FN.

L'argumentaire, assez repris, qui consiste à dire qu'il ne faut pas revenir au temps des duels et des saloons est stupide et assez honteux quand on sait que cet homme n'a pas tiré pour régler un problème d'honneur mais pour sauver sa vie.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 09:22   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Le sommet est toujours atteint par Rue 89, dans ces cas-là. Ils ont publié un article intitulé « Comment découvrir si un de vos amis a liké la page de soutien au bijoutier », ou quelque chose d’approchant, l’air de dire : débusquez-les et réduisez-les à néant.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 09:35   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Le Nouvel Obs, Rue89, Renaud Dely, Edwy Plenel, autant de gens qui doivent passer beaucoup de temps à chasser le collabo et à faire des listes noires (du genre Mur des cons quoi).

Heureusement que nous les avons.
Ils sont le reflet de ce que l'époque a de pire : un magistère moral que le passage à la direction des affaires a réduit en pouvoir idéologique de plus en plus déconsidéré et partant aux abois, méchant, venimeux.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 10:38   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
On en arrive à cette situation ubuesque : devoir répéter encore et encore que la victime est la victime et que l'agresseur n'a eu que ce qu'il méritait (voir ici).

Notons que Monsieur Dély, avec une certaine intelligence, prévient le juste reproche de Marcel Meyer (ici) : "Ecartons d’emblée tout jugement moral. On connaît les ricanements des beaux esprits prétendument en phase, eux, avec le "pays réel", et prompts à moquer la naïveté bien-pensante des "bobos" parisiens. Evitons donc toute condamnation éthique, réprimons tout haut-le cœur. Il y a belle lurette qu’ils ne servent plus à grand-chose".

Je suis persuadé que ce monsieur et ses semblables, bien que sûrs de leur force et de leur poids, ne sont pas insensibles à la critique que peut faire un Éric Zemmour par exemple.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 10:48   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Cette affaire aura au moins le mérite de nous apporter quelques phrases à ranger soigneusement dans nos dossiers.

Au bijoutier qui réaffirmait ce matin qu'il était la victime, le frère du braqueur a répondu ce petit bijou :

""Mon frère, ce n'était pas Mesrine ! C'était un petit gamin comme il y en a de partout dans les quartiers."

Un petit gamin, comme il y en a de partout dans les quartiers, impliqué dans plus d'une dizaine d'affaires...

La vidéo :



18 septembre 2013, 10:57   Guimauve pathologique
"Depuis qu'on lui avait retiré son bracelet électronique, à la fin du mois d'août, il avait déposé son CV un peu partout dans les alentours. Il restait "convaincu que le pire qui pouvait lui arriver", s'il dérapait de nouveau, "ce serait de prendre une claque de son père ou de retourner en prison", selon ses proches. Il restait "incapable d'imaginer" qu'un bijoutier pourrait un jour, par exemple, se servir de son arme contre lui."

Ainsi se termine un portrait du jeune braqueur. Ce journaliste n'a absolument pas conscience que c'est cela qui exaspère le public, cette présentation des choses, comme si ce jeune homme, sur le point d'entrer dans le droit chemin, avait eu la malchance de croiser la route d'un bijoutier devenu fou. Tout en maintenant le pathos (et le style "rester incapable"...), il suffisait d'écrire : "Il restait incapable d'imaginer qu'il allait attaquer une bijouterie et qu'il y perdrait la vie." Mais non, toute mesure de bon sens est perdue, tout lien de cause à effet dans les actes des uns et des autres. Qui trop embrasse mal étreint.
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 14:43   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Sur Twitter, Le Monde vient de mettre le lien vers un article intitulé "Bijoutier niçois : pourquoi la légitime défense n'a-t-elle pas été retenue ?".

Les deux premiers commentaires à ce tweet sont les suivants :

"hahaha bien fait :D"

et

"C'est bien normal."
Citation
Christophe Rivoallan
Le Nouvel Obs, Rue89, Renaud Dely, Edwy Plenel, autant de gens qui doivent passer beaucoup de temps à chasser le collabo et à faire des listes noires (du genre Mur des cons quoi).

Ce matin, sur France Culture, ledit Edwy Plenel pourfendait la vraie délinquance, celle des puissants, et en appelait au sursaut démocratique (et je sursautai en effet, mais était-ce démocratiquement ?). M. Plenel qualifie son mode d'agir de révélation citoyenne... Admirons l'euphémisme, et gageons qu'il emploierait de tout autres termes s'il s'agissait par exemple de révéler citoyennement les situations d'immigration illégale qui se chiffrent par dizaines et centaines de mille...

(http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4702056)
Etui Pénien est indiscutablement un homme politique de grand talent, un des très rares dans le camp des Amis du Désastre. Nous devrions prendre exemple sur lui pour défendre nos vues opposées aux siennes. Ses méthodes sont les bonnes; à répugner à les employer, nous nous condamnons à perdre. La vérité n'est pas politique. Faire de la politique, c'est faire ce que fait Etui Pénien. Se refuser à faire ce qu'il fait revient à se condamner à le subir, lui et ses Amis, sans fin discernable. Employer un langage qui s'arroge le Bien, le Droit, les principes citoyens, et le faire avec un sens de l'emphase populaire pour masquer ce que sont les vraies priorités et la volonté populaire véritables, c'est ce que fait E.P. Il devrait suffire de faire exactement comme lui mais dans l'autre sens. Pour être honnête, c'est bien ce à quoi s'efforce Marine Le Pen, mais hélas, pour le moment cela n'aboutit qu'à lui donner l'air de "courir après la gauche"...

La vérité cachée dans son Etui, lequel présente l'avantage d'imiter la conformation et l'aspect de la Vérité et de faire spéculer sur elle:

On ne manquera pas l'analyse de l'inénarrable Mucchielli à propos de "cette ruée sur Facebook pour venir en soutien au bijoutier" :

« Il faut se garder de toute surinterprétation. Il faut d'abord dire que ce n'est pas nouveau. Il y a une forme de lobbying déjà utilisé. On l'a vu en région parisienne avec la création de l'Institut pour la justice. Le principe du lobbying est de crier fort pour qu'on vous écoute. Il y a un million de Français qui crient, mais il y en a peut-être 30 millions que cela n'intéresse pas. [...] Il faut se garder de la naïveté du groupe spontané. Il y a peut-être des choses très construites, mais cela peut aussi être un simple coup de gueule. C'est principalement un défouloir. Pour moi, ce n'est pas une nouvelle forme de participation citoyenne. Pour savoir, il faudrait faire une étude approfondie. »

... et de conclure sa diatribe par, ex abrupto :

« La démocratie, ce n'est pas la vox populi, c'est un peu plus compliqué que ça. Cela s'exerce par le biais du vote, des institutions et de la représentation nationale. »

(in "La Provence" du 17 septembre)
Utilisateur anonyme
18 septembre 2013, 17:19   Re : La page Facebook du bijoutier de Nice
Les gens qui considèrent qui considèrent que 1,646,890 personnes (à 17h17) sur soixante-cinq millions de Français, ce n’est rien sont à peu près les mêmes pour qui un million d’Égyptiens (sur les quatre-vingts cinq que compte le pays) défilant dans les rues, c’est la démocratie, c’est la vérité de ce que pense l’Égypte.
Oui, mais Laurent est plutôt un partisan de la subversion, celle qui mène à "sa révolution" contre-civilisationnelle, fidèle en cela aux idées développées par son père :

« La subversion est une technique d’affaiblissement du pouvoir et de démoralisation des citoyens; cette technique est fondée sur la connaissance des lois de la psychologie et de la psychosociologie, parce qu’elle vise autant l’opinion publique que le pouvoir et les forces armées dont il dispose. » (Roger Mucchielli)

[message modifié : "idées développées par son père" en remplacement de "idées de son père"]
Pouvez-vous nous en dire plus sur ce "Roger Mucchielli", cher Piron ? Cette citation semble être doit sortie d'un manuel pour agents du Komintern.
Il s'agit du père de notre ami Laurent. Aux antipodes du Komintern, il était, je crois, plutôt très à droite (proche du GRECE). Le mucchiellisme est le produit d'un mauvais rapport au papa.
On trouve sur YouTube des entretiens et exposés en anglais de l'ancien agent du KGB, le remarquable Yuri Bezmenov, qui déserta en 1985 aux Etats-Unis (année de cet entretien). L'homme y expose les principes de ce qu'il nomme les "techniques de démoralisation des nations" employées par le KGB de l'époque (années 70). Le plan de démoralisation de l'Occident était conçu pour s'étaler sur trois générations. Ces entretiens et ces conférences sont fascinants.

En voici trois où l'on entend, presque à la lettre, les mots du père de Laurent Mucchielli. Le fils n'est nullement démarqué du père. Les leçons du père sont appliquées par le fils. Celui-là les applique dans un bord politique autre que celui du père, certes, mais sans en modifier la nature. Le moule opératoire, la méthodologie, sont les mêmes. Le fils est continuateur du père. Les méthodes du père dont le fils prolonge l'usage furent élaborées dans le milieu du siècle dernier; elles furent communes aux puissances rivales de part et d'autre du Rideau de Fer.

Les Amis du Désastre sont des héritiers d'ingénieurs en manipulation qui créèrent leurs produits phares au siècle dernier. Ils seront balayés par le siècle présent. Leurs méthodes sont sans avenir véritable. Le vingtième siècle ne peut pas durer éternellement. Et il est probable que l'Internet dans notre siècle jouera, et joue, un rôle dans ce coup de balai. Mais toute arme a feu possède un effet recul, tout mécanisme d'entraînement un poids régulateur qui est source d'entropie : Internet, et la communication des citoyens en réseau qu'il permet, est aussi un lieu d'épuisement de l'énergie politique et des forces du changement, lieu de dissipation et d'évacuation (comme sont évacuées les eaux de surface turbulentes vers des puisards) de ces forces. Ce mal de la dissipation (revers de toute bénéfique dissémination des idées) et de l'épuisement est la rançon politique versée à la forme réticulaire de circulation des idées, dont le prix devrait apparaître plus clairement dans les prochaines années et dont les acteurs du changement que nous voulons être se devraient d'être les premiers conscients.












Je ne saurais mieux dire, Cher Marche.

*

« L'action de dissociation des groupes constitués est une opération indispensable car on sait, par les recherches en psychologie sociale, que plus les individus adhèrent à des groupes cohésifs, moins ils sont perméables à la propagande et à la subversion. Il faut donc dissocier ou neutraliser les groupes de références pour individualiser les gens et les détacher individuellement de leurs valeurs groupales. » (toujours in "La Subversion", Roger Mucchielli, Bordas, 1972)
Il serait plus juste de dire que le fils a très bien lu le père, et notamment le livre cité par Piron dans lequel Roger Mucchielli dévoile les mécanismes à l'oeuvre dans toute entreprise de subversion. A l'époque, en 1971, le livre dénonçait le gauchisme.
Des précisions intéressantes :
[fr.wikipedia.org]
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