J'ai d'abord été horrifié en découvrant cette histoire sur le site du Figaro. J'ai pensé à la honte que pouvait ressentir cette famille, à ce que pouvaient ressentir les parents, devant expliquer à leur(s) enfant(s) pourquoi ils devaient quitter le musée (sauf à mentir bien entendu). J'ai vomi ces gens venus se plaindre de l'odeur et de leur gêne. Et j'ai maudit ces agents de la sécurité osant venir demander à cette famille de partir et j'ai loué la pugnacité du
jeune bénévole.
Puis je me suis dit que ce n'est pas parce que l'on est défavorisé que l'on doit négliger son hygiène ; que ce n'est pas parce que l'on est pauvre que l'
autre doit supporter, sans mot dire, les nuisances causées (hygiène, bruit) dans un musée, un château, etc.
Puis j'ai pensé à la honte que pouvait ressentir cette famille, à ce que pouvaient ressentir les parents, devant expliquer à leur(s) enfant(s) pourquoi ils devaient quitter le musée (sauf à mentir bien entendu)...