Le site du parti de l'In-nocence
L'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNWRA).
compte l'Union européenne parmi ses principaux donateurs, et c'est aussi le cas pour l'Autorité palestinienne.
Il me semble qu'un parti politique français ne peut pas se dérober au devoir d'exprimer sa position sur ces dons.
Quelle pourrait être la position du Parti de l'In-nocence ?
Je voudrais ici mentionner quelques arguments contre ces dons.

1° S'il y a eu 900 000 réfugiés palestiniens (et s'il y a maintenant leurs descendants qui sont "réfugiés" palestiniens), c'est parce que les Palestiniens ont rejeté en 1947 la décision de l'Onu partageant la Palestine et ont attaqué Israël.

2° Si la France veut consacrer de l'argent à des réfugiés, elle pourrait, selon le critère, préférer le consacrer :
a) À des Français. Et donc au million ou million et demi de rapatriés français d'Afrique du Nord.
b) Aux autres réfugiés du conflit israélo-palestinien. Et en 1947, 600 000 juifs du Moyen-Orient ont dû se réfugier en Israël, et ont été spoliés de leurs biens, en moyenne bien plus importants que ceux dont les Palestiniens ont été spoliés.
c) À des réfugiés bien plus pauvres que les réfugiés palestiniens. Et à la partition de l'Inde en 1947 une quinzaine de millions d'hindous et de musulmans ont dû quitter leurs patries.
d) À des Européens. Et, en 1945, une dizaine de millions d'Allemands ont dû quitter leurs patries.

3° Trois raisons jouent contre l'aide aux Palestiniens.
a) Ils ont trouvé leur refuge tout près de chez eux : généralement à quelques dizaines de kilomètres. Et, s'il est toujours désagréable de devoir quitter le lieu où l'on vit, c'est assurément un désagrément bien moindre de devoir refaire sa vie à quelques dizaines de kilomètres que ce ne l'est de devoir le faire à plusieurs centaines de kilomètres.
b) Selon toutes apparences, les "réfugiés" palestiniens et, plus généralement, les Palestiniens, nous aiment peu, et même, probablement, nous haïssent avec une intensité considérable.
c) Les "réfugiés" palestiniens sont des Arabes, et, essentiellement, des musulmans. Il semblerait assez naturel, s'ils doivent être subventionnés, qu'ils le soient par les pays arabes et musulmans, dont tant sont si riches du fait de leurs ressources en hydrocarbures.

4° D'autres raisons jouant contre les subventions ont trait aux conséquences de celles-ci :
a) Les "réfugiés" palestiniens, subventionnés comme tels, ont naturellement tendance à se définir comme tels.
b) Subventionnés, ils ont tendance à rester là où ils sont, au lieu de se dissoudre dans la population environnante, comme les réfugies d'AFN ou les expulsés allemands de 1945 ont fait.
c) Subventionnés, ils sont peu encouragés à produire. Ils sont donc peu sensibles aux représailles économiques. Par exemple, Gaza, ne produisant rien, n'a pas d'appareil productif et n'est donc pas sensible à une destruction de celui-ci par Israël.
En d'autres termes : nous payons les "réfugiés" Palestiniens pour que, agglutinés aux frontières d'Israël, ils projettent indéfiniment de le détruire.

Les raisons qui jouent contre les subventions aux "réfugiés" palestiniens et que j'ai données jouent aussi, même si c'est dans une moindre mesure, contre les subventions à l'Autorité palestinienne.
J'ajouterais ce petit argument complémentaire : les pays pétroliers musulmans pourraient parfaitement prendre soin de leurs "frères" palestiniens (plutôt que racheter à la France ses vignobles, châteaux et grands hôtels, ou financer le terrorisme islamique mondialisé).

Parfaitement d'accord avec vous, donc, et j'irais même plus loin : arrêt de la quasi totalité des subventions offertes aux pays du tiers-monde. C'est là d'ailleurs l'une des nombreuses conséquences néfastes de l'immigration de masse et du Grand Remplacement : ceux que l'on se plaisait à aider à l'autre bout du monde, parce qu'ils étaient pauvres et que nous étions riches, et que nous avions du coeur, on n'a plus du tout envie de leur donner une partie de notre argent lorsqu'ils occupent notre terre et brûlent nos poubelles, voitures et drapeaux. La tiers-mondisation, non pas à nos portes mais dans nos rues, rend le coeur moins sensible aux souffrances du tiers-monde (je parle de celui qui n'a pas encore pris le chemin de Lampedusa.)
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