Communiqué n° 1739 : Sur les événements de Paris et de Sarcelles

Communiqué n° 1739, lundi 21 juillet 2014
Sur les événements de Paris et de Sarcelles

Le parti de l’In-nocence espère vivement que les lamentables événements récents de Paris et de Sarcelles contribueront à ouvrir enfin les yeux de la plupart de nos compatriotes sur la réalité de la colonisation dont notre pays fait l’objet, du changement de peuple et de civilisation en cours, du Grand Remplacement. La fameuse “rue arabe”, c’est maintenant les boulevards Barbès et de Sébastopol, quand ce ne sont pas les Champs-Élysées. On y hurle “mort aux Juifs !” comme à Sarcelles, et la télévision nationale enchaîne tranquillement les reportages sur les troubles à l’ordre public dans nos villes et sur l’“alya” des Français juifs, qui trouvent moins dangereux Israël sous les roquettes du Hamas que Saint-Mandé sous la seule protection du périphérique. La réalité n’est pas tant, malgré les apparences affichées, une quelconque “importation” d'un lointain conflit qu’une guerre de conquête dont notre malheureux pays, hébété par le collaborationnisme “antiraciste”, se trouve être un des fronts principaux. Puisse-t-il se réveiller à temps et entreprendre avant qu’il ne soit trop tard le combat anticolonialiste qui s‘impose.

En attendant, les allogènes sont là, et il y a eu cinq heures d'émeute antijuive à Sarcelles.

On aurait aimé que le communiqué ait proposé des mesures répressives (de justice ou de police) - visant à empêcher que des émeutes de ce genre puissent se produire, et si durablement.
Par exemple, les forces de l'ordre pourraient employer contre les manifestants des moyens plus efficaces car plus violents.
Par exemple, toute organisation qui appelle à manifester malgré une interdiction pourrait être condamné à des amendes ruineuses.

Personnellement, je regrette aussi un peu le vocabulaire employé. Dénoncer la colonisation en cours, oui (encore que...).
Appeler au combat anticolonialiste, non, car c'est complètement reprendre le vocabulaire repentiste : or la France et en général l'Occident peuvent être fiers de leur oeuvre coloniale.

Message supprimé.

Monsieur Page,

le PI n'a pas forcément vocation à proposer "des mesures répressives". Il s'agissait, ici, de dire ce que signifient ces évènements, en quoi ils font voler en éclats le faussel tel qu'il est imposé à nos compatriotes.

Enfin, je ne peux que vous conseiller d'adhérer au PI, vous pourrez ainsi participer, sur le forum privé, à la rédaction des communiqués.

Il n'est même pas nécessaire d'adhérer : il existe un sous-forum (certes un peu oublié) où les sympathisants peuvent déposer des propositions de communiqués.

Cher Davoudi, je recrute, je recrute, je cherche à faire rentrer les euros à tour de bras, et voilà que vous me savonnez la planche. Pas comme cela que le PI va devenir un parti de masse...

Oops, c'est vrai — sorry.

Lorsque des citoyens français commencent à juger les événements internationaux en fonction de l'appartenance ethnico-religieuse de leurs parents, grands-parents ou arrières grands-parents, on peut se dire que la notion d'appartenance à la nation française n'a plus guère de sens.
Que ces événements (ces "incidents" selon les médias) relèvent de rencontres sportives ou de conflits extérieurs, c'est la même triste logique qui s'applique, venant contredire le discours sans frontiériste et la revendication absurde des "papiers pour tous".

Il faudra bien un jour ou l'autre que nous nous décidions à mettre au clair une fois pour toutes cette question non seulement d'appartenance à la nation mais encore de fidélité totale, inconditionnelle et unique à la France.

Merci de vos informations.
Je n'ai pas les compétences quant aux questions de maintien de l'ordre, et quant aux peines pouvant être infligées à des organisations politiques, pour suggérer ce que ce communiqué aurait pu contenir.
D'où le "vide propositionnel" de mon message.

La vérité ne pouvant plus être cachée même aux plus obtus lecteurs de Libération crétinisés par le dogmatisme,
ce journal fait sa une aujourd'hui sur le nouvel antisémitisme. C.'est un tour de force. Dans les chroniques "audio"
des journalistes jamais l'identité des auteurs de violences n'est mentionnée sinon comme "jeunes des banlieux".
Par contre vous entendrez des "difficultés à traiter le sujet", "pas d'amalgames", "pas de stigmatisations", "choix éditorial de ne pas montrer de photos pour ne pas blesser certaine communauté". Les seuls noms propres de personnes sont ceux de Dieudonné et Soral. Jamais les mots explosifs de "Arabes" ou "Musulmans" ne sont prononcés.Le traitement éditorial concernant les manifs contre le "mariage pour tous" leur a posé moins de problèmes
d"amalgames ou de stigmatisations. C'est du nanan.

Encore plus inquiétant que les manifestations violentes, les manifestations pacifiques :
[www.causeur.fr]

Serge Diot,

La gauche est devenue le camp du mensonge. Elle ment pour notre bien, elle ment pour nous préserver du danger d'avoir de vilaines pensées, elle ment par amour de l'humanité et non par intérêt, elle est le parti dévot.
Sa prohibition des choses de l'ethnie rappelle la prohibition des choses du sexe jadis. Et, de même que la jeune fille idéale ignorait les réalités de l'amour, le lecteur idéal de Libération ou du Monde ne sait pas qu'il y a des réalités de l'immigration : il se logerait dans un quartier arabe ou mettrait son enfant dans un collège noir comme une jeune fille se retrouvait au lit sans avoir compris.
Ces cas sont de plus en plus rares, et le lecteur réel est un moins sot, mais il approuve son journal de mentir : cela est plus pieux.
Il y a une quarantaine d'années, seule la presse communiste mentait : sur la réalité communiste, Le Monde ou Le Nouvel Observateur déliraient (plus ou moins) plutôt qu'ils ne mentaient.
Maintenant ils ont pris la place des communistes comme le grand parti menteur.

"La gauche est devenue le camp du mensonge."


Et ça continue, même si nous avons maintenant tous les éléments d’une situation objectivement pré-révolutionnaire : corruption des "élites", laxisme, démission et partialité des autorités, immigration de masse, haine des honnêtes gens et complaisance pour les casseurs diversitaires et l’islam radical.

Trouvé sur Facebook, sur la page d'un écrivain tout ce qu'il y a de plus politiquement correct, cette scène vécue par lui-même :

« Paris, ZAC Didot, sur la place de la Garenne où je promène mon chien : cette grand-mère algérienne bien connue et bien aimée dans le quartier s'adresse à une femme plus jeune, 40 ans environ, sosie de Barbara Streisand. La grand-mère : "Ils tiennent tous les médias,tu comprends, Ils ont tous les pouvoirs, les Juifs. Dis bien ça à tes fils. on doit les éliminer de ce pays."
La sosie d'une grande actrice juive hésite : "Ah, je crois qu'il faut vivre ensemble. On est en France, pas à Gaza."
La vieille : "Ici, ce sera Gaza si on veut, mais dans l'autre sens. Dis ça à tes garçons."
Je les regarde. La grand-mère sait que j'ai tout entendu et me sourit : "On va sauver la France, vous verrez." »

La France va finir par se fâcher, Madame.

Si cet écrivain passe ici, qu'il lui dise ça de ma part.

"La France va finir par se fâcher, Madame. "

Pensez-vous réellement que nous ayons encore la possibilité de nous fâcher ?
Nous ne combattons pas armes égales.

Il y a une quinzaine d'années, j'ai écrasé le pied d'un de ces petits merdeux dans le métro, et il a vociféré: "maintenant, tu vas me rembourser mes Nike"......j'ai fait demi-tour, ils étaient quatre ou cinq, et je leur ai expliqué ma façon de penser.

Aujourd'hui, dans les mêmes circonstances, je me tairais car j'aurais peur de prendre un coup de couteau.
Leurs réponses sont disproportionnées et d'une violence inouïe, c'est comme une gangrène, le mal s'est propagé.....et les solutions me semblent bien inexistantes.