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Les "Sans dents"

Envoyé par Jean-Marc du Masnau 
03 septembre 2014, 18:42   Les "Sans dents"
L'ouvrage de l'ancienne compagne de M. Hollande nous montre quel est le degré d'abjection de ce monsieur.

Savez-vous comment il qualifie les pauvres, les humbles ? il les appelle les "Sans dents".

[www.lefigaro.fr]

Autant j'ai en horreur les assistés, les geignards, autant j'ai le plus profond respect pour le peuple laborieux, pour les petites gens.

Un homme politique qui n'aime pas le peuple n'est pas digne de le diriger. Un pays, c'est un peuple avant d'être une classe ou une caste dirigeante. Gomez Davila le disait fort bien :

El error más grande del mundo moderno no es haber incendiado los castillos,sino haber destruido las chimeneas.

Ce qui est grave, c'est la destruction des chaumières, non l'incendie des châteaux.
03 septembre 2014, 21:46   Re : Les "Sans dents"
Cynisme vulgaire d'un individu, qui se croyant doté d'un ascendant ,n'est qu'un des sans dents comme il dit.
03 septembre 2014, 22:45   Re : Les "Sans dents"
A côté de ce personnage, M. Sarkozy ferait presque figure de parangon de délicatesse.
03 septembre 2014, 23:17   Re : Les "Sans dents"
Je vous l'accorde,au moins lui ne cachait pas ses dents.Pour autant ,tous les deux sont des ploutocrates qui se veulent aristocrates.
Il est regrétable que Michel de Saint Pierre ne soit plus lu .
03 septembre 2014, 23:42   Re : Les "Sans dents"
Vous avez raison, c'était un excellent auteur, évidemment brocardé par les intellectuels.

Une oeuvre d'un autre auteur brocardé, issu, lui de la haute noblesse, m'avait frappé par sa juste description du peuple et du courage et de l'abnégation du peuple, et des devoirs que l'aristocratie avait : c'est "L'Officier sans nom", qui décrit très bien les années 1939-1940. Au tout début, le narrateur parle un peu de ses fréquentations et de la surprise que montre cette jeunesse dorée à sa mobilisation dans l'infanterie, arme qu'il a choisie. La seule divergence d'avec la réalité est que l'officier sans nom ne reçoit aucune distinction, alors que le lieutenant Guy des Cars a soutenu l'honneur des Pérusse, ducs des Cars, en obtenant la croix de guerre pour bravoure au feu.

M. Hollande et M. Sarkozy font partie des gens qui n'ont que des droits (encore que le comportement de M. Sarkozy lors de l'affaire de la maternelle puisse lui laisser le bénéfice du doute). M. Sarkozy avait un autre avantage : parvenu il était, parvenu il paraissait. M. Hollande, lui, est de l'espèce détestable des faux-culs.
Utilisateur anonyme
04 septembre 2014, 10:32   Re : Les "Sans dents"
Je me souviens d'une phrase prononcée par M.Hollande, il y a longtemps déjà, qui m'avait paru intelligente : tout ce qui arrive était prévisible.

Comment n'a-t-il pas pensé que ce jour arriverait ? Que ce livre existerait ? Quelle manque de prévoyance ! Quelle inconséquence ! Gouverner c'est prévoir ? On savait qu'il n'était pas fait pour gouverner notre pays, c'est confirmé d'une manière bien scandaleuse.
04 septembre 2014, 11:58   Re : Les "Sans dents"
Enfin un livre réellement instructif sur le PS, en tous cas. Le portrait édifiant de Hollande (le système s'emballe, s'indigne, s'énerve, alors que je vois aucune raison de douter de la véracité des propos et anecdotes rapportés par Mme Tierweiller), révèle la nature profonde de ce maudit parti. Goujaterie, haine du peuple français et des structures qui le faisaient tenir debout, vulgarité, humour neuneu, hypocrisie congénitale, rapports tordus entres les sexes et à l'argent, etc. The place to be pour tous les cons ambitieux de la place remplaçiste et bien-pensante est bel et bien le lieu de toutes les dégénérescences. Après, que ce même PS, avec le plus nul de ses membres, ait réussi, en 2012, à mystifier une bonne partie de l'électorat en usant d'une seule ficelle, l'anti-sarkozysme, est tout à fait déprimant (le régime Dukan, c'est vrai, a aussi compté dans la victoire de FH).
06 septembre 2014, 18:01   Re : Les "Sans dents"
Je reviens de chez le libraire, qui ne décolère pas contre ce livre de Mme Trierweiler, son effet médiatique, la ruée des acheteurs, et la fortune que cela va rapporter à ... Amazon. Je lui ai répondu que Mazarin touchait un joli pourcentage sur le revenu des Mazarinades dans Paris. Pour moi, je me demande (et je vous demande également) si par hasard M. Hollande et les journalistes ne pratiquent pas une stratégie d'enfumage et de grande distraction de l'opinion, le premier en faisant l'idiot comme le Brutus qui assassina Tarquin, les seconds en lui donnant du bâton pour la plus grande joie du public (ne serait-ce pas une nouvelle version du Barnum médiatique de l'époque Sarkozy ?) Et pendant que l'on nous amuse, l'histoire continue, et le réel demeure, et le djihad, et la course à la ruine, et la mort.
07 septembre 2014, 13:05   Re : Les "Sans dents"
Cette dame humiliée veut se venger. Elle a partagé la vie d'un homme qu'elle décrit comme un médiocre et un goujat.
C'est son problème. Elle met sur la place publique ses petites affaires avec un livre qui va lui rapporter un gros paquet de brouzoufs. C'est abject et c'est une honte. Et quel crédit accorder à ce qu'elle dit sur les propos du Président au sujet des pauvres.
07 septembre 2014, 16:04   Re : Les "Sans dents"
Citation
Serge Diot
Cette dame humiliée veut se venger. Elle a partagé la vie d'un homme qu'elle décrit comme un médiocre et un goujat.
C'est son problème. Elle met sur la place publique ses petites affaires avec un livre qui va lui rapporter un gros paquet de brouzoufs. C'est abject et c'est une honte. Et quel crédit accorder à ce qu'elle dit sur les propos du Président au sujet des pauvres.

Très juste.
F. Hollande a probablement prononcé les phrases qu'elle lui prête et qui sont citées partout, mais c'est un blagueur perpétuel (comme nombre de gens très intelligents, je pense - il est probable qu'il a du mal à ne faire qu'une seule chose à la fois) et un homme qui taquine, et il est évident qu'il ne les a pas dites sérieusement - disons que c'est hautement invraisemblable.
Pour le démolir, elle rapporte des blagues comme si ça avait été des propos sérieux. Comme elle est intelligente et qu'elle sait écrire ce n'est évidemment pas maladresse de sa part.
Je trouve effectivement que c'est assez abject (d'autant plus qu'elle est socialiste - elle tire sur le champion de son propre camp). Sa seule excuse : ça va lui rapporter gros - à propos, bravo pour l'emploi du mot "brouzouf", que je ne connaissais pas, et qui est bien formé .et expressif.
Utilisateur anonyme
09 septembre 2014, 14:29   Re : Les "Sans dents"
Fausse résistance :

[www.lefigaro.fr]

"Le cœur du travail de libraire est de choisir des livres et de les donner à lire".

Entre choisir et censurer... Ce libraire reconnaît pourtant avoir vendu les livres de M. Iacub et de C. Attias...des principes à géométrie variable ? Trouve-t-on chez lui les livres de Renaud Camus et/ou ceux de Richard Millet ?

"Donner à lire" : conception condescendante du métier... étrange, non ? Faut-il désormais rendre des comptes à son libraire ?
09 septembre 2014, 15:23   Re : Les "Sans dents"
Ces gens sont surprotégés : ils touchent la plus grande part du gâteau (environ 35% du prix de vente TTC, ce qui est beaucoup plus que ce qui revient aux auteurs, lesquels se contentent de 5 à 15%), ils sont protégés contre la concurrence des grandes surfaces par le prix unique imposé et ne prennent aucun risque puisque tous les invendus sont repris par les distributeurs sans pénalités pour eux (les pénalités pour invendus sont payés par les éditeurs), malgré ça, ils montent des cabales contre Amazon qui a le grand tort de faire leur métier beaucoup mieux qu'eux et, pour couronner le tout, ils se croient autorisés à choisir ce que les gens devraient lire — fi donc !
Utilisateur anonyme
09 septembre 2014, 18:23   Re : Les "Sans dents"
Et ces livres infâmes qui s'en étaient pris à la vie privée de Jean Marie Le Pen ou de sa fille ? Ces mêmes "libraires résistants" avaient-ils refusé de les vendre ? S'étaient-ils seulement "indignés" ?
09 septembre 2014, 22:13   Re : Les "Sans dents"
Marcel a raison, hormis quelques libraires sérieux (je pense à l'Harmattan, mais il y a d'autres exemples, parmi les librairies spécialisées) on ne trouve que des marchands de livres.

Amazon est vraiment formidable, je ne saurais trop conseiller son kindle qui a fait ma conquête.
09 septembre 2014, 22:19   Re : Les "Sans dents"
Un livre infâme sur M. Le Pen ne m'aurait en rien gêné, ce personnage ayant vécu dans le scandale et ayant alimenté le scandale. Sa fille, en revanche, est un excellent exemple de la femme française, digne et libre, ayant eu des chagrins et des joies, et qui n'affiche pas sa vie privée. Un livre de ce genre sur elle serait indigne, et pour tout dire difficilement concevable.

M. Hollande, qui mit en scène sa normalité et sa concubine, récolte par ce livre le fruit de ses efforts.
10 septembre 2014, 15:13   Re : Les "Sans dents"
Ce que l'on sait des conditions de travail chez Amazon, ainsi que de certains pratiques commerciales peu régulières de cette firme monopolostique, devrait modérer l'enthousiasme à son égard.
Utilisateur anonyme
10 septembre 2014, 16:15   Re : Les "Sans dents"
On ne force personne à travailler au sein de cette firme...
10 septembre 2014, 16:45   Re : Les "Sans dents"
Certes, et d'ailleurs personne n'est obligé de travailler, finalement.
10 septembre 2014, 17:45   Re : Les "Sans dents"
Je viens de faire une recherche rapide sur "les conditions de travail chez Amazon" et je tombe sur une interview du Monde à propos du livre d'un journaliste qui s'est "infiltré" chez Amazon. Je m'attends aux pires horreurs et voici ce que je lis : "Je ne veux pas tenir un discours moral, simplement rappeler des faits et décrire ce qui se passe dans une usine logistique. Les travailleurs chez Amazon, loin, très loin des progrès du XXIe siècle, ont des conditions de travail qui sont dignes du XIXe siècle. Que ce soit en ce qui concerne les conditions de travail des intérimaires, que ce soit dans les cadences qui sont imposées, dans les contrôles de productivité, dans les fouilles au corps qui sont réalisées chaque fois qu'un travailleur franchit les portiques. Les exemples foisonnent dans mon livre et tendent tous à montrer qu'Amazon, en ce qui concerne le respect des droits sociaux, est une entreprise qui n'est pas progressiste mais parfaitement réactionnaire." Et : "Je m'attendais à un travail pénible, à la culture à l'américaine, mais pas à devoir subir des discours moralistes. Chaque jour on vous demande d'être meilleur que la veille. Il y a un aspect très idéologique au travail et on va applaudir ce qu'on appelle le « top performer », la résurgence de l'ouvrier Stakhanov en URSS, qui va au-delà de ce qu'on lui a demandé de faire. Les contre-pouvoirs sont complètement muselés. La plupart des syndicalistes ont la vie dure [la CGT a déposé plainte car ils étaient fouillés arbitrairement]. Et c'est assez surprenant de voir qu'une multinationale, dans le cadre de son travail, une fois qu'elle a nié tous les droits les plus élémentaires contenus dans le code du travail, ensuite s'ingénie à reproduire une forme de collectivisme. Je pense que cela est dû au fait qu'Amazon est un univers qui est coupé du monde."

Rien de tout cela ne me semble particulièrement scandaleux. Ou bien l'infiltré, Jean-Baptiste Malet, a gardé le plus horrifique pour son livre ? Quelqu'un ici, peut-être Monsieur Dolet, aurait-il des éléments précis sur l'enfer des entrepôts Amazon ?
Utilisateur anonyme
10 septembre 2014, 18:25   Re : Les "Sans dents"
Un livre infâme sur M. Le Pen ne m'aurait en rien gêné, ce personnage ayant vécu dans le scandale et ayant alimenté le scandale.

L'existence, la trajectoire d'un homme d'une telle épaisseur ne peuvent être qu'absolument scandaleuses. Finalement je trouve ça plutôt rassurant.
10 septembre 2014, 18:50   Re : Les "Sans dents"
Une recherche dans Google ("Amazon conditions de travail") donne accès à plusieurs pages de références intéressantes dans la presse française (Challenges, La Tribune, Sud Ouest, etc.) ; mais il me semblait que c'était de notoriété publique, Amazon devant faire face à d'innombrables mouvements de grève et critiques virulentes (Jeff Bezos, le PDG du groupe, ayant reçu le titre de "pire patron du monde" ; et même s'il est décerné par le monde syndical, ce n'est sans doute pas un détail négligeable).
« Nous nous arrêtâmes dans la magnifique résidence de Lord Exeter, bâtie par le chancelier Burleigh sous le règne d’Elisabeth, et qui a conservé son nom. Lord Exeter venait de se remarier, tout était en fête au château. On ne pensait plus à la première lady Exeter. Sa vie avait été un singulier roman.

Le dernier lord Exeter avait pour héritier son neveu, M. Cecil, qui, après la vie la plus mondaine, se trouvait, à trente ans, blasé sur tout. Il avait une belle figure, de l’esprit, des talents, mais il s’ennuyait. Son oncle le pressait de se marier. Il avait trop vu le monde, il avait été joué par trop de femmes, trompé trop de maris pour vouloir augmenter le nombre des dupes ; bref, il s’était fait excentrique. C’était alors l’état des hommes à la mode usés et blasés, et l’origine première des dandys. Dans cette disposition, il était parti un matin tout seul de Burleigh Stall, avec un chien, un crayon et un album pour toute escorte, allant faire la tournée pittoresque du pays de Galles. Son voyage se trouva abrégé.

Arrivé dans un village à une trentaine de milles de Burleigh, il fut retenu par les charmes d’une jeune paysanne, fille d’un petit fermier de l’endroit. Elle était belle et sage. La femme du pasteur l’avait prise en affection et avait soigné son éducation. Elle était l’ornement du village, qui s’en faisait honneur. L’éloge de Sarah Hoggins était dans toutes les bouches.

La tête de M. Cecil se monta. Son cœur fut touché par cette beauté villageoise, il voulut lui plaire. Il se dit peintre, mais ajouta qu’ayant quelques petits capitaux, il s’établirait volontiers comme fermier, si elle consentait à devenir sa compagne. Il acheta une ferme aux environs et se maria sous son véritable nom de Cecil. Dix années s’écoulèrent.
Mme Cecil s’occupait du faire-valoir. Sous prétexte de vendre ses croquis et de recevoir des commandes, M. Cecil faisait de fréquentes absences. Il rapportait toujours quelque peu d’argent qui servait à augmenter le bien-être de Mme Cecil, et lui conservait la prééminence dans le village, mais toujours dans la ligne de son état de petite fermière. Trois enfants naquirent, et elle ne se doutait guère de la position sociale de leur père.

Enfin, lord Exeter, le plus fier des hommes, qui n’aurait jamais pardonné une telle alliance, mourut. M. Cecil, marquis d’Exeter, revint au village. Il y passa quelques jours. Les soins ruraux n’exigeant pas en ce moment la présence de sa femme, il lui proposa un petit voyage d’amusement ; elle y consentit avec joie. Où n’en aurait-elle pas trouvé avec Cecil ! Il loua un gros cheval. On le chargea d’une selle et d’un pilion, sur lequel la fermière monta en croupe derrière son mari, suivant la manière dont les personnes de cette classe se transportaient alors. Cecil montra à sa femme plusieurs belles habitations qu’elle admirait fort. Enfin, le troisième jour ils arrivèrent à Burleigh, il entra dans le parc :

« Est-ce que le passage en est permis ? lui demanda-t-elle.
- Oui, à nous. Il m’est venu la fantaisie de vous faire maîtresse de ce parc. Qu’en pensez-vous ?
- Mais j’accepte très volontiers.
- Et le château vous plairait-il ?
- Assurément. »

Ils traversèrent tout le parc en causant de cette sorte, à la fin elle lui dit :

« Mais prenez garde, Cecil, ceci passe la plaisanterie ; nous approchons trop de la maison, on va nous renvoyer.
- Oh ! Que non, ma chère, on ne nous renverra pas. »
Ils s’arrêtèrent à la porte du château. Une haie de valets y étaient rangés.
« Voilà, leur dit-il, lady Exeter, vôtre maîtresse : obéissez-lui comme à moi.
- Oui, mylord. »

En entrant dans le vestibule, Sarah, qui croyait rêver, fut rappelée à elle-même par ses trois enfants élégamment vêtus, qui se jetèrent à son cou. Elle tomba dans les bras de son mari.

« Ma chère Sarah, voilà le plus beau jour de ma vie.
- Ah ! j’étais bien heureuse !, » s’écria-t-elle.

On voudrait en rester là de cette notice, mais la vérité en exige la fin. M. Cecil avait trouvé sa femme adorable tant qu’au village elle avait été la première. Transportée sur un autre théâtre, elle perdit sa confiance et ses grâces naïves ; empruntée, mal à son aise, elle devint gauche et ridicule. Elle n’avait plus cette fraîcheur de beauté qui aurait peut-être expliqué une folie. Les belles dames, qui regrettaient la brillante situation qu’elle leur enlevait, la poursuivirent de leurs moqueries.

Lord Exeter commença par en être offensé, puis fâché, puis affligé, puis embarrassé. Il ne l’engagea plus à l’accompagner dans le monde, il la négligea. Il était encore bien aise de la retrouver dans son intérieur, où elle s’était refugiée, mais elle n’y était guère mieux placée. Elle ne savait pas même commander à ses gens. Privée des occupations qui absorbaient la plus grande partie de son temps, le peu de littérature qui autrefois lui était une récréation ne suffisait pas à l’employer. Le moindre billet à écrire lui était un supplice dans la crainte de manquer aux usages. Lord Exeter donna à ses filles une belle gouvernante, pour qu’elles fussent autrement que leur mère. Cela était naturel et même raisonnable, mais les petites et la mère en souffraient également.

Le changement de vie attaqua d’abord les enfants ; elles se flétrirent et tombèrent malades. Bref, en moins de trois ans, l’heureuse fermière, devenue une grande dame, mourut de chagrin, d’un cœur brisé, selon l’expression anglaise, sans qu’au fond lord Exeter eût eu de mauvais procédés, mais seulement par la force des choses. Tant il est vrai qu’on ne brave pas impunément les lois et les usages imposés par la société aux différentes classes qui la composent. »

Comtesse de Boigne Op. Cit
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