On trouvera dans
cette tribune de Pascal Engel un excellent exemple de la gorafisation du monde.
Il m'a fallu un nombre non négligeable de lignes, lues en m'étranglant d'indignation, pour comprendre qu'il s'agissait d'une parodie, d'un texte au second degré.
On remarquera que beaucoup de lecteurs, si l'on en croit les réactions publiées, ont cru jusqu'au bout au premier degré. C'est que la frontière entre notre monde et sa caricature est devenue tellement floue, ténue, poreuse qu'on peut en effet s'y laisser prendre.
Et d'ailleurs, après tout, est-ce réellement du second degré ?