La coïncidence est amusante : dans l'une de ses nombreuses lettres à Paul Morand (volume II de leur
Correspondance, Gallimard), que je lisais hier, Jacques Chardonne prétend, lui, que cette décennie est au contraire pénible car elle est celle où la vieillesse s'invite, où les renoncements se succèdent, etc. Et que, ensuite, passé soixante ans, on entre dans des sortes de “grandes vacances”.
(Tout cela “en substance”, car je n'ai guère le courage de vous retrouver la citation exacte.)