Le site du parti de l'In-nocence

"Le Grand Remplacement", troisième édition

Envoyé par Marcel Meyer 
Le Grand Remplacement, édition revue et (très) augmentée est disponible. J'invite tout un chacun à acquérir un exemplaire papier ou un droit de lecture en ligne, à en offrir autour de soi, à faire la publicité de l'ouvrage. La France a un besoin urgent de cette potion et l'auteur a un besoin urgent des revenus qu'il peut en tirer (faut-il rappeler que sa fidélité aux valeurs qui nous sont chères et son intransigeance à les défendre l'a privé des revenus que lui apportaient les éditeurs ?).

Pour passer commande, c'est ici.
Pour les différentes raisons que vous indiquez, je vais acheter l'ouvrage. Cependant, permettez-moi d'indiquer que je préférerais acquérir des volumes qui se suivent et se complètent plutôt qu'un texte révisé, même substantiellement.

Je ne dirais pas cela de tous les livres : par exemple, j'apprécierais beaucoup une version augmentée de Du sens, mais, concernant les textes "politiques", je crains de m'ennuyer un peu à chercher des textes nouveaux au sein d'autres que je connais bien et que je n'ai pas une envie pressante de relire.

De façon générale, je crois que des tomes successifs (Le Grand Remplacement, Tome 3) seraient plus "vendeurs". Il ne s'agit que d'une simple suggestion qu'il ne faut pas prendre en mauvaise part...
Je pense que les millions de français qui n'ont jamais lu une ligne de Renaud Camus sont le public visé par ce livre, pas les quelques-uns qui connaîtraient trop bien la plupart des textes qui le composent.
Certes mais, en pratique, ceux qui liront vraiment le livre...
et la publication d'un tome 3 indique que les précédents ont trouvé un public, qu'il y a une progression de la pensée, du projet, que les sujets traités ne sont pas les mêmes, cela peut faire naître une curiosité...
mais bon... ce que j'en disais...
et sinon oui, "les spirales du sens", le pentimento, la cavatine,... tout cela peut justifier la reprise, le surplace littéraire, mais la politique c'est aussi la simplification... on en cause ici : [www.renaud-camus.org]
Rémi Pellet, comme d’habitude vous coupez les cheveux en quatre et cette fois tout à fait à tort. La publication d’une nouvelle édition corrigée et augmentée d’un ouvrage est une action toute à fait classique qui n’implique en rien que ne sauraient paraître d’autres ouvrages inédits (rappelons que le même auteur a publié cinq ou six volumes inédits depuis deux ou trois ans). Votre intervention hautement inamicale et parfaitement gratuite montre bien le paradoxe d’une “Société des lecteurs” qui vous a comme président et laisse en jachère depuis des années le site excellemment conçu qu’avaient édifié des titulaires précédents.
Il n'y avait évidemment rien d'inamical à ma suggestion. J'ai plusieurs fois dit récemment que je trouvais vos interventions admirables : ici [www.renaud-camus.org] et là [www.renaud-camus.org]

Est-ce qu'il ne faut plus qu'être louangeur et s'interdire toute suggestion critique ?

Concernant la Société des lecteurs, il se trouve que je me démène pour essayer de vous ramener des lecteurs et de l'argent. Puisqu'il vous faut des preuves, je vais copier-coller ci-dessous des mails privés qui le prouvent.

Vous pouvez également appeler Frank Chabot auquel j'ai laissé un message pour tenter de trouver une liste de mails des personnes susceptibles de vous apporter un soutien financier. Vous pouvez appeler Sophie Barrouyer avec laquelle j'ai eu plusieurs conversations pour essayer de vous trouver de l'argent. Vous pouvez appeler Patrick Chartrain et Pascale Gibert pareillement.

Nous avons envisagé de vous virer le fonds de caisse de la SLRC mais il ne reste que 500 euros. Nous ne savons plus que faire, comme je l'explique à M. Sercy ci-dessous :

Copie de mails récents :

À M. Sercy (qui m'écrivait à la suite de nos échanges sur le site de la SLRC, ici : [www.renaud-camus.org]

22 juin 2015 14:43:30

"Monsieur,
hélas, le site est comme la Société des lecteurs : il survit.
Nous cherchons un "webmestre" susceptible de comprendre le fonctionnement technique et de l'actualiser.
Quant à son "animation", elle ne dépend que des lecteurs : or, ceux-ci se partagent entre ceux qui n'aiment que la dimension littéraire de l'oeuvre, refusent l'engagement politique de RC, et, pour ce motif, choisissent de déserter le site; et ceux que ne sont intéressés que par le combat politique de RC et qui choisissent alors de n'intervenir que sur les autres sites, celui du P.I et les "réseaux sociaux"...
Mais vos interventions auront peut-être pour effet de susciter un nouvel élan : je ne peux que le souhaiter...
Bien sincèrement à vous
Rémi Pelle
t"

À Pascale Gilbert :

"Pascale,
comme nous en étions convenus, j'ai appelé Franck mais je n'ai pu le faire qu'hier et je suis tombé sur la boîte vocale de son téléphone où j'ai laissé un message lui expliquant ce que je cherchais et en lui demandant de me rappeler :
il ne l'a pas encore fait.
Sinon, la liste ne serait utile que si elle comprenait les adresses email des intervenants : dans ce cas, il serait possible d'envoyer un mail collectif ; je pourrais en faire le brouillon à faire valider par une agrégée de Lettres de ta connaissance -)
Amitiés
Rém
i"

Si ce n'est pas suffisant, je peux produire d'autres échanges de mails...
Complément :

À un moment particulièrement difficile dans ma vie familiale, j'ai accepté de présider la SLRC parce que personne ne voulait plus le faire et que le site aurait dû fermer si je n'en avais pas pris la responsabilité juridique.

Depuis plusieurs années, malgré de multiples sollicitations, nous ne trouvons pas de webmestre pour la SLRC : tout le monde refuse. En avez-vous trouvé un pour le site du Parti de l'In-nocence ?
Rémi,


Je suis toujours émerveillé quand je vois que des personnes intelligentes comme vous ne comprennent pas que s'il ya une chose qu'on ne peut pardonner, c'est un bienfait.

La France change, Rémi, et la sagesse arabe, qui nous vient assez vite, a un proverbe fort à propos : frappe ton chien, il t'adorera ; caresse ton chien, il te dévorera. Le chien doit être évidemment compris au sens métaphorique, comme le pied doit l'être dans la Bible.
Pardon, mais je ne comprends pas : les coups de pieds au cul immérités ne me font pas adorer leur auteur ; en revanche, je peux comprendre l'emportement, même violent, quand il est l'expression d'un sentiment d'abandon injuste.
C'est bien ce que je disais, vous ne comprenez pas.

Les coups de pied au cul que vous évoquez sont tout simplement dans l'ordre des choses. Vous pouvez faire ce que vous voulez, aider, prêcher... du moment qu'à un moment vous critiquerez, cette critique attirera sur vous le courroux et culpédé vous serez.
Je rappelle, à tout hasard, que culpéder est de Jeanson.
Il me semble seulement qu’il est fort peu amical, quand quelqu’un signale gentiment une nouvelle édition revue et corrigée d’un ouvrage, processus parfaitement classique et normal, de se déranger pour venir dire que ce n’est pas ce qu’il faut faire, que ce qui est souhaitable est un tome II et un tome III, etc. Ce vœu ne sera d’ailleurs pas exaucé — sur le Grand Remplacement j’ai dit tout ce que j’avais à dire, le constat est fait, et il est maintenant largement partagé.

Quant au caractère inamical de cette intervention en des temps difficiles, suffise de constater qu’elle a tiré de son silence “Du Masnau”, jamais homme à laisser passer sans le célébrer, depuis des lustres, quoi que ce soit qui puisse être blessant ou nuisible à mon égard, dans la conviction où il est que les coups de l’adversaire ne sont pas suffisants, qu’il y faut aussi, toujours, bien plus jouissifs à ses yeux, ceux des “amis”. En somme il ne manque plus que M. Eytan…
Franchement, je croyais ne participer qu'à une discussion de "tactique politique", où il était question de rechercher la meilleure façon de trouver de nouveaux lecteurs, de trouver le procédé "le plus vendeur", puisque Marcel Meyer insistait sur le caractère "militant" de l'ouvrage (" La France a un besoin urgent de cette potion et l'auteur a un besoin urgent des revenus qu'il peut en tirer"). J'avais bien insisté sur la différence à mes yeux entre Le Grand Remplacement et une nouvelle édition d'une oeuvre véritablement "littéraire", "philosophique", telle que Du sens.

Mais que j'aie manqué de tact je veux bien l'admettre et vous présenter pour cela mes excuses.

Cependant, prouver le caractère "inamical" de ma remarque par l'intervention ultérieure de Jean-Marc du Masnau, ce n'est pas très, comment dire ?...
Au fait, Alain, où êtes-vous ?
Cela fait trente ans que je vous lis et trente ans que les temps sont pour vous difficiles. Vous êtes bien dur à l'endroit (c'est mieux qu'à l'égard, je trouve) de Rémi qui ne mérite pas cela. Rémi vous admire comme homme et comme écrivain.

Ne vous est-il jamais venu à l'esprit que ces temps seraient moins difficiles si vous ne découragiez pas vos amis en les nommant vos "amis" ? Beaux guillemets que voilà. Avez-vous une idée quant à la raison qui fait qu'à vous lire Rutebeuf aurait eu une idée des cyclones ?

Marche, Eytan, ils ne vous manquent pas ?
Rémi,

Je suis un prétexte, là encore vous ne comprenez pas.
L'étude à froid de ce fil révèle des choses très intéressantes.

A l'évidence, le débat posé par M. Pellet est technique : pour vendre un livre de cette nature, vaut-il mieux une édition augmentée ou des volumes successifs ? un débat technique aurait pu apporter des réponses.

Or, quelle est la réponse de Renaud Camus ? elle n'est pas technique, la voici :

Rémi Pellet, comme d’habitude vous coupez les cheveux en quatre et cette fois tout à fait à tort.

Entrée en matière qui est un jugement de valeur sur la personne de M. Pellet.

La publication d’une nouvelle édition corrigée et augmentée d’un ouvrage est une action toute à fait classique qui n’implique en rien que ne sauraient paraître d’autres ouvrages inédits (rappelons que le même auteur a publié cinq ou six volumes inédits depuis deux ou trois ans).

Voici un point technique.

Votre intervention hautement inamicale et parfaitement gratuite

Grande surprise quand j'ai lu cela. Je ne voyais vraiment pas ce que la suggestion avait d'inamical, ni ce qu'elle avait de gratuit. C'était au contraire très concret.

montre bien le paradoxe d’une “Société des lecteurs” qui vous a comme président et laisse en jachère depuis des années le site excellemment conçu qu’avaient édifié des titulaires précédents.

Mise en cause évidente de M. Pellet : qu'est ce que la "Société des lecteurs" vient faire là ? M. Pellet serait un incapable succédant à des aigles ?


Viennent ensuite quelques tentatives de M. Pellet qui tente de démontrer sa bonne foi.

C'est là que du Masnau l'infâme intervient pour relever qu'il y a plus amical comme comportement : c'est alors la preuve évidente de la noirceur pelletesque.

Il y a à l'oeuvre un processus psychologique intéressant, qui vise à considérer tout contradicteur comme un adversaire et à procéder ensuite par assimilation, par tâche d'huile.

Je prenais la métaphore du chien battu, j'aurai dû prendre le proverbe nous parlant du chien et de la rage. Voyez, du Masnau l'infâme rebondit sur cette affaire, c'est bien la preuve que Pellet est coupable, qu'il n'est qu'un "ami", pas un ami.
J'attends pour ma part de recevoir mon nouveau laptop afin de déverser plus commodément toute l'atrabile accumulée pendant ma courte absence.
Oh je serai sot, méchant et cuistre, comme d'hab !
Ce fil est pour moi très troublant...

Je ne connais personnellement aucun des protagonistes et il y a peut être des choses qui ne sont pas dites dans tout ce qui est écrit.

Ceci dit j'ai lu et relu le message de Monsieur Pellet (et mes messages précédents montrent de façon évidente que je n'aime pas du tout les idées de ce Monsieur) et je ne vois pas du tout ce qu'on peut lui reprocher. Ce n'est ni inamical ni insultant et je me demande quelle mouche a piqué Renaud Camus.

Renaud Camus a des idées extraordinaires mais pourquoi procède-t-il ainsi ? aller jusqu'à accuser M. Pellet d'être coupable parce que Du Masnau répond c'est une accusation par association je ne trouve pas cela très bien... et ce pauvre Monsieur Eytan je ne vois pas non plus ce qu'il a fait...

Donc une suggestion : pourquoi ne pas éviter les attaques personnelles ? ça me fait penser aux aventures du chien Le Coz, il ne faut pas voir le mal partout. Ce chien ne fait pas cela pour embêter Renaud Camus il s'agit tout simplement d'un chien mal élevé et en rien d'un complot. C'est aussi ce que dit à Renaud Camus son compagnon.

Donc pourquoi ne pas éviter ces brouilles et ces piques qui desservent un grand auteur ?
je suis tenté d'aboyer en remuant la queue mais ça ferait encore toute une histoire.
Cela ne me regarde pas M. Changeur, mais deux remarques cependant : vos métaphores canines, toujours très incisives comme dirait Du Masneau, ne font que jeter de l'huile sur le feu ; et autorisez-moi une opinion divergente concernant le fait d'être mal élevé : c'est bien un complot, ou tout au moins il est hautement souhaitable, et socialement efficace, d'y réagir comme si ç'en était un.

Je soutiens Camus à fond dans cette micro-affaire, non par suivisme canin, mais parce que le spectacle qu'offre le redressement d'un tort générique élégamment exécuté, fondé et justifié par "l'ensemble des oeuvres du coupable" comme disent les commentateurs sportifs, m'a toujours comblé d'aise.
Monsieur Marche vous êtes toujours éblouissant et c'est pour moi un honneur que vous m'écriviez. J'ai lu vos messages sur la Chine avec beaucoup d'intérêt.

Ceci dit c'est fort possible que je jette de l'huile sur le feu mais ce n'est pas un problème, mon but n'est pas d'amener à une réconciliation entre Monsieur Pellet et Renaud Camus mais tout simplement de dire à Renaud Camus de la part d'un lecteur qui ne le connait ni lui ni les autres qu'il n'a rien à gagner à voir des complots partout. Cela laisse au lecteur potentiel une drôle d'impression, c'est tout. Mon âge m'autorise ce genre de franchise : tout comme vous je ne suis pas un adepte de la brosse à reluire et je n'essaie pas d'être "sympa".

La réaction de Renaud Camus et la façon dont il la formule me mettent mal à l'aise et je le dis. J'ai par exemple lu les messages de Monsieur Eytan et je ne vois pas pourquoi Renaud Camus lui tape dessus.
Ah oui, c'est vrai, il manquait quelque chose. Tout est en place maintenant :

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