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L'égalité en droits dans la République !

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
22 juillet 2015, 18:09   L'égalité en droits dans la République !
En prenant connaissance de ceci [www.lefigaro.fr], un citoyen libre lambda peut-il (encore) se demander si le régime de ce pays fonctionne encore selon les normes d'un Etat de Droit ? On nous serine, avec raison, sur le rôle joué par le conservatoire du littoral dans la préservation du patrimoine littoral pour tous les citoyens et le refus de tous les ''privilèges côtiers'', mais là, sauf à considérer les citoyens de ce pays comme des oligophrènes et des ''sans neurone'' le choc est grand ! A considérer l'ampleur de la nocence (qui touche là bien des niveaux !), et sa portée concrète et symbolique, une telle information ne mériterait-elle pas une réaction du P I !
« Le souverain saoudien qui viendra passer ses vacances dans une villa du bord de mer a prévue la réalisation d'un ascenseur et d'un escalier pour relier et faciliter l'accès à la plage. Il a aussi été autorisé à construire une structre en bois au sol pour circuler ainsi que la réfection d'un ponton. Le sous-préfet de Grasse a indiqué que tous les aménagements seront démontés au plus tard le 20 août, selon Nice-Matin.

Depuis dix jours, la venue du roi d'Arabie Saoudite fait polémique après que les autorités françaises ait autorisé la privatisation d'un plage publique lors de son séjour. »

Et voilà comment, en 2015, on écrit sur le site du plus ancien quotidien français...
De plus en plus de nos compatriotes ne savent pas parler autrement que dans ce charabia que révèle leur écrit. Toute une génération née après 1980 s'exprime comme dans cet article; ils sont Français, pas nécessairement de parents immigrés mais incapables d'articuler une explication sur les modalités pratiques de quoi que ce soit : ils bredouillent des ellipses, des périphrases que l'on doit interpréter et leur renvoyer en langage clair pour obtenir leur confirmation du sens. C'est général : de la caissière du supermarché au jeune l'artisan plombier en passant par l'employée d'agence immobilière, ils sont tous incapables de communiquer des éléments cohérents dans un langage dénué d'ambiguïté et qui n'appellent aucun éclaircissement complémentaire. Ce ne sont pas seulement les mots qui leur manquent, c'est une langue articulée, une expression linguistique construite, la conscience de leur dit et de sa réception chez leur interlocuteur. Communiquer avec eux revient à passer son temps à leur traduire leurs propos en langage fonctionnel.

C'est une regression vertigineuse : la langue en circuit court, celui de l'immédiateté; et qui, sans que je puisse épiloguer davantage sur la question, se rapproche naturellement du commerce dit "en circuit court" : à cause de la faiblesse de l'économie mangeront de la viande, à l'avenir, ceux qui auront l'heur d'habiter près des fermes d'élevage, et des cerises ceux dont le domicile se situera à moins de 15 km des vergers. C'est le retour du patois générique, pas seulement langagier mais générique et social : le commerce des objets et celui des personnes, désormais, n'ayant plus la force de s'engager dans des circuits longs et médiatisés, se voient réduits à l'ellipse du circuit court.
Communiquer avec eux revient à passer son temps à leur traduire leurs propos en langage fonctionnel.

Dans telle conversation, de manière implicite, je me vois souvent "chargé" de terminer les phrases de mon interlocuteur.

Sur les manières néo-médiévales de communiquer des jeunes générations, il faudrait dire un mot de la masculinisation des insultes rituelles entre filles: "Elle est trop con, elle !", Tu me casses les c...", etc.

Enfin, la mort des liaisons. A la boulangerie tout à l'heure:
- 2 fournées bien cuites et une demi-baguette, svp.
- 2 euro(s) 40.

Quant à l'article rapporté par M. Meyer, il porte tout à fait la griffe décatie de l'AFP.
C'est à se demander si ces jeunes ne sont pas amputés, plus encore que de leur langue qui serait devenue fantôme, de leurs facultés médiatisantes. J'entends qu'ils ne savent plus médiatiser leurs informations, pensées, communications personnelles : ils livrent l'im-médiat comme le veut le commerce social et bientôt économique en circuit court. Ils ne savent plus se faire les porte-parole de leurs affects, du cheminement de leurs pensées. Les médias publics (ceux des iphones, des tablettes et de la télévision) les auraient évider de leurs facultés personnelles à la médiation avec des interlocuteurs inconnus. La notion de tribu (soit une peuplade d'interlocuteurs familiers) est centrale dans l'écosystème des médias publics interactifs, si bien que face à l'anonyme qui leur demande le chemin de la mairie, ou ce que sont les activités culturelles de la ville en juilllet, les voilà castrés de leurs moyens intimes et individuels de médiatisation : ils bafouillent du je-me-comprends, baragouinent du ma-tribu-me-comprend, bredouillent du ma-famille-sous-culturelle-me-comprend. La langue neutre, générique et anciennement nationale les a désertés -- s'y sont substitués les vieux patois des tribus et des villages globaux, ceux des "réseaux sociaux" circuitaires courts et anti-sociaux de l'entre-soi.
Il y a sans doute un lien de tout cela avec le fait que, dans le cinéma français contemporain, les acteurs se contentent souvent d'émettre de vagues onomatopées incompréhensibles : dans ces conditions, en effet, à quoi bon articuler ?
Il faut ajouter à ça quelque chose de très effrayant : la dégringolade de la parlure courante touche de plus en plus de gens qui, encore naguère, parlaient à peu près correctement. On entend à présent des vieux s'exprimer comme leurs petits-enfants. Le fait est que rien n'est plus contagieux que les tournures langagières propres à l'air du temps, y compris et peut-être même surtout quand il s'agit de mauvaise langue.
Les acteurs du cinéma français sont subventionnés et ont des statuts protégés d'intermittents : ils s'économisent. Et la plupart sont désormais des "fils de" -- au fait pourquoi la pensée bourdivine si chère à nos gouvernements "réformateurs" épargne-t-elle cette caste ? Imaginez-vous deux secondes la petite Gainsbourg (impossible de me rappeler jamais son prénom) sur une scène de théâtre déclamant du Molière. Non mais vous chariez là ! Et pis quoi encore ? J'ai un nom moi, j'ai pas à passer par la case théâtre pour faire carrière dans la comédie. Et vous voudriez pas que je m'inscrive au cours Machin non plus ! Et ceci explique que l'on continuera encore longtemps à se fatiguer les oreilles à tâcher de saisir les marmottages de la petite Gainsbourg au cinéma, pour ne rien dire de l'usure de nos yeux sur son physique.
Vous mettez le doigt sur un sujet qui a animé plus d'une discussion familiale: le parler inaudible des acteurs français. Si leur élocution pâteuse et borborygmée est un supplice (je pense ici au ventriloque Patrick Chesnais, qui n'est pas le pire des comédiens ) que dire alors de leurs interviews? Incapables de se raconter, d'exprimer un point de vue originale sur leur métier pourtant si particulier... Rien d'autre qu'un mutisme rempli de lieux communs.

Le parlêtre (Lacan) est bel et bien mort.

Sur la dégradation de la parlure: hier, j'ai regardé sur YouTube une vidéo du cycliste Laurent Fignon. Nous étions au début des années 80. L'expression était nette, les questions du journaliste et ses commentaires en voix off tout à fait intéressants. Sportifs, musiciens, y compris de variétés, hommes politiques, tous parlaient encore en ces années un français clair et distinct à défaut d'être toujours lumineux.

Un généalogiste des plus courageux devrait se lancer dans une enquête retraçant, étape par étape, la progression diabolique de ce cancer de la langue. (A titre personnel, c'est à partir du moment où Bernard Tapie a été qualifié de personne charismatique que j'ai commencé à me faire du souci.)
Citation
Pierre Jean Comolli
Dans telle conversation, de manière implicite, je me vois souvent "chargé" de terminer les phrases de mon interlocuteur.

Moi qui parle et écris mal, je me vois souvent chargé de traduire les signes de mon interlocuteur.

Tout récemment, une collègue voulait me faire comprendre qu'étant petite elle n'en était pas moins très (moulinets des poings).
- véloce.
- oui voilà !

Et de ces dialogues de métro :

- là j'arrive il était genre (mime : affalé sur le canapé), j'étais genre (mime : folle de colère), lui tranquille, genre (mime : étonné et ingénu).
- putain moi i'm'fait ça sérieux j'le (mime : plusieurs coups de poignards).

Etc.
Utilisateur anonyme
25 juillet 2015, 08:57   Re : L'égalité en droits dans la République !
"C'est trop bien", "il est trop sympa", j'la kiffe trop grave cette meuf", etc.



Exagération systématique. Il y a aussi qu'entre deux mots on choisit presque toujours le plus impressionnant (l'adjectif ou l'adverbe notamment : "extraordinairement", "formidablement", "incroyablement"), alors que souvent le "mot moyen" suffirait. - Pourquoi ? L'hyperbole et l'emploi devenu quasi systématique d'un superlatif indiquent qu'on ne désire pas le mot juste, la justesse, la justice... en clair qu'on ne pense pas, qu'on est proche du troupeau, de la masse.
Il y a aussi la majuscule à l'adjectif saoudien dans le titre (le roi Saoudien) comme si "Saoudien" était son nom et la confusion entre "prêt à" et "près de" dans "la polémique n'est pas prête" pour "la polémique n'est pas près de désenfler", sans même parler du manque de justesse de la métaphore "désenfler". Si cela ne donnait pas la nausée (non le mal de mer, mais le mal de langue), on pourrait relever une faute par mot, comme dans les rédactions d'élèves de CM2 "en difficulté".
Le sujet lancé par Victor Taminen n’est pas l’étiolement de la langue Française et de son orthographe mais de la privatisation de la plage de Vallauris pour un monarque !

A ma grande surprise au lieu de disserter sur le monarque en question et des appuis politiques qui lui permettent d’imposer ses diktats vos commentaires se sont axés uniquement sur les fautes d'orthographe (certes très scandaleuses pour un journaliste du Figaro!) mais rien du tout sur le problème de fond qui me paraît gravissime. C'est affligeant !

Ce n’est pas ainsi et avec de telles comportements intellectuelles que l’on va changer la situation de ce pays.

Je comprends mieux et désormais pourquoi ce pays tombe si bas !!!
La privatisation temporaire de cette plage, très déplorable, est elle-même un tout petit sujet par rapport à la situation des agriculteurs français et à l'incompétence de nos gouvernants qui cèdent systématiquement face à la violence des revendications catégorielles et sectorielles (taxis, agriculteurs, etc.), ce qui signifie que ce gouvernement ne gouverne pas, impression qui se renforce quand on apprend que les producteurs de lait vendent leur production à moindre prix que l'eau minérale. Il y a des dizaines de sujets cet été qui sont plus importants que cet incident à propos de cette plage de Vallauris (les lois votées qui prévoient la préférence étrangère dans les soins accordés aux étrangers, les lois sur le Renseignement, etc.).

Pour ma part je range la perte de la langue nationale dans le peuple de France très supérieure en importance au clôturage de ce bout de plage à Vallauris, ne vous déplaise.

Les autorités préfectorales défendent cette mesure en arguant du plan vigipirate renforcé, semble-t-il. Ces personnalités saoudiennes peuvent devoir être protégées pendant leur séjour en France, cela peut faire partie d'accords diplomatiques entre les deux pays. Si l'ambassadeur de Pologne ou de Prusse orientale avait sa résidence en ce point exposé du rivage, il est probable que des gardes en armes en défendent l'accès. Non loin de là les plages proches du Fort de Brégançon, résidence présidentielle, sont en permanence interdites d'accès depuis des décennies. Je crois savoir que les gendarmes qui en surveillent les abords ont ordre de tirer à vue sur tout ce qui s'en approche, tout à fait comme chez les dictateurs philippins ou guatémaltèques. Ca ne vous choque pas ?
Oui mais là la famille royale Saoudienne passe chaque année comme à son habitude dans un immense palais les pieds dans l’eau à Vallauris dans la méditerranée.

La dites famille vient d’obtenir le temps de son séjour le droit de privatiser une plage, la Mirandole, qui est mitoyenne à son immense propriété.

Ce qui me choque « moi » c’est que ces gens là puissent tout acheter même le bien public, on écarte les citoyens Français sous prétexte que des fortunés Saoudiens veulent passer de bonnes vacances.

Les vacanciers lambdas et les habitants de Vallauris, n’ont qu’à se trouver une autre plage.

La loi dit pourtant que le domaine public « NATUREL » est inaliénable, qu’elle appartient à la collectivité et qu’elle ne peut être cédé à titre privé autrement dit elle ne peut être cédé à un particulier y compris une plage car elle relève du domaine public naturel maritime.
Je vous rappelle que les habitants et les vacanciers ont des droits, le droit de circuler librement le long du rivage et de s’y baigner.

Mais là on leurs dits, circulez il n’y a rien à voir !!!

L’état un peu gêné explique que c’est pour la sécurité du roi et celle de ces 500 sujets…il ferait d’être honnête et de dire la vérité et qu’on décide de tout laisser passer ou presque aux Saoudiens car l’état vient d’acheter en trois mois plusieurs milliards d’Euros aux entreprises Françaises et derrière il y en a pour quelques dizaines de milliards sans doutes. L’autre excuse et que les saoudiens sont les alliés de la France et qu’ils luttent contre le terrorisme…je pouf de rire !!! cet allié est dans le top cinq des pays qui exécutent le plus grand nombre de personnes chaque année, que les femmes n’ont quasiment aucuns droits sans compter le sort qui est réservé aux Homos.

Un peu de croissance vaut bien le sacrifice d’une plage pour un laps de temps…Paris vaut bien une messe disait Henri IV…afin d’accéder au trône de France.

Ce n’est pas très glorieux mais on appelle cela de la diplomatie, la diplomatie du chéquier.
Trouvez-vous cela normal que sous prétexte d’être fortuné que l’on puisse tout acheter.
Nos dirigeants se prosternent rien que pour faire passer leurs intérêts diplomatiques et cela au travers de la dignité de la France.

De Gaulle ou bien Napoléon n’auraient certes pas agit ainsi !!!!
Je ne voudrais surtout pas avoir l'air de défendre les Saoudiens dans cette affaire. Et ce que vous dites est vrai : le régime wahhabite (pas le temps de vérifier cet orthographe, pardon) est complice passif du djihadisme de l'EI, et coupable de bien d'autres crimes qui mériteraient des mesures de rétorsion bien plus sévères que la réouverture de la plage de Mirandole. Mais enfin, si le problème est celui de l'inaliénabilité violée du domaine maritime sur la Côte d'Azur, sachez que le problème n'est pas nouveau et que d'autres s'en émeuvent en vain depuis des lustres. Ceux qui comme moi fréquentent la presqu'île de Giens sur les rivages de Hyères lorsqu'ils veulent en faire le tour à pied en longeant le rivage à partir de la plage de l'isthme qui la relie au continent (rivage de la Madrague) ont la voie bloquée par des constructions (cabanons en dur) pieds dans l'eau parfaitement illégales. Et ce n'est qu'un exemple. Les autorités prefectorales ferment les yeux depuis des lustres. Ces occupants illégaux ne sont peut-être pas princes ni saoudiens il n'empêche qu'ils se comportent avec le bien public comme des porcs si vous permettez, et si c'est bien l'inaliénabilité du domaine maritime qui vous occupe.
Je m'avise après coup du caractère "paroissial" de ma réponse aux objections de Dominique Vincigerra. Il faudrait y ajouter la considération diplomatique. Certaines grandes entreprises françaises, Veiola, Suez, fournissent en eaux potables la péninsule arabique. Les savoir-faire technologiques français dans ce domaine jouissent d'une excellente réputation, quand il s'agit de dessaler l'eau de mer. La France en tire des bénéfices certains. J'ignore si Veiola paie ses impôts en France comme elle le devrait, mais je n'ai jamais entendu dire qu'elle ne le faisait pas. Donc, quoi ? Les Saoudiens revendiquent de faire trempette à Cannes sans risquer leur peau en échange de la location de services techniques et industriels français qui sur cette péninsule leur assure (à eux et aux sultanats d'Oman) l'eau potable à volonté.

On peut être contre et décider qu'il doit pouvoir se passer à la plage Mirandole de Vallauris ce qui s'est passé récemment à la plage de Sousse en Tunisie : qu'un dingue vide ses chargeurs sur cette engeance détestable d'enturbannés arrogants et appropriateurs de domaine maritime. Et puis alors quoi ?

Les Saoudiens feront des infrastructures française sur leur péninsule ce que Nasser avait fait des infrastructures françaises du canal de Suez : expropriation et nationalisation. Et alors, que fera la France de François Hollande ? Enverra-t-elle des bombardiers ou des Rafales sur la Mecque ? ou un corps expéditionnaire comme en Egypte en 1956?

La diplomatie, c'est l'art de la frustration, l'art de ne pas assassiner la brute détestable qui vous donne la réplique dans ces échanges. On peut refuser ce jeu, mais alors, il faut savoir faire face, en s'en donnant les moyens, aux conséquences. Israël, par exemple, l'ose. Nous, pas encore, ou plus du tout, depuis Napoléon, premier et dernier empereur.

Les grandes gueules de papier qui signent des pétitions en ligne pour rouvrir ces plages "occupées" sont inconséquentes.
Utilisateur anonyme
26 juillet 2015, 20:34   Re : L'égalité en droits dans la République !
Trouvez-vous cela normal que sous prétexte d’être fortuné que l’on puisse tout acheter.

Non ! Comme je trouve parfaitement anormal, voire même scandaleux, que les plus beaux aient davantage de succès auprès des femmes, des hommes, et dans la vie plus généralement. Et ça n'est pas parce que ça semble déranger le sieur Vinciguerra que c'est prêt de changer.
Utilisateur anonyme
26 juillet 2015, 20:44   Re : L'égalité en droits dans la République !
Les grandes gueules de papier qui signent des pétitions en ligne pour rouvrir ces plages "occupées" sont inconséquentes

Ces mêmes "grandes gueules" qui n'ont rien, ou si peu, contre le fait que nos piscines privées et municipales soient "occupées" par la racaille diversitaire...
La dérision en toutes choses est l’ultime défit au malheur…

En ces temps menaçants où les mensonges et les trahisons font partie des normes européennes et américaines, il est parfois bon de faire abstraction de ce contexte déprimant qui mène l’Occident vers le néant.

C’est la France éternelle, celle que j’adore. Pas celle de ses « chances » de ces cultures dont je n’ai que faire. Pas celle baptisée république à tort. Pas celle de l’état socialiste que j’abhorre. Que de beauté et de richesses dans la première. Que de laideur et d’abandon dans la seconde dont les trois formes citées ont un dénominateur commun : celui qui produit un inexorable déclin et sent la fin. Comparé au passé, ce présent augure d’un sinistre futur auquel président et ministres se sont attelés en vendant notre pays par pan à l’ennemi Musulman.

C’est la France du talent, celle qui entreprend sans vendre son âme au diable. Un pays capable de réussir des exploits comme dans une course cycliste, une France qui ne se vautre pas dans l’idéologie gauchiste et ne se laisse pas embobiner par des bonimenteurs, des bateleurs d’estrades n’ayant pour valeurs que leurs intérêts personnels, les bénéfices réalisés sur le dos de leurs électeurs en vendant les biens de ces derniers à l’Arabie Saoudite ou au Qatar.

Pendant que l’occident parle du sexe des anges l’ennemi avance ses pions….mais eux ne font pas dans la dérision !!!!
Utilisateur anonyme
28 juillet 2015, 10:53   Re : L'égalité en droits dans la République !
Un pays capable de réussir des exploits comme dans une course cycliste,




Comparer ce à quoi nous sommes confrontés (Grand Remplacement, islamisme radical, guerre civile larvée, préférence étrangère, etc) à la victoire d'une course cycliste ou à cette d'un match de football... c'est un peu léger, et pire que "l'esprit de dérision", pour le coup. Il y a urgence : nous devons être capables de mettre en œuvre des solutions dont plus personne ne veut envisager même l’esquisse, raison pour laquelle nous n'avons plus d'autre choix que d'être vus comme la réponse “immorale” (remigration, préférence nationale, dictature transitoire (?)) à un problème "moral" (l'acceuil sans condition des "sans-papiers" et de tous les "migrants" de la terre) - et ça, c’est insupportable au Système ! Tous savent bien, même les plus naïfs, que c’est en fait la seule réponse. Un peuple qui a décidé de ne plus jamais faire la guerre ne peut pas survivre (même s'il gagne toutes les courses cyclistes du monde...), il préférera prendre pour ennemis ceux de ses frères qui appellent à se défendre plutôt que ses réels agresseurs . Pire : il niera avoir des agresseurs et les traitera en frères, avant d’être éliminé...
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