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Faut-il sauver le soldat Le Pen ?

Envoyé par Éric Guéguen 
Les conflits au FN auront alimenté le psychodrame politique du mois d’août. L’ensemble des journalistes se sont jetés dessus comme une meute de chiens sur un os, voire comme un nuage de mouches vertes. Bref… La mine grave, les uns et les autres se sont complu à donner l’idée que le sort de la France se jouait dans les tensions entre le père et la fille. Il faut dire que la classe politique est tellement pitoyable, tous bords confondus, que le parti devenu le premier de France sans jamais avoir exercé le pouvoir attire forcément la curiosité, quand ce n’est pas la sympathie. Mais au-delà du vaudeville, le cas Le Pen est révélateur.

Durant trente ans, on nous l’a présenté comme un démon borgne aux dents pointues, un être bouffi de haine, notre Hitler à nous. L’immense majorité des Français a marché à fond. J’ai notamment en mémoire les « ateliers civiques d’argumentation ». Institués entre les deux tours de la présidentielle de 2002 pour – je cite – « défendre la démocratie », ils se proposaient d’« apprendre à s’adresser à des personnes qui sont tentées de sortir de la démocratie » (comprenez les électeurs FN de l’époque), histoire de les ramener dans le camp du bien, celui des grands démocrates, des Strauss-Kahn, des Cahuzac ou des Balkany. Et tout ceci signé par un chercheur au CNRS en « sciences de la communication ». Difficile, après ça, de ne pas voir en Jean-Marie Le Pen l’ennemi public numéro 1 de la Cinquième République.

Et après toutes ces années à le maudire, à traquer ceux qui l’écoutaient, à le condamner pour chacune de ses provocations débiles, à l’espérer mort et enterré, voici qu’un parti met fin à son empire en lui signifiant qu’il nous a bien fait rire mais qu’il est temps d’aller taquiner le goujon et de laisser les gens sérieux travailler. Contre toute attente, ce parti, c’est le sien. On pouvait alors envisager des scènes de liesse, des orgies métissées, des effigies mises en pièces et piétinées comme dans ces pays au sang chaud. Eh bien, pas du tout. À présent, tout est entrepris, au contraire, pour faire du père Le Pen la victime d’une machination, le grabataire gras-battu, le dindon de la farce. De la justice aux journalistes, et de ses pires détracteurs à ses partisans les plus chauds, tout le monde s’en donne à cœur joie.

Que penser de tout ceci ? Que les masques tombent ; que, depuis quarante ans, la politique politicienne n’est, de manière consensuelle, qu’un jeu à somme nulle entre deux formations en cheville ; qu’en parallèle, le FN viril a fait le bonheur de tous ceux qui ont voulu masquer leur incapacité par des postures de résistants à la petite semaine ; que Jean-Marie Le Pen n’a jamais voulu le pouvoir, si ce n’est celui de faire le buzz dès qu’il le souhaite ; que ni lui ni ceux qui l’ont tant vomi n’ont intérêt à ce qu’il quitte la scène ; que sous la houlette de « Marine », enfin, le FN ambitionne à présent de devenir un parti comme les autres dans ce régime vérolé, à savoir… apte à prendre le pouvoir et à n’en rien faire. Et sans le pas de l’oie.

Si monsieur Le Pen veut vraiment rendre service à son pays, qu’il admette tout ceci noir sur blanc dans ses mémoires. Quant aux « fachobusters » qui ont adoré le détester et se sont sentis vivre les « heures sombres » une main sur le cœur et l’autre dans la culotte, qu’ils implorent le pardon de la France.

Article original
Utilisateur anonyme
30 août 2015, 10:00   Re : Faut-il sauver le soldat Le Pen ?
Les medias s'acharnent à faire durer ce psychodrame (regrettable evidemment) mais tout ça commence d'être derrière nous. Enfin c'est comme ça que je ressens les choses.

Ouvrons grand les yeux :
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Quatre scénarios pour notre sombre avenir (dont l'accession au pouvoir du FN) :

Par Paysan savoyard le 30/08/2015 9h00

Tribune libre de Paysan Savoyard

Jour après jour, le flux d’immigrés sur notre sol augmente inexorablement. Venus du Moyen Orient, du continent africain et d’Asie, ils s’installent en France comme dans toute l’Europe. Ce phénomène historique majeur, qui marque les quatre dernières décennies, s’est brutalement amplifié depuis quelques mois avec la « crise des réfugiés-migrants« . En ces temps de rentrée, faisons le point, en remettant sur le métier cette question banale, rebattue et maintes fois discutée: quels sont désormais les scénarios possibles?



Examinons la question à nouveaux frais, en nous efforçant d’évaluer le degré de probabilité des différentes hypothèses qui viennent à l’esprit.

L’Europe et la France sont sous le coup d’une invasion sans précédent. Le phénomène enclenché depuis une quarantaine d’années n’a pas, jusqu’ici, entraîné de réaction significative de la part des sociétés européennes. Il n’a pas non plus provoqué leur écroulement ni déclenché de cataclysme. Se peut-il qu’il en soit autrement à l’avenir?


1/ La poursuite des évolutions en cours

Il s’agit du premier scénario: les évolutions en cours se poursuivent et se prolongent, sans inflexion majeure ni rupture nette. Les gouvernements se succèdent en poursuivant les mêmes politiques d’encouragement et d’accompagnement de l’immigration.

Les phénomènes qui, depuis quatre décennies, découlent de l’immigration massive se confirment en s’aggravant. Augmentation de la délinquance. Dégradation des services publics confrontés à l’ampleur des dépenses et débordés par le nombre. Islamisation de la France et de l’Europe. Mise en minorité des Français de souche dans un nombre croissant de quartiers, de villes, de départements.

Cette évolution finira-t-elle par déclencher une réaction violente des autochtones (ce qui déboucherait sur le troisième scénario)? S’ensuivra-t-il un écroulement et un chaos qui nous feraient basculer dans un monde radicalement nouveau, tenant à la fois du Nigeria, du Brésil et du Kosovo? Pas avant longtemps sans doute.

Parce que la France est un pays solide, structuré par un État installé depuis des siècles. Parce que les Blancs conserveront encore quelques temps la plupart des postes de commandes, en les partageant avec la bourgeoisie d’origine immigrée (c’est ainsi que l’Afrique du Sud ne s’est pas écroulée alors que les Blancs y ont perdu leur suprématie depuis déjà 30 ans).

Ce premier scénario ne se traduit donc pas par un effondrement brutal. Il se présente comme la plus linéaire des quatre hypothèses examinées: poursuite de la déréliction progressive, effritement quotidien, durcissement continu des conditions de vie. Le plus crédible est, qu’à ce rythme, nos sociétés finissent par se soumettre, ainsi que le prophétise Houellebecq.

2/ L’arrivée au pouvoir du Front national

Imaginons à titre de seconde hypothèse le bouleversement politique que constituerait l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen, à échéance relativement brève, en 2017 ou cinq ans plus tard.

Indiquons d’emblée que la chose nous paraît très peu probable. L’accession au pouvoir du FN serait pourtant logique: depuis des décennies en effet les évènements qui surviennent confirment, jour après jour, la justesse des analyses de Jean Marie Le Pen dès la création du Front en 1973.

Mais les fourvoiements stratégiques commis par le FN depuis plusieurs années nous paraissent rendre sa victoire impossible. Oscillation entre formules outrancières et recherche de « dédiabolisation », mise au second plan de la question de l’immigration, adoption d’un discours politiquement conforme centré sur l’assimilation républicaine, promotion de thèmes économiques (l’euro) ou de débats de nature juridique (la souveraineté), tout cela nous paraît constituer des méprises de première importance.

Erreur majeure, premièrement, parce que la pédale douce posée sur la question de l’immigration anesthésie l’électorat. Puisque le FN lui-même n’en fait plus un thème central et tient désormais sur le sujet un discours particulièrement modéré, les Français sont conduits à penser que la question de l’immigration n’est finalement pas si prégnante: l’électorat du coup peut continuer à se bercer d’illusions, à vaquer à ses occupations et à voter de façon traditionnelle ou à s’abstenir.

C’est une aberration, également, parce que ce positionnement « conforme » laisse le champ libre au candidat de droite. Il suffira à celui-ci d’adopter, quelques mois avant l’élection, un discours « dur » sur les questions d’immigration et de sécurité ; il lui suffira d’en appeler à voter pour « la fermeté raisonnable » en rejetant le FN « ses excès, ses outrances et son irréalisme ».

Les électeurs n’y verront que du feu et les protestations républicaines de la candidate frontiste n’y changeront rien: elle sera évincée dès le premier tour ou à l’issue du second.

Le piège a déjà fonctionné en 2007 et 2012, le candidat de droite étant arrivé par deux fois avec 10 points d’avance sur celui du FN au premier tour. Il fonctionnera de nouveau probablement en 2017 et l’on voit déjà M. Sarkozy tester les grandes lignes de son futur discours de séduction à l’intention des électeurs tentés par le vote FN (cf sa dernière interview dans Valeurs Actuelles).

Plaçons-nous cependant dans l’hypothèse d’une victoire frontiste. Imaginons ensuite qu’une fois élu, le FN tienne ses promesses et applique son programme. Quel est donc ce projet, s’agissant du moins de la question de l’immigration, la seule qui compte, la seule vitale?

Arrêter l’immigration massive en la limitant à 10.000 par an. Renvoyer les clandestins et les délinquants. Assimiler ceux qui sont là de façon régulière, notamment en supprimant la double nationalité.

Que se passera-t-il donc si le FN applique les mesures en question? Sommés d’exercer une option, les actuels bi-nationaux choisiront la nationalité française. Les immigrés réguliers seront naturalisés, aussi massivement qu’ils le sont aujourd’hui. Les immigrés possédant déjà la nationalité ainsi que ceux qui sont en situation régulière resteront sur place.

Leur démographie étant très supérieure à celle des Français de souche, ils deviendront progressivement majoritaires, même si le processus ralentira par rapport au rythme actuel (qui est officiellement de 200.000 entrées légales par an, auxquelles s’ajoutent probablement autant d’installations irrégulières ; et ce sans compter les 300.000 naissances annuelles dans la population d’origine immigrée).

Accessoirement la France continuera à s’islamiser puisque le FN considère que la religion des immigrés est compatible avec la république.

Résumons: l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen ne changerait pas grand-chose et ramènerait finalement au premier scénario examiné plus avant.

Reste l’hypothèse selon laquelle l’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen déclencherait des oppositions violentes, provoquant une réaction en chaînes qui l’obligerait à aller bien au-delà de son programme initial et créerait l’affrontement. On rejoindrait alors le scénario numéro 3.

3/ L’hypothèse de la guerre civile

Le troisième scénario envisageable est celui de heurts armés ouverts et massifs entre fractions de la population. Dans le cadre d’un tel conflit civil, les affrontements pourraient mettre aux prises à la fois des Français de souche et des immigrés, les Français de souche entre eux, des immigrés entre eux.

Cette situation pourrait-elle être provoquée par la réaction violente des autochtones confrontés à l’invasion en cours? Comme nous le disions plus haut la chose est peu crédible: les Français n’ayant pas souhaité provoquer de rupture politique et ayant continué à se prononcer librement depuis 40 ans pour les partis traditionnels, on ne voit pas ce qui pourrait les conduire à subitement s’insurger.

Trois facteurs différents, le cas échéant cumulables, pourraient cependant être à l’origine d’un scénario de ce type :

- Une opposition violente à l’arrivée au pouvoir du Front national à l’issue d’une élection présidentielle pourrait entraîner une réaction en chaîne débouchant finalement sur un conflit civil ouvert et majeur. Nous avons signalé cette hypothèse précédemment.

- On peut également songer à un affrontement ouvert déclenché par l’offensive d’ampleur d’une partie de la population immigrée souhaitant installer au plus vite un Khalifat ou une forme d’État islamique en Europe: vagues d’attentats d’une fréquence et d’une intensité croissantes, utilisation par les terroristes de tout le spectre des moyens envisageables…

Notons sur ce point que les divers assaillants ont eu recours jusqu’ici à des formes « traditionnelles » du terrorisme: armes blanches ou à feu, voitures « folles » lancées dans la foule. On peut craindre à l’avenir l’utilisation de nombreuses autres modalités de mise en œuvre relativement aisée.

- Le changement d’échelle brutal de l’immigration pourrait aussi constituer un facteur déclenchant une réaction violente: les immigrés s’installent et naissent sur le territoire au rythme d’au moins 1.000 par jour. Un triplement ou un quadruplement brutal pourrait provoquer des phénomènes de rupture.

Ce scénario du déclenchement d’une guerre civile ouverte ne nous paraît pas le plus probable. A examiner la liste des facteurs qui pourraient en être la cause, on voit cependant qu’il n’est pas totalement à exclure.

4/ Remigration, remise en ordre

C’est le quatrième scénario envisageable. Un gouvernement responsable et réaliste se met en place et se propose d’effectuer une remise en ordre. Sa politique visera simplement à appliquer stricto sensu les lois existantes, que ce soit en matière de délinquance (mise à l’écart durable des récidivistes), de sécurité, de peines encourues, de conditions de séjour des étrangers, etc.

Contrairement à ce que feint d’ignorer le FN, la présence massive sur notre sol de 10 millions de « Français de papier » et leur hyper-natalité invasive constituent un réel problème. Le nouveau pouvoir devra donc, en plus de mettre un terme à l’immigration, organiser une « remigration » massive et ce, sans sortir du cadre légal préexistant ni encourir de sanctions internationales.

Les stratégies de cette remigration n’étant pas forcément connues du grand public, le terme demeure porteur de tous les fantasmes. Nous reviendrons donc plus en détails sur cette solution et tenterons d’en présenter les approches pratiques dans une prochaine tribune.

Un tel pouvoir ne se différencierait du FN dans sa version actuelle, que par sa volonté de remigrer la grande majorité des « Français » issus de l’immigration extra européenne, le FN voulant lui les assimiler définitivement aux Français de souche.

Si le FN annonce clairement et contractuellement (dans son programme) son intention d’assimiler les descendants d’immigrés et naturalisés extra européens, son alter égo « remigrationiste » n’aurait lui aucun besoin de décréter la finalité des quelques mesures mise en place qui aboutiraient de fait à une remigration volontaire des intéressés.

Un tel pouvoir, une fois le moment de surprise passé, recueillerait-il le soutien ou du moins le consentement tacite de la majeure partie de la population de souche française ou européenne? Un pouvoir fort issu d’une crise serait-il en mesure de la solder ou au contraire ne pourrait-il faire que l’aggraver? Laissons pour l’heure ces deux questions ouvertes.

Notons, comme on le voit, que ces spéculations ne sont pas exclusives les unes des autres: elles pourraient se succéder, se combiner, s’imbriquer. Précisons également que nous nous contentons ici de nous livrer, en amateur, à un exercice de prospective, sans exprimer de souhait particulier ni en appeler à la réalisation de telle ou telle hypothèse.

Cette liste de quatre scénarios fait-elle d’ailleurs le tour des cas de figure envisageables? Rien n’est moins sûr. L’Histoire et ses ruses sauront peut-être en inventer d’autres.

Une certitude toutefois, nous semble-t-il: c’est à un avenir bien sombre et troublé qu’il convient de se préparer. Que ceux qui pensent pouvoir miser sur le maintien durable d’une situation relativement stable et confortable perdent au plus vite leurs illusions.

Rares seront les lieux, les moments et les situations où il sera possible dans un proche avenir, en France, en Europe et partout dans le monde, de jouir de la vie en cultivant son jardin.
Merci à vous pour cet apport lucide.
Analyse intéressante en effet.
Utilisateur anonyme
30 août 2015, 15:10   Re : Faut-il sauver le soldat Le Pen ?
Difficile de prévoir l’avenir tant nous vivons une situation exceptionnelle, du jamais vu : l’invasion de notre pays et de notre continent par des hordes extra-européennes, majoritairement musulmanes, avec la complicité et l’encouragement de nos propres gouvernants (et d'une partie non négligeable des gouvernés). Des "responsables politiques" laissant les choses se dérouler très lentement, "à la chinoise", malgré l'accélération observée ces derniers mois avec l'arrivée toujours plus massive des "migrants". Quant aux citoyens européens ils évoluent un peu à l'image de ces poissons fatigués, abrutis, désorientés... Ca pourrait durer encore des mois, des années, toujours. Comme s'il n'y avait plus de place pour le déchargement, la combustion accélérée - une mobilisation droit-de-l'hommiste sans fin.
Il est vrai que jamais auparavant dans l'histoire une civilisation n'avait montré autant d'égards pour ses ennemis, au point de lui ouvrir ses portes et de se retrouver incapable d'y faire face. Les ennemis sont bel et bien à l'intérieur, mais les pires ne sont pas ceux qui sont venus, mais ceux qui leur ont permis de venir.
30 août 2015, 16:33   Faire autrement
Tout comme l'Eglise ne désigne plus les hérétiques, la démocratie ne désigne plus ses ennemis. Dans ce cas, il est logique d'accueillir tout le monde.
Utilisateur anonyme
30 août 2015, 16:53   Re : Faire autrement
Tout comme l'Eglise ne désigne plus les hérétiques
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Oui cher Thomas, enfin presque. Elle désigne tout de même les 'infréquentables", les "mal pensants", les "nauséabonds" - en clair les représentants et les électeurs du FN.


"Quel est cet Évangile, brandi par certains catholiques, qui rend fréquentable les élus PS promouvant pourtant avortement, mariage homosexuel, divorce, euthanasie, destruction de la famille… mais non certains élus FN, pourtant pratiquants et défenseurs de la famille et des chrétiens d’Orient ? Quelles sont ces idées du Front national qui ne seraient « pas compatibles avec l’Évangile » ?
La chrétienté a, par le passé, mis l’islam hors d’Europe plusieurs fois. À l’époque, les évêques n’y avaient alors rien trouvé à redire !

Au-delà de ce rappel historique, il est regrettable de voir qu’une partie du clergé français persiste à ne pas écouter l’inquiétude légitime des Français face à l’immigration, à l’islam et aux problèmes très concrets qu’ils rencontrent dans leurs quartiers."

Boulevard Voltaire, "L'Eglise face au FN", extrait.
30 août 2015, 17:30   Re : Faire autrement
La démocratie ne désigne plus ses ennemis à partir du moment où on la voit partout et en toute chose. Dans ces cas-là, effectivement, elle a bien du mal à s'auto-récuser. Lorsqu'en son nom on tolère tout et n'importe quoi pour le droit à - à la différence en l'occurrence - on se rend incapable de différencier ce qui est adéquat et ce qui ne l'est pas. Nous faisons à présent cette cruelle expérience. Il ne sera peut-être pas dramatique de perdre cette conception dévoyée de la démocratie dans le combat qui vient.
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