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De l'obscénité des procédés remplacistes.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
03 septembre 2015, 13:51   De l'obscénité des procédés remplacistes.
Exploitation honteuse de la mort d'un enfant de "migrants" sur toutes les chaînes TV.
Mais l'exploitation à outrance de petit corps d'enfant syrien échoué sur une plage turque, et dont l'image a déjà fait plus de 1000 fois le tour du monde, révèle dès l'abord sa marque de fabrication : de l'idéologie ; une idéologie immigrationniste extrêmement agissante que sa pratique (en accélération permanente) veut faire entrer de force dans le Réel - à vomir.
Utilisateur anonyme
03 septembre 2015, 13:56   Re : De l'obsénité des procédés remplacistes.
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Le jour où la mort d'un petit réfugié syrien a bouleversé le monde

Par Fabien Magnenou | Francetv info – il y a 52 minutes

Mercredi 2 septembre, le jour se lève sur la plage turque de Bodrum. Sur le rivage, le corps d'un petit garçon de 3 ans gît, face contre le sable. Il est mort dans un naufrage, alors que sa famille tentait de gagner l'île grecque de Kos. C'est un pêcheur du coin qui a fait la macabre découverte, selon la BBC (en anglais) : "Je me suis rendu à la mer et j'étais terrifié. Mon cœur est brisé."
Un policier fait la moue, choqué par la découverte
Les officiers de police turcs sont dépêchés sur place. L'un d'eux s'empare du corps de la petite victime, sous les yeux d'un collègue équipé d'un appareil photo. Quand il emporte le cadavre, un autre collègue fait la moue, choqué par la découverte. Le sable est jonché de vêtements, rassemblés dans des sacs plastique noirs. Photographe pour l'agence turque Dogan, Nilüfer Demir assiste également à la scène. "Je voulais juste montrer la douleur que je ressentais quand je voyais Aylan, a-t-elle expliqué, au micro de CNN Turk (en turc). Nous ne pouvions plus rien faire pour lui." Ses images sont publiées par des médias turcs, en fin de matinée."L'humanité est en train de mourir", peste Timeturk (en turc).
Quelques précisions sont alors livrées. La victime s'appelle Aylan Kurdi. Sa mère et son frère de 5 ans sont morts, eux aussi, dans le naufrage de deux canots pneumatiques, qui se dirigeaient vers l'île grecque de Kos. Au moins 12 cadavres ont été emportés à la morgue de Bodrum. Sur place, l'agence Anadonu a également tourné des images d'une autre mère de famille éplorée, sa fille dans les bras (...).
Quelqu'un a-t-il connaissance d'une enquête journalistique sérieuse qui porterait sur les causes directes et immédiates de cet exode de Syriens, au flux d'intensité redoublée depuis un mois ? Est-ce parce que le Daech est aux portes d'Alep, que Damas va tomber ? que la Syrie sera entièrement aux mains de ces monstres avant la fin de l'année et que les populations de ce pays le savent sans que la presse internationale ne l'ait encore ébruité ?
Tout indique que l'Europe en 2015, contrairement par exemple à ce qui s'était passé pendant la guerre civile espagnole au siècle dernier où la France avait ouvert sa frontière aux seuls vaincus, s'oblige d'accueillir pêle-mêle les vaincus et les vainqueurs de la guerre en Syrie et en Irak, ce qui expliquerait la dissonance des images de ces "réfugiés" qui pour les uns (souvent des familles) fuient la défaite en étant visés par les massacres que perpétrent les vainqueurs, cependant que dans un mouvement qui emprunte les mêmes itinéraires géographiques (d'où aussi sans doute les heurts entre migrants) les vainqueurs (souvent des hommes seuls, comme on l'a vu récemment en Hongrie) avancent et partent conquérir l'Europe comme le leur enjoignent leurs chefs restés sur le théâtre des opérations.

La totale absence de discrimination, le refus d'ouvrir les yeux des leaders européens face à ce phénomène complexe dont visiblement ils n'ont aucune intelligence, risquent d'entraîner de terribles désillusions en Europe dans les mois et les années à venir.

Complexe est un mot faible pour qualifier ce phénomène chaotique où aux cohortes de migrants qui pour les uns fuient la guerre pour d'autres se déplacent avec pour mission de l'étendre, s'ajoutent d'authentiques migrants économiques clandestins (ceux du Bangladesh ou du Pakistan par exemple) et encore des réfugiés climatiques (le Sous-continent a connu des températures qui ont dépassé les 50 degrés cet été. On fuirait à moins).
Utilisateur anonyme
03 septembre 2015, 14:31   Re : De l'obscénité des procédés remplacistes.
Non cher Francis (1er message de F.Marche).

Par ailleurs on lit et on entend partout : "Migrants : la photo qui fait honte à l’Europe".

Honte à l'Europe ?, mais pas à la Turquie ?, où est mort cet enfant et où il aurait dû vivre dans un pays frère ?
Et pas honte a ces pays musulmans richissimes, comme le Qatar et tant d'autres, qui dépensent des sommes pharamineuses dans l'achat de clubs de foot ou d'immeubles de luxe chez nous ?
C'est le grand hallalli compassionnel de la caste au pouvoir. Sus à l'Europe blessée à mort aux cris de "Taïaut, taïaut ! Venez, venez, pauvres migrants ! Allez-y ! foncez ! La bête est moribonde, bientôt elle sera à vous... pour nous."
Utilisateur anonyme
03 septembre 2015, 16:51   Re : De l'obscénité des procédés remplacistes.
venez, pauvres migrants ! Allez-y ! foncez ! La bête est moribonde, bientôt elle sera à vous...

Bientôt nous n'aurons plus de maison, nous n'aurons plus de ville, plus de patrie, plus de race. Mieux encore : nous n'aurons plus de contemporains. - Mais venez ! Venez tous !
Et à cette situation exceptionnelle qu'est la submersion migratoire en cours les collabo-délateurs-de-souche ne manqueront pas, relevant la tête comme l'herbe après la pluie.
Ce soir le grand veneur était Apathie. Si ses coups de gueule furieux contre notre égoïsme ne précipitent pas sur une Europe pantelante cinq mille migrants de plus, c'est à désespérer de la vénerie moralisatrice.
Utilisateur anonyme
03 septembre 2015, 23:07   Re : De l'obscénité des procédés remplacistes.
Ce soir, sur BFM TV : "débat" sur les "migrants" entre la porte parole du PS et Franz O. Gisbert... Je zappe sur ITélé : Dominique Wolton qui s'exprime lui aussi sur les " migrants"... Même son de cloche. Pas un contradicteur en vue. L'impression que tout est joué, qu'on est foutu, qu'ils sont trop forts, qu'ils sont partout, et que cette fois, on ne s'en relèvera pas.
Il y a certainement dans la vie des peuples et des civilisations un point où les résistances cessent, car le modèle de "rechange", ou de "remplacement", apparaît comme une chose naturelle, déjà familière. Celui-ci a, en quelque sorte, saturé la civilisation réceptrice, à l'instar d'une pluie persistante qui détrempe le sol. Nous y sommes.
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