Communiqué n° 1869, mercredi 16 septembre 2015
Sur un entraînement militaire des migrants et clandestins
Le parti de l’In-nocence et le NON observent que la situation globale, celle du Proche-Prient et celle du déferlement migratoire vers l’Europe, qui sont en partie liées, paraît prendre, avec l’annonce d’une intervention française en Syrie, et malgré l’état de délabrement de notre armée, un tour militaire. Si telle est bien en effet la plus probable évolution, et si les migrants et clandestins sont pour une grande part des “réfugiés”, comme on veut nous le faire croire, que ne met-on les hommes de dix-huit à quarante-cinq ans, parmi eux, à peine ont-ils franchi clandestinement les frontières de l’Europe, dans des camps militaires très proches de ces frontières, où leur serait prodiguée une formation pour qu’ils retournent combattre le plus vite possible, dans leur pays, les régimes qui les oppressent, leurs ennemis, ceux de la France et ceux de l’Europe ? Ils sont en telle quantité que, combattants et soldats, ils ne manqueraient pas, avec l’aide des forces européennes, de rétablir ou d’établir rapidement, là où ils se battraient, la liberté et l’État de droit. Que si maintenant la liberté et l’État de droit ne sont pas leurs objectifs, si leurs ennemis ne sont pas les mêmes que les nôtres, si même leurs ennemis c’est nous, il ne faut pas les laisser entrer du tout. L’alternative à leur soumettre serait donc celle-ci : camps militaires de formation afin d’aller combattre pour la liberté et le droit, accès militairement et strictement interdit (ou expulsion immédiate).
