Communiqué n° 1896 : Sur la messe de Noël sous protection musulmane

Communiqué n° 1896, lundi 28 décembre 2015
Sur la messe de Noël sous protection musulmane

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple & de Civilisation) ne sauraient trop attirer l’attention sur l’épisode accablant de la messe de Noël célébrée à Lens sous la protection d’une brigade de volontaires musulmans. Il y a dans cette scène tous les éléments symboliques propres à en faire l’emblème d’une époque et d’une situation, en l’occurrence celles d’un peuple et d’une civilisation gorgés d’humiliation et de veulerie, tombés si bas qu’ils en sont réduits, sur leur propre territoire ancestral, à accepter, selon la structure mafieuse bien connue, la protection de conquérants contre d’autres, ou les mêmes. On se dit qu’il n’est pas possible de pousser plus loin l’abaissement, mais il semble bien que ce le soit, puisqu’il faut encore assister, non seulement aux remerciements béats des fidèles et du clergé local à leurs “protecteurs”, mais à l’expression de la gratitude, aux mêmes, du ministre de l’Intérieur en personne, qui les félicite de faire son travail à sa place, en somme, et donne leur geste en exemple. C’est l’entrée officielle en dhimmitude, avec la bénédiction d’un pouvoir remplaciste, collaborateur et traître.

Il est tout de même assez piquant de voir un ministre de l'Intérieur, à quelques heures d'intervalle, bénir les milices privées quand elles sont musulmanes et les vouer aux gémonies lorsqu'elles deviennent corses.

Autrement dit le dhimmi doit s'abandonner à la ''protection'' des musulmans, en échange de quoi il doit leur verser un impôt spécial, sorte de racket légal, et se soumettre à eux.C'est donc un véritable contrat mafieux. De plus, cela signifie, en pratique, que tout musulman a le droit de pratiquer la justice expéditive contre un dhimmi simplement soupçonné -la rumeur, dans pareil cas, valant toujours preuve- de contrevenir aux innombrables règles plus humiliantes les unes que les autres que lui impose ce ''contrat''. En résumé, en faire baver le plus possible à l'infidèle est le principe de la dhimmitude et le devoir de tout bon musulman. C'est la raison pour laquelle la délinquance à son encontre ne lui paraît pas répréhensible. Le mot ''soumis'' d'ailleurs est faible par rapport au terme arabe que certaines traductions plus fidèles expriment par ''humiliés''. Les infidèles qui n'acceptent pas le statut de dhimmitude, appliqués aux seuls gens dits ''du Livre'', n'ont d'alternative, comme les polythéistes, qu'entre la conversion ou la mort.

Il semblerait à lire les sondages et les réactions des lecteurs sur la plupart des journaux, y compris gauchistes, que les Français, sidérés, découvrent enfin, un peu tard,hélas, le vrai visage de l'islam. S'impatientant comme le cheval qui sent l'écurie proche, il prend, en effet, de moins en moins de précautions pour leurrer son monde et n'est pas loin de tomber définitivement le masque. Il faut dire que le soutien aberrant qu'il reçoit de toute la caste politico-médiatique, soutien qui va se renforçant à chaque agression, à chaque attentat, à chaque atrocité dirigé contre des non musulmans (même si les assassins ne font pas de détail en éliminant au passage des correligionnaires) ne peut que lui donner des ailes. Peut-être trop ? L'écart entre son autovictimisation incessante et les horreurs qui se commettent en son nom, sans compter la délinquance ''ordinaire'', est désormais si grand qu'il en devient carrément obscène et le quasi silence dont la communauté des croyants entoure ces horreurs quand elle ne les justifie pas, est devenu assourdissant. En outre les mensonges sur le Coran ne passent plus : contrairement à nos ''élites'' les Français sont de plus en plus nombreux à l'avoir lu et ne gobent plus l'idée de son soi disant message de pacifique et encore moins, le culot avec lequel ces mensonges leur sont encore assénés. Peut-être qu'à croire un peu trop tôt que c'est désormais ''dans la poche'', l'islam commet ses premières imprudences, fait les premiers faux pas qui pourraient changer la donne ? A la veille de cette nouvelle année, on peut se permettre de rêver...

Une des prouesses de cet écrivain définitivement visionnaire (prophétique ?) à l' instar de Kafka et Spengler, Michel Houellebecq , est d' avoir écrit ce roman "Soumission".
Tour de force incroyable, le titre, pour peu que l'on connaisse sa signification, ou plus exactement sa traduction, résume à lui seul la quintessence de cette oeuvre, à découvrir, si cela n'est déja fait, de toute urgence.
Bonnes fêtes à vous .

Oui mais ne nous plaignons pas... Pour l'instant ils nous "protègent", quand d'autres n'ont même plus ce "privilège" : pour eux c'est soumission et humiliation.

Ainsi on apprend qu'au Pakistan la municipalité d’Islamabad a coupé l’eau aux chrétiens ; les habitants du quartier chrétien de la capitale pakistanaise ont donc passé Noël sans eau... Raison invoquée : le gouvernement a coupé l’eau pour lutter contre ce qu’il appelle des "habitations illégales'' .

Citation
Bruno Féral
Une des prouesses de cet écrivain définitivement visionnaire (prophétique ?) à l' instar de Kafka et Spengler, Michel Houellebecq , est d' avoir écrit ce roman "Soumission".
Tour de force incroyable, le titre, pour peu que l'on connaisse sa signification, ou plus exactement sa traduction, résume à lui seul la quintessence de cette oeuvre, à découvrir, si cela n'est déja fait, de toute urgence.
Bonnes fêtes à vous .

Houellebecq a effectivement dû être sidéré en découvrant cet hallucinant épisode parfaitement analysé dans ce communiqué qui prolonge aussi les remarques définitives de Cassandre. Les In-nocents auront peut-être eu vent de ce qui s'est joué récemment dans le Nord de l'Angleterre, en proie à de terribles inondations: des musulmans auraient porté secours à de non-musulmans, ils les auraient protégés tandis que, s'écrient des centaines de pages Facebook, les autorités britanniques abandonnaient les victimes à leur sort. Steven sauvé des eaux par Mohamed...

L'islamophilie ambiante, faisant confiner son délire, nous dit à présent: Mais que deviendrions-nous sans eux?!