"On ne peut pas prendre en otage tous ceux qui travaillent et tous ceux qui ont besoin de
s'alimenter en essence" a déclaré Alain Juppé.
On entend des microtroittoirisés répéter qu'ils sont "pris en otage" parce qu'ils ne peuvent pas satisfaire à l'impératif de devoir, pour subsister, passer des milliers d'heures de leur vie et de longues années durant dans des "ralentissements" automobiles quotidiens qui, cette fois, ne leur donnent pas la sensation d'être "pris en otages".