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Un symbole ? Non, un signe

Envoyé par Francis Marche 
L'enfant de 3 ans dont les parents policiers ont été sauvagement assassinés à coups de couteau à leur domicile le 13 juin par le nazislamiste Larossi Abballa a été hospitalisé à l'hôpital Necker à Paris. L'hôpital Necker, dit "Hôpital des enfants malades", le lendemain 14 juin a été attaqué par des nervis d'extrême-gauche, protégés par le pouvoir et ses amis chavistes. Des fenêtres ont été brisées à coups de masse, dans des scènes d'une sauvagerie indescriptible.

Cette coïncidence n'est pas symbolique mais signifiante : en l'espace de deux journées l'enfant aura été deux fois la cible de violences émanant de deux camps complices, aux visées politiques conjointes et convergentes.

S'il en réchappe un jour et recouvre un équilibre psychologique (il a été déclaré pour l'heure "en état de choc") sinon la mémoire de cette conjonction d'événements, l'adulte qu'il deviendra pourra témoigner du sens à lui donner.

[fr.news.yahoo.com]
Cette concordance est proprement fascinante. Le fait également que les deux parties est élues comme cible à abattre des policiers: Antifas et EI reçoivent ainsi les mêmes consignes de leur commandement respectif.
Antifas et EI reçoivent ainsi les mêmes consignes de leur commandement respectif.

Cas remarquable d'alliés objectifs sinon de connivence effective.

Voyez mon petit essai de prospective sur la future guerre civile, dans un fil voisin :

1er élément contingent (A) l'islam politique, se joignant comme il le fait déjà un peu (les nazislamistes et les Rouges entretenant de fortes affinités réciproques) aux nervis de l'Empire Mol que sont les Antifas et autres militants No Borders et aux ardents petits soldats du vivrensemble, prend fait et cause pour l'Empire Mol contre les nationaux poutinesques; il le fait par opportunisme et calcul politique -- l'Empire Mol devant logiquement gagner cette guerre civile, des postes et porte-feuille de ministre seront à prendre une fois l'ordre de l'Empire Mol établi, ce qui avait fait le raisonnement des Communistes français à l'approche de la fin de la deuxième guerre mondiale --, autant que par aversion anti-Poutine.

[www.in-nocence.org]

Les djihadistes et ces nervis rouges ont en commun de vouloir la guerre civile en France. Leur alliance coule de source.
Remarquable observation cher Francis.
Citation
Francis Marche
Antifas et EI reçoivent ainsi les mêmes consignes de leur commandement respectif.

Cas remarquable d'alliés objectifs sinon de connivence effective.

Voyez mon petit essai de prospective sur la future guerre civile, dans un fil voisin :

1er élément contingent (A) l'islam politique, se joignant comme il le fait déjà un peu (les nazislamistes et les Rouges entretenant de fortes affinités réciproques) aux nervis de l'Empire Mol que sont les Antifas et autres militants No Borders et aux ardents petits soldats du vivrensemble, prend fait et cause pour l'Empire Mol contre les nationaux poutinesques; il le fait par opportunisme et calcul politique -- l'Empire Mol devant logiquement gagner cette guerre civile, des postes et porte-feuille de ministre seront à prendre une fois l'ordre de l'Empire Mol établi, ce qui avait fait le raisonnement des Communistes français à l'approche de la fin de la deuxième guerre mondiale --, autant que par aversion anti-Poutine.

[www.in-nocence.org]

Les djihadistes et ces nervis rouges ont en commun de vouloir la guerre civile en France. Leur alliance coule de source.

Je l'avais, bien entendu, ajouté à mon dossier "F. Marche".
Utilisateur anonyme
15 juin 2016, 16:59   Re : Un symbole ? Non, un signe
Comment l'islamisme s'installe en France
Par Ivan RIOUFOL(15/06/2016) :

L’enfant (trois ans et demi) aura assisté, lundi soir dans la maison de ses parents à Magnanville (Yvelines), à l’égorgement de sa mère par l’islamiste Larossi Abballa. Le terroriste venait quelques instants plus tôt, au nom d’Allah et des consignes de l’Etat islamique, de poignarder mortellement son père, officier de police, à l’extérieur du pavillon. La petite victime a été immédiatement conduite, en "état de sidération", à l’hôpital parisien Necker-Enfants malades. Mais l’ultime refuge a été à son tour pris d’assaut et vandalisé à l’extérieur, mardi, par les désormais traditionnels groupuscules d’extrême gauche issus de la manifestation anti-loi travail, organisée par l’intersyndicale CGT, FSU,FO, Solidaires, Unef, Unl, Fidl. "Tuez les policiers", enjoignent les soldats de l’islam radical. "Tout le monde déteste la police", reprenaient encore, hier en dépit du drame de la veille, la foule radicalisée et haineuse. Depuis des semaines, ces actions violentes attirent les fascistes d’extrême gauche. Ceux-là ressemblent de plus en plus aux fascistes islamistes, avec qui ils partagent la même détestation de l’Occident et de la société capitaliste. Cette convergence d’intérêts des islamo-gauchistes, que refusent de voir ceux qui font profession de garder les yeux clos, est une donnée politique qui vient en appui de l’islam révolutionnaire et de sa stratégie de rupture avec la société. Nombreux sont déjà les noyautages islamistes à la CGT, à la RATP, à la SNCF, à Air France, dans la grande distribution, dans les prisons et ailleurs. Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider ont été les victimes d’une lecture terrifiante du Coran pris à la lettre. Mais l’offensive islamiste à des soutiens, plus ou moins tacites, qui la rendent plus dangereuse encore.


Il serait faux de croire ces tueurs isolés dans leur communauté. En réalité la cause islamiste, avalisée idéologiquement par une partie de l’extrême gauche factieuse, pénètre aussi dans les cités d’immigration et singulièrement dans les rangs d’une jeunesse qui rejette de plus en plus la société démocratique occidentale. Ce mercredi, dans Le Figaro, Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat de police Synergie-officiers confirme, parlant du djihadisme français : "Aucun endroit n’est épargné, le phénomène de communautarisation et d’insularité de tout un tas de quartiers s’observe partout avec l’infiltration et l’invasion dans le tissu scolaire, associatif et sportif. C’est une lame de fond de société". Dans un communiqué daté de mardi, André Gerin, député (PC) et maire honoraire de Vénissieux (Auvergne-Rhône-Alpes), alerte : "La France est gangrenée par l’islamisme (…) Force est de constater qu’une partie des musulmans s’est radicalisée". Il explique : "Les plus hautes autorités savent à quel point la situation est grave. Elles ne peuvent plus minimiser leurs propos beaucoup trop prudents. Car le phénomène islamiste ne cesse de croitre. Il constitue un danger majeur qui guette notre société. Il renferme même les germes de guerre civile." La pire des solutions pour éviter "La guerre civile qui vient" (voir mon livre) serait de persister à sous-évaluer l’ennemi, ses collaborateurs et ses idiots utiles, au prétexte de ne pas "stigmatiser" les musulmans. Persister à procéder de la sorte serait faire injure à tous ceux qui ont rejoint la France pour adopter ses valeurs démocratiques. Ceux-là doivent monter en ligne pour combattre, avec nous tous, le totalitarisme islamo-gauchiste.

Le terme « nervi » se signale par de belles résurrections. Il refleurit sous la pluie à la vue des casseurs d’un hôpital. C’est un terme qui vient tout naturellement à l’esprit à la vue de ces actes. Mais si on choisit de l'employer, il ne faut pas oublier une des caractéristiques du personnage : le nervi n’agit pas bénévolement. Il travaille pour quelqu’un et il est dur à la tâche.

Dire que c’est un « nervi rouge » n’est qu’un choix personnel. D’une autre humeur, on pourrait décréter qu’il s’agit de nervis du pouvoir, chargés de discréditer les opposants à la loi travail. Et pourquoi pas des nervis des deux espèces ? Pas plus que leurs traits, leur accoutrement vestimentaire ne permet de les identifier. Quant aux éléments biographiques, ils ne font pas la une.Les vagues d’interpellations qui ont eu lieu n’ont pas, jusque ici, inspirés de zèle biographique afin de dresser le portrait circonstancié de beaucoup de casseurs, comme si cet art de la biographie journalistique n’était réservé qu’aux tueurs ou à leurs victimes. Tout cela rend le « nervi » assez difficile à cerner.

Des "nervis d'extrême-gauche, protégés par le pouvoir et ses amis chavistes" est une hypothèse qui suppose, ou bien que le-dit pouvoir, en secret, ne veut pas de cette loi travail qu'il s'obstine pourtant à faire adopter, ou bien qu'il manipule les groupes de casseurs en le protégeant, afin de nuire au mouvement. C'est un peu alambiqué.

Une chose est sûre : cette loi du travail doit passer. C’est un impératif européen ou plutôt, si j’ai bien compris, un édit impérial qui enjoint à la France d’avoir à s’aligner sur l’organisation du travail selon l’Empire Mol. De là, il n’y aurait qu’un pas à franchir pour affirmer que la CGT lutte contre l’Empire en luttant contre la loi du travail...

(Accessoirement, je n’ai pas été insensible à des bribes d’images (que je serais bien en peine de retrouver), qui montraient un rang de manifestants, entonnant avec force la Marseillaise, face à un rang de CRS, figés à moins d’un mètre. Je ne sais pas ce qui a suivi.)
Je vous suis sur le fait que tout ça est "alambiqué". La guerre civile n'a pas encore pu être déclenchée parce que précisément, toutes ces forces sont trop contradictoirement imbriquées et "à front renversé". Si l'on dit que la situation n'est pas "mûre" pour que s'alignent les forces d'une confrontation qui se mue en conflagration, c'est sans doute à cause de ceci : ceux qui veulent cette guerre sont encore trop mélangés à ceux qui ne la souhaitent pas ou qui seraient de toute façon en opposition à eux, dans le camp adverse, si d'aventure ils parvenaient à leurs fins.

La guerre civile en France, pour l'heure, se cherche.

Les forces populaires (CGT comprise) sont alignées face à l'Empire Mol et ses représentants en France, voilà qui est sûr, mais elles tolèrent en tête de leur cortège des "casseurs" -- le terme de "nervi" étant porteur d'un sens trop déterminé, j'en conviens -- qui, eux, sont alignés sur les constantes idéologiques de l'Empire Mol, dont le premier délégué en France, M. Hollande, annonça dans sa campagne de Gouverneur Général de l'Empire Mol en Gaule, relayé par son singe le Vice-Gouverneur Valls, dans l'été 2013, qu'il fallait 100000 naturalisations par an à la province de l'Empire Mol qu'il est sensé diriger. La politique d'abolition des frontières nationales chère aux No Border et autres alterschtroumpfs (Black Block et que sais-je que l'on voit casser du flic et des bâtiments publics ces jours-ci) est la doctrine pilier, avec le métissage monoracial, de l'Empire Mol.

Hier, le maire de Londres, le musulman Sadiq, s'est ému publiquement (sur Twitter) de la perspective que le Royaume-Uni, ancien empire démantelé par l'éveil des nations dans la phase d'essor patriotique des peuples et d'éclosion de nations nouvelles que l'historiographie vingtiémiste a choisi de nommer "décolonisation", phase intervenue dans le sillage des événements de 1945, le Royaume-Uni qui fut mis en péril de dislocation (indépendance de l'Ecosse) par la force d'attraction de l'Empire Mol, s'émeut publiquement, dis-je, que celui-ci puisse, la semaine prochaine, quitter l'Empire Mol et lui tourner le dos.

Les musulmans établis en Europe, quels qu'ils soient, éprouvent incontestablement de l'affection pour l'Empire Mol, sans doute parce qu'il est faible et fort mol envers eux et qu'il se montre favorable à leur installation. Expression d'affection dont ils ne sont jamais avares et à laquelle l'Empire Mol, incontestablement, n'est pas insensible.

Il n'est aucunement exclus que l'Empire Mol, quand la situation le réclamera, cherche son salut auprès des musulmans d'Europe, musulmans "modérés" il va de soi, avec toutes les implications que cela comporte, ce que ni l'Amérique de Trump, ni l'Empire Poutinesque, ne verront d'un bon oeil. Le péril absolu, la fin certaine de l'Empire Mol gît dans pareille tentation d'alliance : il trouverait alors contre lui tout à la fois les forces populaires du peuple historique de Gaule, les Trumpistes et l'Empire Poutinesque, sans compter la division de ses forces internes (les pays d'Europe de l'Est feraient aussitôt sécession).

La voie qui s'offre à l'Empire Mol pour devenir Empire Dur, le recours qui serait le sien pour substituer à son statut d'Union celui d'Etats-Unis d'Europe à l'issue d'une guerre civile héroïque-épique telle celle qu'a connue l'Amérique du Nord dans les années 1860, serait de faire corps avec l'Empire Trumpinesque contre les patriotes (confédérés et sécessionnistes) soutenus par l'Empire Poutinesque ; dans ce choix, le soutien de l'Europe de l'Est lui serait acquis. Mais alors, il aurait en Gaule à faire face à une flambée de djihadisme (anti-trumpinesque) d'ampleur comparable à celle dont on est témoin en Syrie (et désormais aussi en Libye) depuis 2014 et qui ferait feu de tout bois, en déclarant des hostilités contre toutes les parties comme le fait aujourd'hui l'Etat Islamique au Proche-orient (et comme le firent les maoïstes en Chine dans les années 30-40, ou les nations huronnes et iroquoises faisant opportunistiquement varier leurs alliances entre Angleterre et France dans la Guerre de Sept ans en Amérique). Bref, l'Empire Mol en route pour devenir Empire Dur aurait à gagner ses guerres indiennes (contre l'islamisme) en sus de devoir mater les Etats sécessionnistes ; dans cette matrice historiale, l'Empire Poutinesque et l'Empire Trumpinesque (avec lequel l'Empire Mol scellerait alliance) tiendraient les rôles respectifs de l'Empire britannique et de l'Empire français dans l'Amérique du 18e siècle (Guerre de Sept ans et Guerre d'Indépendance), ces rôles ayant permuté dans celle du 19e siècle (Guerre de Sécession durant laquelle la France impériale de Napoléon III, officiellement neutre, était de coeur avec les Confédérés contre l'Empire Dur d'Amérique en voie d'acquisition de sa Dureté). Au travers de pareille guerre civile en France (et en Belgique), l'Empire Mol devrait donc vaincre deux fois et mener de front guerres indiennes (contre les forces du Djihad) et guerre de sécession, voire en sus, si les troupes poutinesques et trumpistes ont pris pied sur le continent, guerre de libération. C'est beaucoup. C'est pourtant le précédent historique que nous offre la Chine de Tchiang-kaï-check (qui avait été aidée par les Etats-Unis comme le serait l'Empire Mol dans pareil cas de figure), qui avait gagné toutes ses batailles avant de finir épuisée et donc vaincue en 1949 par les troupes de sauvages emmenées par Mao-tsé-toung et soutenues par Staline, et qui constituaient pour Tchiang-kaï-tchek une sorte de Daesh communiste. De Tchiang est restée cette citation célèbre : si, pour la Chine, le Japon est une maladie de peau, le Communisme lui est une maladie cardiaque.

Les guerres civiles contemporaines (cas de la Syrie) sont atrocement plus "alambiquées" que ne pouvait l'être en Europe la Guerre d'Espagne dans les années 30 du siècle dernier quand les rivalités impériales sur le continent européen ne comptaient pour protagonistes que deux camps déclarés ennemis (Reich hitlérien et Empire Staliniste).

La guerre civile en Syrie (et en Irak), si j'en crois les spécialistes, compte six à huit protagonistes dans un dispositif d'alliances en gigogne impliquant les forces locales appuyées par des puissances régionales, elles-mêmes clientes de puissances impériales dont l'Empire Mol, l'Empire Trumpinesque et l'Empire Poutinesque, et autant d'alliances passagères et opportunistiquement scellées, et de projets politiques concurrents. Une configuration complexe de cet ordre-là se retrouverait vraisemblalement en Gaule dans l'Empire Mol ensanglanté par le djihadisme et en belligérance dans un ou plusieurs Etat-nations où la société civile serait entrée en sédition par l'action de ferments "populistes".

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