Chichi ariki

Je me permets, selon une belle tradition lombartique, de signaler un film d'Ozu, ce soir sur Arte.

Nous allons voir...

Merci ! Quelle soirée ! Si l'on prend l'écoute une petite heure avant le film d'Ozu, l'on pourra voir celui dont je parlais, sur l'assassin de Gandhi.

J'ai lu le livre de Koenraad Elst, « Pourquoi j’ai tué Gandhi », examen et critique de la défense de Nathuram Godse (Les Belles Lettres, coll. La Voix de l’Inde, trad. Bernard Frumer, 2007), et je suis très curieux de voir ce que vaut le film...

Bon ! J'aurais mieux fait de me taire : le film ne valait pas tripette. Images vues vingt fois, pensées toutes faites, aucun détail significatif...

J'espère que vous ne parlez pas de "Il était un père..." Non, sans doute poursuivez-vous votre propre pensée, comme c'est notre pente à chacun... Mais votre titre est bien provocant. C'est ce qui s'appelle du détournement de fil...

Non, bien entendu, je faisais allusion au film dont j'avais parlé, moi, sur l'assassinat de Gandhi, et qui est passé juste avant celui d'Ozu. (Celui-là, je l'ai capté pour une vision ultérieure.) Les Indiens parlent de la musique "filmi", d'où mon pauvre jeu de mots en allitération...

Et puis, cher Président, voyez un peu : mon message est en retrait par rapport au mien précédent sur l'Inde, et non par rapport au vôtre qui annonçait le film d'Ozu, ce qui signifie que je répondais à mon propre message, comme suite, et non au vôtre... Héhé...