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Le baccalauréat aux pieds du ramadan.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 05:25   Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
Ça se soumet de tous côtés, on dirait.

[etudiant.lefigaro.fr]
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 07:32   Re : Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
Suis-je le seul à être choqué (tout en étant blasé) du fait qu'en France, les journalistes, pour éviter de dire ou répéter « islam » dans une phrase, disent ou écrivent « la religion » ?

Hormis cela, on pourrait aussi bien remplacer ce qui reste de ce pauvre baccalauréat, qui n'en peut mais, par un bon vieux concours de récitation de sourates, non ? (On imagine très bien Philippe Meirieux, les Cohn-Bendit brothers et tout l'IUFM bondir de joie à l'annonce d'une telle réforme.)
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 10:38   Re : Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
Oui, le "la" totalitaire qui occupe tout l'espace.
C'est comme l'affirmation "les musulmans sont les premières victimes..." destinée à vous fermer la bouche. Dorénavant, je demande alors systématiquement : "Et qui sont les deuxièmes, et les troisièmes...?"
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 11:07   Re : Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
Suis-je le seul à être choqué (tout en étant blasé) du fait qu'en France, les journalistes, pour éviter de dire ou répéter « islam » dans une phrase, disent ou écrivent « la religion » ?
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Non Afchine, mais ils s'en moquent, n'étant jamais tenus de nous rendre des comptes. Et la preuve que la caste politico-journalistique constitue une micro-société parallèle sans rapport avec la société réelle et uniquement vouée à la tâche de se reproduire, c'est que les scandales qui l'affectent sont sans conséquences pour elle.
Ainsi le monde médiatico-politique d'une part, la société réelle d'autre part, s'éloignent l'un de l'autre à une vitesse grand V, et finiront sans doute par crever chacun de leur côté.
C'est la bibine courate, devenue passablement chaude et plate : quand des musulmans tuent, les grenouilles de bénitier coassent « les religions tuent, les religions tuent », et, très logiquement, « Ça n'a rien à voir avec l'islam, ça n'a rien à voir avec l'islam », et aussi « Nous avons fait pire : l'Inquisition, les Croisades, tout ça, tout, ça ». Et comme cela arrive tous les jours, ça coasse sans interruption. C'est le bruit de fond, genre « Haré Krishna », rythmé par les explosions régulières des attentats, l'autre variétoche boum-boum de l'époque.
Je ne serais pas étonné que se mette en place, dans le monde du BTP (qui ferait office de laboratoire), une semaine en 4 jours du lundi au jeudi inclus.
Ainsi tout travail entrepris à titre exceptionnel le vendredi offrirait des compensations financières comme c'est le cas actuellement pour le samedi et le dimanche.
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 14:40   Re : Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
La question de la présence musulmane emmi la doulce France, terre des arts, des sciences et des lettres, n'a pas de réponse : elle déborde les possibilités du langage.

Le langage ne peut pas tout : il n'est que dérivé par rapport au fait primitif de toute culture : le meurtre collectif de la victime émissaire.
(Ah d'accord, je comprends mieux maintenant. On girardise par-ici, on néologise par-là, on trouve à redire dans tous les cas. Bref, on fait une entrée fracassante.)
Utilisateur anonyme
04 juillet 2016, 14:59   Re : Le baccalauréat aux pieds du ramadan.
Why not?
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