Journal 2015 "La tour" en édition papier

Je voudrais savoir si le journal 2015 de Renaud Camus "La tour" fera l'objet d'une édition papier (Lulu ou Blurb) car j'en suis à la page 199 de "Morcat" (retard 2010-2014 rattrapé en quelques semaines) et que logiquement, l'ouvrage aurait dû sortir en février 2016.

Il ne me semble guère bienséant, ni très juste, de se montrer impatient de la publication sur papier des ouvrages de quelqu'un qui en est réduit à l'auto-édition et pour qui, au surplus, cette forme est beaucoup moins avantageuse que la publication en ligne.

Cela dit, je crois savoir que la chose va se faire.

Pour moi, un livre, c'est déjà le plaisir de l'avoir entre les mains, de pouvoir revenir quelques pages en arrière, relire un passage.
Mais afin de prouver mon profond attachement à Renaud Camus, j'achèterai aussi la version webmatique, tant 2015 qu'évidemment 2016 car je ne pourrai pas tenir jusqu'à la fin de l'année.

Parfait.
Découvrir les entrées chaque jour, au fur et à mesure de leur écriture et avoir le livre entre les mains, ce sont deux plaisirs différents.

Cela me fait tout drôle de joindre ma voix à celle de M. Sansano, mais j'avoue que, moi aussi, je me languis un peu de ce journal 2015 “papier”…

Il ne faut pas que Renaud Camus s'oblige à mettre une entrée par jour du fait qu'elle est payante. J'ai tous ses journaux depuis "Outrepas" et il lui arrivait parfois de négliger le journal plusieurs jours. Se faire désirer fait aussi partie du plaisir de lire l'écrivain.

"Non" et "Morcat" que j'ai achetés en version papier sont pour moi beaucoup trop longs, l'auteur y fait des répétitions que le regretté Claude Durand aurait pas toléré.

Je suis parfaitement d'accord avec Marcel Meyer, découvrir le livre en ligne et l'avoir entre les mains sont deux plaisirs différents. D'ailleurs, contrairement à une idée mienne reçue, la lecture en ligne est moins fatigante pour les yeux que la lecture du journal sur papier, il faut dire que "Non" et "Morcat" sont mal mis en page, du moins dans l'édition que j'ai choisie, Lulu, j'aurais sans doute dû choisir, ce que je ferai à l'avenir, les éditions Blurb en deux volumes.

Didier Goux, ce n'est plus la peine de vous adresser à moi ou d'y faire allusion, vous êtes le responsable (dixit Renaud Camus) de la folie de cet Asensio, qui tourmente tant notre auteur tant aimé. Une chose que je ne vous pardonnerai jamais.

Ah, Sansano, nouveau membre sensationnel de ce club idiot de lecteurs qui ne peuvent décidément pas s'empêcher d'exprimer ce que Renaud Camus devrait, selon eux, faire ou ne pas faire, écrire ou ne pas écrire, penser ou ne pas penser. A ces gens qui voudraient que l'écrivain et son œuvre soient une marchandise bien conforme à leur petit caprice de lecteur-consommateur, qui ne supportent pas que Renaud Camus soit Renaud Camus, et qui voudraient que Renaud Camus arrête de faire le genre de choses que Renaud Camus fait, on a toujours envie d'envoyer des petits Renaud Camus en pâte à modeler, pour qu'ils puissent, pareils à des petites filles jouant à la poupée, lui faire dire, écrire, faire et penser tout ce qu'ils jugent bon.

(Mais de grâce, qu'ils s'abstiennent de prendre ce forum pour un service après-vente.)

Ce dont le forum de l'In-nocence ne semble pas se rendre compte (ou vouloir admettre), c'est le nombre de fois où Renaud Camus déclare qu'il ne peut y faire passer ses communiqués, s'y sent trahi, écrit même ne plus vouloir y intervenir, marque sa déception du manque de combativité de ses membres (et se sent seul). Il en a même (un temps bref) démissionné.

Arrêtez de vouloir donner des leçons aux autres quand le créateur du parti au fil de ses journaux (que je lis attentivement et deux fois plutôt q'une) le critique, à juste titre, régulièrement.

« Il ne faut pas que Renaud Camus s'oblige à mettre une entrée par jour »
« Arrêtez de vouloir donner des leçons aux autres » (Sansano)
Voyez la cohérence...

« sont pour moi beaucoup trop longs » (id.)
C'est votre problème, on s'en fiche.

« Renaud Camus déclare qu'il ne peut y faire passer ses communiqués » (id.)
L'immense majorité des communiqués sont de Renaud Camus ; l'immense majorité de ces communiqués sont approuvés à l'unanimité.