Pour Saïd Bouamama, socio-économiste (~
pataphysicien), notre société réunit progressivement les conditions d'un pogrome.
Moi qui suis pogromiste à mes heures, j'ai très envie de lui répondre à ce socio-turc, qu'en débarquant d'Alger, il n'avait qu'à pas se croire aux Barbaresques.
Comme quoi, on se se refait pas:
Première guerre des Barbareques (
1805):
La première action militaire d'outre-mer des
États-Unis, exécutée par les US Marines et la United States Navy, a lieu sur la côte des Barbaresques, avec la prise d'assaut de Derna et de Tripoli, en 1805. Cette action militaire visait à renforcer des efforts diplomatiques pour assurer la liberté de leurs ressortissants prisonniers et pour mettre fin à la piraterie des Barbaresques.
Seconde guerre des Barbaresques(
1815)
La Seconde guerre barbaresque met fin à la pratique pour les
Américains de payer des rançons aux États pirates, et marque les prémices de la fin de la piraterie en Méditerranée occidentale et de la traite des esclaves de Barbarie. Durant des décennies, les puissances européennes construisent des bateaux toujours plus sophistiqués face auxquels les États barbaresques ne peuvent lutter.
Traite des esclaves de Barbarie.
La traite des esclaves de Barbarie est le commerce des blancs qui a fleuri principalement entre les XVIe et XIXe siècles dans les marchés d’esclaves d’Afrique du Nord sur la côte des Barbaresques.
Les marchés d’esclaves maghrébins faisaient le commerce d’esclaves européens que les pirates barbaresques leur avaient procurés dans des razzias d’esclaves sur les navires et par des raids sur les villes côtières d’Italie, d’Espagne, de Portugal, de France, d’Angleterre, d'Irlande, des Pays-Bas et jusqu’à l’Islande.