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Passage à Nantes.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 13:38   Passage à Nantes.
Nantes est devenue depuis 2 ou 3 ans, avec une accélération depuis 2015, une extension de l'Afrique, et pas le meilleur de l'Afrique évidemment : saleté, violence, destruction des biens publics et privés, barbus ultra visibles, souvent agressifs, qui vous toisent de leur mepris moqueur. Tous les Nantais sauf encore quelques indécrottables bobos font le même constat : c'est une catastrophe, la ville est triste, crasseuse, méconnaissable, cernée par la racaille diversitaire, gangrenée par le communautarisme.
Cette ville est une poudrière, une honte, à l'image de ce foutu pays.
18 juillet 2016, 13:45   Re : Passage à Nantes.
Ça se termine où, Nantes ? Parce que par ici, c'est pareil.
 
18 juillet 2016, 14:45   Re : Passage à Nantes.
Il y a quelques mois de cela, lors d'un séjour à Manosque, la ville de Giono, je m'étais dit en passant devant un salon de coiffure pour Africaines: il y a 20 ans, l'Ivoirienne à la tête de ce petit commerce aurait tout naturellement ouvert un salon de coiffure normal, je veux dire, pour Françaises. C'est ainsi qu'elle se serait assimilée. J'ai discuté de cette question de l'assimilation avec un chef cuisinier, une dame d'origine algérienne, qui est arrivée en Provence dans les années 60: son rêve n'était pas de servir de la chorba et du couscous à des tiers-mondistes écervelés ou à des moricauds, mais des plats traditionnels de la région, dont elle avait appris les recettes dans un livre offert par sa mère. Aujourd'hui, les Africains n'émigrent pas, ils rejoignent des communautés de pairs dans des pays qu'ils contre-colonisent plus ou moins consciemment.
18 juillet 2016, 15:08   Re : Passage à Nantes.
C'est à mon sens la définition même de la colonisation : continuer sur le sol d'un autre pays la vie de son pays de départ. C'est tout. Les Anglais établis à Minorque ou, pour certains, dans le Dordogneshire font exactement cela. Vous pénétrez dans n'importe quel foyer britannique sur l'île de Minorque et vous avez Sky News et la BBC diffusés en continu sur tous les appareils de la maison. L'épouse joue au Bingo dans le bistrot du coin en semaine, toute la famille au Trivial Pursuit le samedi soir et personne, pas même les enfants, ne s'abaisse à parler un mot d'espagnol ou de catalan.

La différence entre ces Anglais et les Moricauds de Manosque ou de Nantes, est qu'ils ne se mettent JAMAIS en tête de convertir les natifs à leur mode de vie ou leurs croyances, ni à les leur imposer.

Le terme de colonisation dans le cas de Manosque est parfaitement justifié, comme pour celui des Anglais de Minorque, mais il faudrait y ajouter, pour Manosque, Nantes ou Brie-Comte Robert, celui de soumission des locaux, ravis de s'abandonner à l'ordre exogène du colon dominateur et, à l'occasion, massacreur. Ravis de bouffer du couscous et de fêter la fin du Ramadan dans la joie d'un vivrensemble que le colon et ses agents gouvernementaux leur forcent à aimer.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 15:53   Re : Passage à Nantes.
Francis,

Je me suis permis d'inscrire votre excellente définition de la colonisation sur le fil "Anthologie. Demande de participation".
18 juillet 2016, 16:10   Re : Passage à Nantes.
D'anthologie, aussi, les sorties lyriques de Mélenchon et Taubira sur le massacre de Nice. Ca fait peur, très peur, au sens où des pathologies mentales font peur. Je crois que ce bougre de Lacan parle quelque part des martyrs de la parole. Ben voilà, on y est:


JLM: "On aurait voulu que ce soit juste l’été et ses soirées dans la nuit douce. Juste un 14 juillet avec ses bals des pompiers et ses feux d’artifices, et aussi le bruit des choses simples. Et voilà le retour d’un de ces absurdes assassins, les cris et la mort. Maudit soit-il ! Alors on rentre en soi et laisse passer la vague d’émotion comme on a appris à le faire depuis qu’on a vécu toutes ces autres abominations. On lève les yeux sur le magasin des mots et on se demande lesquels choisir pour les offrir en pansement. Aider ceux qui autour de nous serrent les dents tandis que leur empathie leur fait vivre cent fois la trajectoire de ce camion comme s’ils le voyaient et que leur proche se soit trouvé dans sa trajectoire. Et quels mots encore pour ces pauvres gens qui à cette heure pleurent leur mort, pour ces blessés douloureux et sidérés. Vivons profondément ce partage de la souffrance. Car avec lui nous vérifions que nous sommes restés humains dans ce monde qui l’est souvent si peu. Et nous entretenons ce qui manquait au misérable lâche dans ce camion. Le sentiment que les autres sont nos semblables et que rien ne peut leur arriver sans que nous soyons concernés."

CB: "Vallée de larmes….
Nos cœurs portent leur deuil. Sous la mélancolie de ce qu’ils avaient de nous en eux et qu’ils ont emporté. Nous savions leur existence comme ils savaient la nôtre. Telle est notre commune intuition. Nous saurons un peu de leurs vies, ce qui nous sera offert, quand leurs proches commenceront à partager. Nous en saurons alors assez pour leur faire place durable dans nos mémoires. Ils continueront ainsi à être. Par-delà les cris et l’effroi, malgré ce désarroi sans cordages qui nous encorde, plus vibrants encore que cet émoi qui nous fend en dedans et nous laisse cois. Nous les tiendrons au chaud dans nos plis d’âme, bien que pour l’heure, nous soyons saisis de froid.
L’absence…
Une petite-fille vive, parfois rêveuse, qui ne reviendra pas à l’école. Sa meilleure amie qui n’en reviendra pas, comme ça fait mal au fond, là, dans cet endroit qui a plusieurs noms, cœur, poitrine, plexus, torse, poumon, et qui fait suffoquer, qui essouffle, épuise.
Un petit garçon qui ne retrouvera pas la crèche. La crèche ne le retrouve pas. Il y a ces photos, prises à Noël, à l’entrée, sur le panneau en bois. Même sans image, son sourire est là, ses gestes de désir. Il grandissait si vite.
Une adolescente délurée, déjà sûre de vouloir embrasser le monde, et qui manquera à son amoureux. Les premières amours ont cette saveur singulière et ineffable du défi mêlé de douceur. Un charme qui jamais nulle part ne sait se répéter.
Un adolescent dont la voix commençait à se rythmer et à se frotter à la rocaille, le menton s’assombrissant de quelques poils épars et fiers, ne dissimulera plus sa timidité derrière des airs de crooner taciturne.
Une maman qui ne rentrera plus, ces chants qui ne seront plus fredonnés, sous la douche, sur le balcon en arrosant des bégonias gourmands, en remuant la terre sous de récalcitrants asters de Tartarie, après une journée professionnelle pourtant harassante. Une femme, sentimentale et soucieuse, qui ne méditera plus en contemplant les stries des reines d’argent côtoyant de pulpeux aloès, les reflets des aeonium dont les pétales oblongs, offerts comme un soleil, font perler l’eau avant de la laisser rouler dans une chorégraphie de lenteur. Une femme aux reins usés par le labeur, qui n’avait rien perdu de sa joyeuse humeur, ne pestera plus contre sa fille aînée pour la mettre en garde : c’est toujours la trajectoire de la fille qui s’interrompt quand on veut se glisser trop tôt dans les lacets affriolants de la vie, souvent scélérate envers les pauvres. Une femme d’ardeur, qui a déjà dit son fait à la vie pour ses croche-pieds et ses chausse-trappe, et qui, tandis que le jour baisse pavillon, ne rira plus ne lira plus dans une berceuse pour se laver la tête des petitesses du boulot, du brouhaha des transports.
Un père, un amant, un homme qui sifflotait entre les lèvres ou dans la gorge rêvant de brillants chemins de vie pour ses fils, tout en réfléchissant à cette épargne qui préserve l’avenir, ne sonnera plus parce qu’il a oublié ses clés.
Ils ont des prénoms qui résonnent de toutes les contrées du monde, ramenant des senteurs, des sons, des clichés et des clichés, et engendrant un même chagrin, une même désolation qui rappellent que, par-delà terres et mers, les larmes sont sœurs.
Ainsi les pensons-nous, pour leur redonner vie, en attendant que ceux qui les connaissent nous les racontent. Try a little tenderness, la voix d’Aretha Franklin nous obsède.
L’aveuglement qui frappe avec une froideur de robot d’acier n’a jamais eu ni de raison ni raison. Quelles fêlures faut-il à l’esprit pour faire éclore cette démence démentielle, chez l’homo sapiens sapiens, homme qui pourtant sait qu’il sait. De quelles fureurs anciennes et nouvelles, familières ou inédites, matées ou rétives, gronde ce monde où l’hystérie nourrit l’hystérie!
Même de loin, mais si près de la souffrance, nous savons que notre seule offrande, celle qui nous sauve ensemble des étendues et profondeurs de la désespérance, ne peut venir que des signes de la vie qui vainc.
I’ve got dreams to remember (Otis Redding).
Pendant qu’un semeur de mort et d’affliction, exilé en méta-humanité, brisait tant de promesses et de sagesses, le dernier mot n’était pas dit.
Des enfants sont nés cette nuit-là. Je n’ai pas vérifié mais je sais. Car ainsi va la vie qui vainc. Ces bonheurs n’ont pas la vertu de verser une goutte de fraîcheur sur les cœurs en malheur.
Mais ils signent la défaite des semeurs de mort, qui qu’ils soient."
18 juillet 2016, 16:19   Re : Passage à Nantes.
Je viens de relire en me gondolant comme un vieux fou. Je me demande tout de même s'il ne s'agit pas d'un canular.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 16:21   Re : Passage à Nantes.
"Vallée de larmes...." de C. Taubira.

J'aime beaucoup les 4 points de suspension...
18 juillet 2016, 16:23   Re : Passage à Nantes.
Pascal, je vous en conjure, prenez le temps de lire l'intégralité de ces deux choses.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 16:28   Re : Passage à Nantes.
Mais c'est beaucoup trop puissant pour moi cher Pierre Jean. N'empêche que certains trouvent son texte particulièrement "poignant" :

[m.la1ere.francetvinfo.fr]
18 juillet 2016, 18:16   Re : Passage à Nantes.
Bien sur...

Le magasin des mots, les bégonias, la femme d'ardeur et le crooner taciturne -- je n'en sors pas, impossible!
18 juillet 2016, 18:25   Re : Passage à Nantes.
Tenez, à propos de Nantes, et du reste, une déclaration par vidéogramme du 16 juillet, d'esprit tout autre, qui récapitule la situation de la France et qui mériterait d'être diffusée. Ne serait-ce que par les positions qu'on y trouve exprimées, qui vont dans le sens d'une candidature du président du NON en 2017 :

[demeurelafrance.fr]
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 19:36   Re : Passage à Nantes.
Didier Bourjon... ? Didier Bourjon... ? N'était-ce pas l'homme-qui-se-prenait-pour-Renaud-Camus ? Tout ça est déjà si loin.
18 juillet 2016, 20:04   Re : Passage à Nantes.
L'oraison taubiresque, avec son petit côté nataliste et follement licencieux vers la fin : "le Grand Camion fauche mais les gens continuent de baiser, nananère", est vraiment un morceau de bravoure...
18 juillet 2016, 20:44   Re : Passage à Nantes.
Ce "kiki" conclusif est prodigieux!
18 juillet 2016, 23:30   Re : Passage à Nantes.
Citation

Didier Bourjon... ? Didier Bourjon... ? N'était-ce pas l'homme-qui-se-prenait-pour-Renaud-Camus ? Tout ça est déjà si loin.

Très, très petit. N'est pas Francis Marche qui veut.
Utilisateur anonyme
18 juillet 2016, 23:47   Re : Passage à Nantes.
Maintenant c'est le Véron qui se prend pour le Bourjon... Si c'est pas "l'enfer mimétique" girardien ça !? Hein ?
19 juillet 2016, 09:54   Re : Passage à Nantes.
Messieurs, calmez-vous svp, et faites la paix avec M'sieur Morin, dit le Pédagogue ! Dommage que le p'tit loup afghan qui vient d'attaquer à la hache les voyageurs allemands d'un train en Bavière n'ait pas lu cette profession de foi dès hier. Pour sûr, il ne serait pas passé à l'acte.
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 13:01   Re : Passage à Nantes.
Merci Msieur Morin ! Un zest de "connaissance de la connaissance" et une pincée d'"humanisme régénéré" et ça va déjà beaucoup mieux (l'enfer de la "spirale mimétique" c'est du passé...).
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 13:05   Re : Passage à Nantes.
Allemagne :

Renate Künast, députée, ancien ministre, l’une des figures du parti « Les Verts », regrette la mort … de l’agresseur à la hache.

« Comment se fait-il qu’on n’ait pas pu simplement neutraliser l’assaillant ???? », demande-t-elle sur Twitter
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 13:06   Re : Passage à Nantes.
Encore un qui n'a pas lu Edgard...

A l'instant :

Hautes-Alpes : un homme blesse à l'arme blanche une femme et ses trois filles dans un village de vacances.
19 juillet 2016, 13:17   Re : Passage à Nantes.
Coutelier et fleuriste, métiers d'avenir.
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 13:38   Re : Passage à Nantes.
Hautes-Alpes toujours : une petite précision : l'agresseur n'apprécierait pas "les tenues trop légères..."
19 juillet 2016, 13:46   Re : Passage à Nantes.
Edgar Morin est le boute-en-train de Tarik Ramadan.
Pour faire vite, bien et court, le plus simple est de parler des 'Morin-Ramadan', comme on dit, les 'Pinçon-Charlot'.
cui-cui.

Plus sérieusement, le concept élaboré par ce vieillard de la pensée universelle, est terre-patrie,
Aussi, immanquablement, sa pensée profonde a-t-elle dû le renvoyer à la formulation de Wittgenstein: "quand tout est patrie, il n'y a plus de patrie".

Alors, se dit-il, s'il n'y a plus de patrie et que la Nature a horreur du vide, par quoi puisse-je la remplacer ?
Et c'est-là qu'intervient une connaissance du Monde et autre Libération, Tarik Ramadan.
Tarik Ramadan:
- «Edgar, mon frère, je te le souffle dans l'oreille... Le substitue de la patrie, c'est l'oumma !».
19 juillet 2016, 13:47   Re : Passage à Nantes.
« Leur agresseur présumé, Mohamed B., âgé de 37 ans, aurait agi possiblement pour un motif religieux. Il leur aurait en effet reproché leur tenue trop légère. Le procureur de la République de Gap a cependant indiqué à l'AFP que le motif de l'attaque était encore "très flou". La mère et sa fille de 14 ans ont été grièvement blessées et transportées par hélicoptère à Gap pour y être hospitalisées. »

C'est « très flou », en effet. Sombre crétin.
19 juillet 2016, 13:51   Re : Passage à Nantes.
La petite de 8 ans est entre la vie et la mort!
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 14:07   Re : Passage à Nantes.
Ouais mais ça c'est l'"identité heureuse" de Juppé qui prend ses marques, ça demande quelques ajustements, c'est comme tout. Comme il l'expliquait ce matin, il faut mettre le paquet sur la surveillance des sites djihadistes... Et des sites d'"extrême drouâtre" j'imagine.
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 14:19   Re : Passage à Nantes.
Paris (75) : Un homme vétu d’une djellaba sème la panique devant l’École Militaire 19/07/2016

Un homme a suscité un mouvement de panique ce mardi devant l’Ecole militaire, dans le quartier des Invalides, à Paris. Vêtu d’une djellaba blanche, il a déposé une valise devant les grilles de la célèbre institution du VIIe arrondissement de la capitale après en avoir été refoulé à l’entrée, rapporte Le Parisien. Il s’est ensuite écarté pour faire une prière de rue.

La brigade anticriminalité est intervenue mais l’homme a refusé de parler aux policiers et d’ouvrir son bagage. La préfecture de police a été appelée en renfort et un périmètre de sécurité a été établi. Fausse alerte: de simples effets personnels se trouvaient à l’intérieur de la valise.

Le militaire en faction à l’entrée de l’Ecole militaire a rapporté les propos confus tenus par cet homme, un Brésilien arrivé en France le 15 juillet dernier depuis Dubaï. Placé en garde à vue, il a continué de tenir des propos incohérents. Il a finalement été envoyé à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police.

BFMTV
19 juillet 2016, 16:29   Re : Passage à Nantes.
Ce sala-fils-de-pute qui s'en prend à une petite fille de 8 ans !

Et, un salafiste qui égorgerait un homme politicien français ?

Non.
Ça non.
Je crois que notre classe politique est devenue inattaquable tant elle ne sert que ses intérêts. Cette idée-là n'aura sans doute jamais germé dans l'esprit de ces assassins. Au fond, ils doivent savoir que cela desservirait leur cause; mieux vaut donc continuer d'assassiner des enfants.

Autiste, une fois. Autiste dix fois, la France. Dix fois autiste, et dans toutes les directions de l'espace.
 
Utilisateur anonyme
19 juillet 2016, 17:23   Re : Passage à Nantes.
Aux dernières "infos" la fillette poignardée serait hors de danger...

Une "incivilité" qui a failli mal tourner, "l'homme est malade" (le maire). Rien d'autre.
20 juillet 2016, 04:42   Re : Passage à Nantes.
Remarquable synthèse de Didier Bourjon sur la guerre tetraptyque à venir (donnée en conclusion dans cette video), qui sera guerre religieuse, guerre inter-ethnique, guerre civile ("ils sont Français !"), et guerre internationale.

[www.youtube.com]


Je crois qu'il serait bon que ceux qui pensent pareil dans les circonstances que connaît la France ne se laissent gagner par aucun réflexe sectariste qui serait parfaitement déplacé. Cette video de Bourjon mérite d'être diffusée, autant que les appels de Camus à s'unir.

Camus a récemment déclaré, lors d'une manifestation du SIEL, qu'il était prêt, je cite de mémoire, "à devenir membre de toute organisation qui dénoncerait la politique de Grand Remplacement et de soumission". Belle leçon d'ouverture politique, et de réalisme.
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