Ce que l'on néglige trop souvent de souligner dans les discussions sur cette politique de forçage migratoire, conçue
plus haut que l'Elysée, et menée sur le terrain par des ONG agissant hors de tout contrôle comme MSF : que les populations africaines que l'on installe en Europe, celles que l'on voit s'accaparer les piscines par temps de canicule et qui multiplient ce qu'on appelle pudiquement
les incivilités, qu'elles soient sub-sahariennes ou nord-africaines d'origine, qu'elles soient mahométanes ou d'autres confessions, aussi difficiles soient-elles au vivre-ensemble, aussi enclines soient-elles à la délinquance ou à la criminalité, apportent avec elles une tradition de docilité politique, de soumission au gouvernement, d'assentiment aux politiques officielles, de consentement au pouvoir fort, dont les oligarchies au pouvoir en Europe occidentale et à la tête de l'Empire Mol sont de plus en plus friandes.
L'absence de toute tradition d'Etat de droit dans de nombreux pays d'Afrique, la vénération automatique du pouvoir suprême qui règne à peu près partout sur ce continent, ont tout pour plaire à l'Eurocratie qui installe ces populations en France. Les coutumes de corruption, d'achat de prébendes, de népotisme et d'autoritarisme importées d'Afrique, font rêver les hommes et les femmes en place en Europe. Cela se lit, par exemple, sur la trogne chafouine et satisfaite des événements qu'arborent un Cambadélis ou un Cohn-Bendit dans leurs apparitions publiques : ils sont en train de réussir leur coup ;
en installant ces populations en Europe pour mille ans et plus, ils s'installent eux-mêmes, et leurs enfants et petits-enfants, au pouvoir pour mille ans et plus !
Voilà un peuple d'importation, celui qui se masse à la piscine de Créteil ces jours-ci, fort difficile aux riverains, au petit peuple des Français forcés de l'accueillir, mais qui est si facile à contenter, si peu porté à critiquer ses maîtres, si loin de toute libre critique incisive, de tout libre examen,
que ç'en est un ravissement. Hormis les attentats, desquels les membres de cette oligarchie savent se protéger et protéger leurs proches, ce forçage migratoire lui est
rien que du bonheur. Ses porte-parole ou représentants n'ont pas même besoin de le proclamer, cela se lit en toutes lettres sur leur face illuminée par l'avenir qu'ils concoctent suivant leur souhait et leur intérêt. "Moi, je suis partisan de l'avenir", se régale de déclarer Cohn-Bendit sous les projecteurs.