Voir le cas d’Adama Traoré, Noir de 24 ans, repris de justice, délinquant multirécidiviste bien connu des services de police, malencontreusement mort lors d’une interpellation pour s'être opposé à l’arrestation de son frère Baguy sur réquisition du parquet (pour extorsion de fonds et agression à domicile), rébellion aggravée par un délit de fuite et une course poursuite, et les manifestations et émeutes raciales qui se sont poursuivies pour dénoncer les brutalités racistes et le harcèlement policier dont auraient été victime la famille (et les "manifs" pour "connaître la vérité" et pour "plus jamais ça" continuent...).
Que du bon monde, donc, bien in-nocent ! Au moins deux délinquants qui ont su faire profiter leur famille de leurs larcins, trafics et escroqueries, laquelle famille ne semble pas s'inquiéter de l’origine de cette aisance, à l’image de la plupart des familles de délinquants issues de l’immigration.
Adama avait alors succombé à un malaise cardiaque. Immédiatement sa famille avait dénoncé une «bavure» policière, et ses amis accusé les gendarmes de l'avoir brutalisé lors de son arrestation. Tout cela sur fond de racisme, évidemment...
Suit près d'une semaine de violences nocturnes émaillées d'incendies de voitures, de tirs (mortier ou chevrotine) contre les autorités, le tout sur fond d'"état d'urgence "... Dans la foulée, le hashtag #JusticePourAdama est créé et aussitôt associé à celui de #BlackLivesMatter, généralement utilisé aux Etats Unis pour mettre en évidence les violences policières envers les Noirs.
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