Francs-Moisins

Embuscades, vols, incendies, drogues, armes, agressions (tout ce la en une petite semaine du mois de juillet) : chronique de la vie telle qu'elle va dans la quartier des Francs-Moisins à Saint-Denis au travers d'un compte twitter :
[twitter.com]

« Au moins, Francs-Moisins, ce n'est pas la France moisie ! » (François Bègue-au-Dos, lors d'un débat avec Philippe Mes-Rieux, ce matin sur France Inculte)

« A cause de Twitter, la délinquance — qui n'est en fait qu'une somme de toute petites incivilités isolées dues à une minorité de gens ayant des antécédents psychiatriques — est grossie comme par un “effet-loupe”. En réalité, comme l'a montré une équipe de sociologues qui a mené une étude sur douze mois mêlant enquête sur le terrain et analyse des chiffres de l'INSEE, ce que l'on nomme délinquance a baissé de 92% en quinze ans dans ce quartier. Il serait donc plus exact de parler de sentiment de délinquance. Quant aux extrêmistes qui voudraient lier ces phénomènes à la composition ethnique de ce quartier, où cohabitent 89 nationalités qui ont su organiser de nouvelles formes de solidarité, on peut leur rappeler qu'ici le vivre-ensemble se porte plutôt bien, merci. »
(Lorenzo Mucchiellovitch)

Les actants de ces territoires s'expriment selon leurs propres codes, qu'on ne saurait juger. Voilà tout. Ce sont les dissonances cognitives entre eux et nous qui vous font voir les choses de manière (curieusement) épouvantée. Bref, ne vous moquez pas et essayez d'entendre ce que nous disent ces enfants, cette demande d'amour et de respect, qu'un peu maladroitement ils nous adressent. Bordel, ces jeunes sont en souffrance!

D'après la sociologue Houria Bouteldja, il faut savoir reconnaître dans "la virilité testosteronée" de ces jeunes indigènes "la part qui résiste à la domination blanche" : [www.monde-diplomatique.fr]

J'allais le dire!

(Halimi qui dézingue cette jobarde... Quand il y a du rififi chez les antiracistes, on rigole bien quand même.)

Le nœud du problème est là, sous nos yeux : un cocktail explosif de racisme anti blanc, de désir de revanche (ce "passé-qui-ne-passe-pas"...), avec pour couronner le tout un désir de conquête religieuse.
Mais le fond du problème est, je crois, d'abord ethnique. Les noirs de culture chrétienne étant presque aussi racistes anti blancs et revanchards que les noirs et arabes musulmans.

Voir le cas d’Adama Traoré, Noir de 24 ans, repris de justice, délinquant multirécidiviste bien connu des services de police, malencontreusement mort lors d’une interpellation pour s'être opposé à l’arrestation de son frère Baguy sur réquisition du parquet (pour extorsion de fonds et agression à domicile), rébellion aggravée par un délit de fuite et une course poursuite, et les manifestations et émeutes raciales qui se sont poursuivies pour dénoncer les brutalités racistes et le harcèlement policier dont auraient été victime la famille (et les "manifs" pour "connaître la vérité" et pour "plus jamais ça" continuent...).
Que du bon monde, donc, bien in-nocent ! Au moins deux délinquants qui ont su faire profiter leur famille de leurs larcins, trafics et escroqueries, laquelle famille ne semble pas s'inquiéter de l’origine de cette aisance, à l’image de la plupart des familles de délinquants issues de l’immigration.
Adama avait alors succombé à un malaise cardiaque. Immédiatement sa famille avait dénoncé une «bavure» policière, et ses amis accusé les gendarmes de l'avoir brutalisé lors de son arrestation. Tout cela sur fond de racisme, évidemment...

Suit près d'une semaine de violences nocturnes émaillées d'incendies de voitures, de tirs (mortier ou chevrotine) contre les autorités, le tout sur fond d'"état d'urgence "... Dans la foulée, le hashtag #JusticePourAdama est créé et aussitôt associé à celui de #BlackLivesMatter, généralement utilisé aux Etats Unis pour mettre en évidence les violences policières envers les Noirs.

[www.lefigaro.fr]

Nous n'y couperons pas, Pascal: il s'agit d'un crime raciste perpétré par une police raciste, un crime couvert pas un appareil d'Etat raciste et même suprémaciste.

Et rien à faire ou à rétorquer, J. Franzen est un auteur raciste, un sale Blanc: [www.slate.fr]

Tout cela bien sûr avec le soutien de la presse de l'oligarchie, Le Monde et le New York Times.