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Communiqué n°1951 : Sur la massification industrielle du remplacisme

Communiqué n°1951, vendredi 2 septembre 2016
Sur la massification industrielle du remplacisme

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) notent que le pouvoir remplaciste ne prend plus aucune précaution désormais pour dissimuler ses desseins. Le mariage du vieil antiracisme et du financiarisme tardif, industriel ou post-industriel, est désormais consommé. À la télévision, c’est sans solution de continuité que sont montrés Mme Emmanuelle Cosse accumulant bâtiments publics et chambres vides chez les particuliers pour y loger des migrants, d’une part, et autorités de la société Porsche, d’autre part, se félicitant d’en accueillir toujours davantage. Toute prétention à les faire passer pour des “réfugiés” semble à présent abandonnée. Toute distinction entre immigration légale et immigration clandestine tombe en caducité. Le Grand Remplacement est entré dans sa phase de massification industrielle. Le racisme déportait dans des trains, l’antiracisme importe dans des bateaux. Remplacistes et remplaçants ont érigé le naufrage non seulement en moyen de transport de routine mais en instrument de la substitution ethnique. Pendant ce temps le Conseil d’État estime qu’il n’est provocation des conquérants qui ne soit la parfaite illustration des valeurs de la République. Si la République était bien ce que disent ses juges, elle ne serait qu’une machine à en finir avec les Français. Ils l’ont aimée quand elle a défendu le peuple et la patrie, ils la haïront quand ils comprendront qu’elle les livre sur un plateau à l’envahisseur, au nom de ses principes qui pis est, dont il profite et se rit.
Le jeune Africain qui, dans le reportage auquel il est fait allusion dans ce communiqué, se voit proposer un contrat de travail par le représentant de Porsche, proposition savamment mise en scène par France 2 et la marque d'automobiles, n'en revient pas, il est au bord du fou rire, il n'en croit pas ses yeux et ses oreilles. Scène sidérante, qui montre un réel à peine croyable.
Utilisateur anonyme
02 septembre 2016, 23:45   Re : Communiqué n°1951 : Sur la massification industrielle du remplacisme
J'ai souvent entendu dire qu’un homme politique ne pensait qu'à sa prochaine réélection, tandis qu’un homme d’Etat pensait à la prochaine génération. On pourrait même dire qu’un grand homme d’Etat pense aux deux ou trois prochaines générations.
Depuis De Gaulle, la France n’a eu aucun président qui ait été un véritable homme d’Etat. Aucun qui ait anticipé ce qu’allait devenir la France dans deux ou trois générations du fait de ses décisions, ou de ses refus d’agir.
Dans la pléthore de candidats à la présidentielle, hormis Marine Le Pen, il n’y a, selon moi, aucun homme d‘Etat - aucun. Lequel d’entre eux se projette dans deux ou trois générations pour nous décrire ce que sera, ce que risque de devenir la France et, en conséquence, ce qu’il projette de faire pour éviter le pire ? Aucun.
Je crois que si, justement, Pascal. La "projection dans les générations" a été confiée à des "brain trusts" et autres "cercles de pensée" du pouvoir (Terra Nova, Le Siècle, etc.) ; c'est l'éclatement, en des réseaux d'individualités soudées, c'est la mutualisation des travaux de ces personnages dont on parle peu, qui ont repris les fonctions jadis apanage du grand homme visionnaire, figure du menhir pensant : ce dernier s'est mué en ruches d'idéologues, avec souvent un chef d'orchestre-reine (Jacques Attali) qui se sont auto-institués ingénieurs du futur, oeuvrant dans l'ombre et pondant des rapports semi-publics ou semi-confidentiels. Le pitre incapable qui est élu pour cinq ans n'est là que pour la figuration. Et en effet, l'entreprise Le Pen se démarque de ce dispositif. Mais elle aussi a ou aura sa "ruche visionnaire". C'est la règle. Il n'y a plus de grands hommes ou de grandes femmes visionnaires (Thatcher) et il n'y en aura plus jamais. Les fonctions qu'il ou elle assumait se sont réticularisées.

Leur 'France d'après" est une vision, folle, mais vision néanmoins. Techniquement, elle est vision au même titre que pouvait l'être, par exemple, "la société de participation" de Jacques Chaban-Delmas il y a un demi siècle.

Du reste nous-mêmes (c'est ce que souligne Bourjon, par exemple, dans ses vidéos) devons aussi être "ruche" et "réseau", combattant les leurs, et c'est ce à quoi nous nous employons à notre modeste échelle.
M. Mavrakis, vous poussez tout de même un peu loin la muflerie.
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