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Communiqué n° 1953 : Sur les shorts, les maris et le repli identitaire

Communiqué n° 1953, jeudi 8 septembre 2016
Sur les shorts, les maris et le repli identitaire

Le parti de l’In-nocence et le NON (au changement de Peuple et de Civilisation) relèvent que, selon Nice-Matin, et par un significatif exemple d’effondrement syntaxique transgenre, « Habillées en short, leurs maris et amis se font passer à tabac » : c’est-à-dire que l’occupant, non content d’imposer ses modes, fait lui-même la police, désormais, pour bannir celles de l’occupé. Moyennant quoi Mme Najat Vallaud-Belkacem, ministre franco-marocaine de l’Éducation nationale, estime que le plus urgent, dans les établissements scolaires et ailleurs, est de combattre le repli identitaire et l’étonnante montée de l’islamophobie.

Le parti de l’In-nocence et le NON observent à cet égard que tous les masques tombent, que les rôles simples et évidents sont maintenant clairement répartis, que plus aucune précaution n’est prise pour dissimuler la réalité de la conquête territoriale. L’Occupation s’assume, la Collaboration aussi. Il ne reste plus qu’à la Résistance de faire de même.
Cette racaille islamisée ne cessera de nous pourrir la vie que si nous la mettons violemment hors d'état de nuire. Tous les mouvements de résistance ont fait appel à la violence, tous les mouvements de décolonisation aussi, et ils l'ont souvent fait avec succès.
Faire comme à Sisco en Corse. A propos d'occupation et d'occupant, rappeler que la Corse fut le premier territoire français à s'en libérer en 1943.
Mais non Francis, cette guerre qui vient c'est à cause de nous ! Nous les minus, nous les bas du front, avec nos propos haineux et nos réactions irrationnelles, etc. Écoutez plutôt ce maire PS faire la morale à ce (mauvais) citoyen en colère :

[www.fdesouche.com]
Citation
Francis Marche
Faire comme à Sisco en Corse. A propos d'occupation et d'occupant, rappeler que la Corse fut le premier territoire français à s'en libérer en 1943.


Mon épouse: "Viens on va vivre en Corse! Viens on va vivre en Corse!"

Mon père me raconte encore les grands épisodes de vendetta qui ont marqué son enfance dans la Castagniccia. Avec ces bordilles (les agresseurs et les collabos qui nous gouvernent), il n'y a que de cela qu'il faut s'inspirer. Ils étaient trois Français à se faire agresser par dix sauvages? Les trois Français une fois rétablis auraient dû revenir à trente pour atomiser leurs assaillants, filmer le tout, envoyer la vidéo au préfet puis la diffuser sur les réseaux sociaux à l'attention des frères.
Oui Pierre Jean, mais les Français ne sont pas les Corses... Cette passion pour les armes, ces histoires d'honneur, de familles, d'anciens, de villages, de territoires et de vendettas ils ne connaissent pas, ils n'en veulent pas, et puis tout ça c'est bien trop primaire, c'est trop bas pour eux. Entre Corses et Français, il y a comme une distance anthropologique.
Céline Pina, de gauche mais parfois lucide :
[www.lefigaro.fr]
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