Communiqué n° 1954 : Sur le serpent de mer des places de prison

Communiqué n° 1954, lundi 12 septembre 2016
Sur le serpent de mer des places de prison

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) notent que resurgit pour la millième fois l’éternel serpent de mer des places de prison, thème de surenchères infinies entre les partis et entre les candidats, à qui s’engagera à construire le plus de centres de détention. Belles promesses en vérité, séduisantes perspectives. De tous les sujets du débat politique il n’en est aucun qu’il soit plus vain de prétendre traiter indépendamment de l’invasion en cours, de la conquête coloniale, de l’islamisation galopante. Ce sont elles qui remplissent les prisons, par le truchement de la nocence qui en est l’instrument. La tâche des gouvernants n’est pas de couvrir le territoire de la patrie de mosquées et de maisons d’arrêts, il est de mettre un terme à la submersion ethnique, d’en renverser le cours, d’inaugurer fermement la remigration et de restaurer la civilisation.

Oui... Bah avant de mettre un terme à la submersion migratoire et de mettre en place la remigration, l'urgence, pour les gouvernements remplacistes, c'est de répartir les migrants...


[www.fdesouche.com]

"Depuis novembre 2015, en tout cas, au moins 3000 places de CAO ont déjà été créées en France."

"La répartition dépend du «critère démographique pondéré par les efforts faits par chaque région."

Allez feignants de Français !, encore un effort !, merde !...

En remplacement des prisons, j'invite le parti de l'innocence à proposer la création d'espaces Schengen.
Pour commencer, on pourrait suggérer la création de dix espaces. Ce serait bien. Dont un, qu'on réserverait aux radicalisés de l'Europe. Un autre, aux radicalisés du Libéralisme. Un, pour les radicalisés du Salamalekoum... Un enfin, pour les radicalisés Libres.

Espace Schengen: espace géographique dans lequel on peut se rendre (~ par la Grèce, ~par l'Italie), mais qu'il est impossible de quitter (~ par Calais) , et dont on ne peut être renvoyé car l'extérieur n'est pas sûr (~ par la Turquie).

Mode d'emploi: On laisse entrer. Mais on ne laisse pas ressortir

Prison Schengen, modèle yourte



Prison Schengen, modèle Spiegelman



Prison Schengen, modèle Hamster (meublé et façonné)

(Rires)

Au début ça allait encore, on ne devait s'occuper que des "radicalisés". Mais maintenant ça se complique... puisqu'il va nous falloir bichonner aussi les "en voie de radicalisation", les " semi-radicalisés", les "encore déradicalisables", les " à mi-chemin", etc. On commence réellement à s'emmêler les crayons (enfin je parle pour moi).

A part ça j'aime assez le modèle Spiegelman.

On ne peut qu'espérer que ce régime totalitaire, composé d'idéologues cyniques et d'apprentis-sorciers, soutenu par moins de 15% de la population, rencontre une telle opposition populaire (comme en Corse, rêvons un peu...) à ses mesures brutales de "répartition des migrants" que cela accélérera sa chute.

Voyez par exemple ici, la teneur générale des réactions :
[www.rtl.fr]

Le petit château de Beaumont en Vernon (3000 habitants) a été choisi par le pouvoir remplaciste pour être le premier des 30 centres de déradicalisation annoncés sur le territoire.
Il y aurait 30 places de prévues, avec autant de personnel (éducateurs, psy, sophrologues, masseurs, "profs" de sport, agents de maintenance).

Bref, tout ça c'est très bien et ça plaît beaucoup aux médias. Mais il faut prévoir des sites d'accueil plus importants que ce petit château ridicule... Raison pour laquelle je propose que l'on fasse rapidement des études pour savoir si l'on peut loger ou pas des migrants au château de Chambord, et pourquoi pas à Versailles (?).

(J'avais même pensé un instant à Plieux... Mais non. Là c'est pas possible. Renaud Camus, l'écrivain "d'extrême drouâtre", s'y opposerait.)

Et le Brexit alors ? Pourquoi ne laisse-t-on pas ces migrants s'embarquer sur des ferrys direction l'Angleterre ? Les Anglais nous ont bien baisé, sauf votre respect.

93 : l'arnaque de la "déradicalisation".

[www.lepoint.fr]