Communiqué n° 1958 : Sur les encouragements aux migrants

Communiqué n° 1958, mercredi 21 septembre 2016
Sur les encouragements aux migrants

Le parti de l’In-nocence et le NON (au Changement de Peuple et de Civilisation) relèvent que le jour même où l’organisation des Nations Unies adopte une déclaration très favorable aux migrants, aux réfugiés, à leurs droits et aux obligations des États à leur égard, le milliardaire Georges Soros, qui s’est déjà beaucoup signalé par son action en faveur de l’ouverture de toutes les frontières, annonce la création d'un fonds d‘investissement de cinq cent millions de dollars en faveur de ces mêmes réfugiés et migrants, et qu’il en confie la gestion, précisément, à des agences de l’ONU.

Le parti de l’In-nocence et le NON soulignent à quel point cette coïncidence est significative. Les organisations internationales — et à cet égard l’Union européenne n’a rien à envier aux Nations Unies — et la finance internationale poursuivent d’évidence le même idéal, qu’on pourrait appeler avec justesse l’idéal remplaciste : en finir avec les nations, avec les frontières, avec l’homme des appartenances. Il n’est sans doute pas indifférent que ce soit l’homme africain que ces puissances diverses paraissent vouloir répandre comme un modèle sur toute la surface de la terre, et tout spécialement en Europe, dont elles entérinent la submersion. L’Afrique est le continent où fortune et pouvoir politique ne font qu’un, où le ploutocrate est roi au sens littéral du terme, où le milliardaire est d'office roi nègre et où tout roi nègre est milliardaire. Quel idéal pour les hommes d’argent, et comme on comprend leur impatience à africaniser la terre !

La marchisation du Forum est en Marche... Mais ça n'est certainement pas moi qui vais m'en plaindre.

"L’Allemagne donne des cours de séduction aux réfugiés"

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Des "cours de séduction" pour les Remplaçants, et bientôt des "cours de soumission" pour les remplacés...

il fut question de « pyramide des besoins » et de « niveaux de communication », .... "assurez-vous d'être tous les deux exités"... "Stimulez-vous en explorant le corps de l'autre"
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Ouais. Et bah traduire ces niaiseries-là en langue pachtoune ça va pas être h'évident h'évident...

"La pyramide des besoins". A-t-on vu des "besoins" si joliment ordonnés, tout de même. Pas des monticules de besoins, ni des tomberaux, ni des tas comme on le dirait du fumier, non, la pyramide please. Les petits besoins soigneusement empilés sur les gros je vous prie !

Je ne sais plus quel écrivain américain, pas vraiment politiquement correct, qualifiait Mme Clinton "d'infirmière sadique pour hôpital psychiatrique" -- impossible à cette image de ne pas revoir ce personnage de l'infirmière prudentielle mais ferme, compatissante envers ses patients mais toujours au bout d'une perche, les assassinant avec amour, dans le film des années 70 Vol au-dessus d'un nid de couscous --, c'est à cela qu'on songe. Se trouver placé entre les mains de belles âmes qui voudraient m'enseigner à "connaître la pyramide de mes besoins" afin de mieux les dominer (?), d'en gravir les pentes (?), et ne pas couver des idées indicibles et inavouables de viol en réunion qui feraient d'elles l'objet premier de nos assauts : tel est le défi lancé au héros moderne. Des mains et de belles âmes, qui, à elles seules, ont le pouvoir de pousser l'honnête homme à l'amok, sinon au djihad.

Quoi ? j'ai écrit "nid de couscous" ? Ah pardon ! Je vous laisse corriger.

Faire des migrants des pick-up artists, il fallait y penser. Et certes, ils doivent se dire qu'ils ont atterri chez les fous.

Je me souviens avoir lu quelque part que dans certains coins d'Afrique les parents refusent d'envoyer leurs filles à l'école de peur qu'elles ne se fassent violer (en chemin ou dans l'école).
Au rythme où va le G.R., c'est la même chose qui nous pend au nez.

Considérer le désir comme "un besoin", c'est déjà se mettre sur le rail du viol, ce n'est qu'en différer l'échéance, c'est vouloir, dans le meilleur des cas et au mieux des efforts consentis, poser sur son chemin une petite chicane sociale. C'est, accessoirement, n'avoir rien compris à la sexualité, masculine en particulier, c'est, en un mot, penser comme une féministe de magazine féminin.

penser comme une féministe de magazine féminin.
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Des féministes qui s'imaginent évidemment que le désir, tout comme le sentiment amoureux ou l'intimité, "ça se construit". Et aussi que le désir pour l'autre (ou le même) sexe dépend de l'"engagement" ou de l'"investissement personnel".

Inutile d'essayer de leur faire comprendre que dans la culture de l'Autre, c'est souvent la seule logique de la prédation qui prévaut.

« Il n’est sans doute pas indifférent que ce soit l’homme africain que ces puissances diverses paraissent vouloir répandre comme un modèle sur toute la surface de la terre »

D'autant moins indifférent quand on s'appelle Schwartz ; dingue ça, n'est-ce pas...