Quelqu'un s'est penché sur l'enseignement de l'histoire dans les manuels scolaires

...qu'utilise l'Education nationale. Pas de surprise : l'apologie de l'islam dans les manuels scolaires est générale, digne d'un pays déjà islamique. Mme Vallaud-Belkacem a fait du beau travail.

Cet article se présente sous forme d'un entretien, assez long pour un quotidien en ligne, de Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, auteur de quatre ouvrages au moins sur l'école "de la France d'après", et qui paraît bien maîtriser son sujet. On y découvre l'ampleur de la silencieuse "révolution culturelle" qui a touché la France dans le sens d'un discours "nos ancêtres les musulmans" ces quatre dernières années (cycle inauguré par les atrocités islamiques d'un Mohammed Merah au printemps 2012, faut-il le rappeler). Les propos de Mme Lefebvre ne sont pas outranciers, ils sont remarquablement sobres et mesurés, ce qui les rend d'autant plus glaçants.

Il faudra une contre-révolution pour inverser la vapeur car la machine à laver les cerveaux, comme on le constate à la lecture de cet entretien, est passée à la vitesse supérieure -- elle n'a plus vergogne de rien. Et les enfants de 12 ans qui sont soumis à ce matraquage seront irrécupérables si ces manuels ne sont pas mis au rebut dès l'an prochain, dans l'éventualité d'un changement de régime en France, lequel on est désormais fondé d'espérer voir se produire.

[www.lefigaro.fr]

Cette réflexion que je vous soumets : la stratégie des terroristes, des Mohammed Merah, est payante car elle a permis de lancer ces travaux de fond préparatoires à la dhimmitude des populations non musulmanes au nom de l'apaisement de ce qu'ils appellent les frictions intercommunaires et au nom des intérêts supérieurs de ce que les agents de cette dhimmitude appellent le vivre-ensemble -- montrer comme on aime les musulmans et comme on est heureux qu'ils imposent leur charia en France, et s'étendre sur la valeur supérieure de la civilisation qu'ils viennent coucher et continuer sur notre sol car sinon, ils pourraient de nouveau se fâcher et se remettre à tuer. Les tueurs et les massacreurs d'enfants ont magnifiquement préparé le terrain au travail idéologique non moins remarquable d'une Vallaud-Belkacem. Les uns tuent, l'autre cajole les populations sur l'humanisme supérieur et la douceur de la civilisation qui doit être présentée comme faisant contraste décisif avec la violence et la barbarie des assassins qui s'en réclament. Par ce jeu "bon flic, mauvais flic", l'islam avance les pions de son roman historique, de ses moeurs et de ses lois dans notre pays.

Il va falloir casser cette machine infernale, en commençant par la dénoncer sans répit dès aujourd'hui.

Un dernier mot sur les courriers des lecteurs de cette page du Figaro.fr : ils sont filtrés très serrés, vous pouvez me croire, par des équipes installées... au Maghreb, le journal ayant "délocalisé" les fonctions de modération de ces courriers au Maroc. Bien se représenter, par conséquent, que ceux que vous trouverez sur cette page ne donnent qu'une lointaine idée, très atténuée, de la virulence des réactions des lecteurs de ce journal aux révélations de cet article.

Cette réflexion que je vous soumets : la stratégie des terroristes, des Mohammed Merah, est payante car elle a permis de lancer ces travaux de fonds préparatoires à la dhimmitude des populations non-musulmanes au nom de l'apaisement de ce qu'ils appellent les frictions intercommunaires et au nom des intérêts supérieurs de ce que les agents de cette dhimmitude appellent le vivre-ensemble – montrer comme on aime les musulmans et comme on est heureux qu'ils imposent leur charia en France, et s'étendre sur la valeur supérieure de la civilisation qu'ils viennent coucher et continuer sur notre sol car sinon, ils pourraient de nouveau se fâcher et se remettre à tuer. Les tueurs et les massacreurs d'enfants ont magnifiquement préparé le terrain au travail idéologique non moins remarquable d'une Vallaud-Belkacem. Les uns tuent, l'autre cajole les populations sur l'humanisme supérieur et la douceur de la civilisation qui doit être présentée comme faisant contraste décisif avec la violence et la barbarie des assassins qui s'en réclament. Par ce jeu "bon flic, mauvais flic", l'islam avance les pions de son roman historique, de ses moeurs et de ses lois dans notre pays.

Il va falloir casser cette machine infernale, en commençant par la dénoncer sans répit dès aujourd'hui.
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Entièrement d'accord Francis. J'avais depuis longtemps déjà la même intuition : l'acte terroriste de Mehra déclenchant le processus de Soumission et accélérant du même coup la mise en place de l'idéologie remplaciste ; puis reprise en main et lissage, via les médias et les politiques, de l'hyper-violence djihadiste par la "pensée progressiste" (avec en prime le ravissant sourire d'une N. V. Belkacem).



"Casser la machine"...

Oui. Mais c'est seulement à un État radicalement "nouveau" qu'il appartiendra d'intégrer les classes, de structurer les masses et de "calmer" les minorités, favorisant du même coup l'émergence d'une nouvelle aristocratie. A État moderne Chef moderne, c.a.d. un Chef qui, comme Mussolini ou Lénine (pardon), saura parler aux masses - lequel Chef (ou gouvernement, si on préfère) sera capable aussi, et avant tout, de liquider l'héritage "anti-France". Car si l'on veut réellement "casser la machine infernale", je vois mal comment nous pourrions éviter de déboucher sur une nouvelle forme de totalitarisme.

La terreur a fait son oeuvre.Je crois que les islamistes n'auront plus besoin de massacres de masse : une petite terreur au quotidien qui finira par apparaître bénigne au regard de l'autre, suffira à nous faire entrer en soumission.

Absolument, chère Cassandre. On sent déjà poindre un certain agacement, agacement apparemment équivoque, chez certains représentants de la communauté musulmane, bien obligés de condamner tel attentat et de se désolidariser des auteurs de celui-ci. Je me trouve actuellement aux Etats-Unis, et les Somaliens d'une bourgade du Minnesota où l'un des leurs a récemment poignardé à la volée quelques passants s'excusaient à la télé en ayant surtout l'air de dire, Mais quel idiot celui-là, il a pas compris qu'on se mettait tranquillement les locaux dans la poche ?

(A New York, chaque année on compte davantage de "food trucks" halal. Rendez-vous compte, ils campent littéralement devant le Metropolitan Musuem of Art! Comme ils empestent l'atmosphère, gâchent la vue et encombrent le passage, leur installation a un temps fait jaser les sociétés d'amis du musée, mais je constate que le problème persiste. En outre le nombre de vieilles épiceries de quartier, les fameux "deli", reprises par des Arabes (Yéménites, Syriens et Irakiens surtout) qui ne vendent pas d'alcool ne cessent d'augmenter, en particulier dans Queens.)

L'islam rigoriste, dans ses pratiques alimentaires, s'impose à peu près partout (le Japon représentant à cet égard un îlot de résistance, la grande zone Pacifique aussi).

En Indonésie, le gouvernement, souhaitant donner le change aux islamistes qui, ici comme ailleurs, savent imposer leurs normes en assortissant l'expression de leurs souhaits de mille menaces électorales à peine voilées (la démocratie, c'est la loi du nombre et des masses, il n'est pas inutile de le rappeler dans ces circonstances), a fait imposer une prohibition en 2015 : plus d'alcool en vente libre, lequel n'est plus distribué que sous régie, dans des comptoirs agréés et avec des taxes de 200%, ce qui fait que si l'on trouve une bouteille de vin de France bas de gamme qui serait vendue en Europe 6 euros, elle vous coûtera ici 35 à 40 euros. A Bali, on importe du raisin d'Australie pour fabriquer un breuvage tord-boyau inqualifiable; qui, s'il ne coûtait pas si cher, serait idéal pour détartrer les cuvettes des vécés, commercialisé à des 30 euros la bouteille. Les touristes australiens étant ici de grands soiffards, certains se reportent sur des cocktails "du cru", autant dire de bouilleurs de cru, où l'alcool est remplacé par du méthanol. Le bilan de ces pratiques est connu et il est tragique : tous les ans, une bonne dizaine de jeunes fêtards australiens trouvent la mort en s'intoxiquant de la sorte avec des cocktails frelatés.

Je voudrais revenir sur la stratégie suivie par l'islamisation en France : elle est à deux volets, classiquement articulés et elle a recours aux ressorts psychologiques que l'on voit à l'oeuvre chez toutes victimes de la terreur et de la torture, ressorts qui ne sont pas sans parenté avec ceux que l'on trouve chez les victimes du syndrome de Stockholm -- lorsque placée entre les mains deux tortionnaires, l'un extrêmement violent (comme le sont les djihadistes égorgeurs et mutileurs, de ceux qui ont arraché les testicules de leurs victimes au Bataclan), l'autre rassurant, comparativement doux, s'appliquant à fournir un contraste d'attitude marqué avec l'autre, n'hésitant pas à l'occasion à déplorer la méchanceté et la fureur condamnable de ce dernier, leur victime se verra irresistiblement portée à "fondre dans les bras" du gentil, qui n'aura pas à être plus que modérément gentil pour qu'elle "lui mange dans la main". Plus le méchant est méchant, et plus légers, plus aisés seront les efforts que devront fournir le gentil pour obtenir la reddition, la soumission de la victime. A la fin, quand la victime est à genoux, il lui suffira de lui déclarer "je suis gentil" et la partie sera gagnée : c'est le message de ces livres d'histoire destiné aux enfants et à leurs parents : l'islam n'est pas l'islam du méchant. Et c'est tout. Et c'est dans la poche : le méchant aura oeuvré efficacement pour que cette dernière affirmation de la gentille Mme Vallaud-Belkacem soit sans contestation possible, sans besoin d'être contestée, dans l'esprit de la victime. Mme Vallaud-Belkacem est gentille. L'islam est doux, généreux et humaniste, il n'est pas comme l'islam méchant de Mohammed Merah. Et il ne nous reste plus qu'à nous blottir dans son giron pour nous protéger de son double méchant. Simple non ?

La terreur et la douceur sont les deux fils d'une même lame que l'islam plonge dans le coeur de la civilisation. Les terroristes ont bien fait leur boulot, la douce Mme Vallaud-Belkacem aussi. Le train de l'islamisation de la société, tracté par cette locomotive à moteur deux-temps, file tambour battant sur les rails de l'histoire.