Hôpitaux sensibles. France saccagée.

"L'immigration est aussi en train de transformer l’hôpital, jadis sanctuaire de paix, en théâtre de violences et de conflits permanents.

Le dernier rapport annuel de l’ONVS, l’Observatoire national des violences en milieu de santé, est accablant. Médecins et infirmiers, régulièrement confrontés à des tensions communautaires, subissent des agressions verbales ou physiques toutes les 30 minutes.

Avec 19 millions de patients passés aux urgences chaque année, chiffre en constante augmentation, la violence à l’hôpital ne cesse de s’amplifier. La gratuité des soins sature le service, avec des maux bénins relevant de la médecine de ville.

“Pour peu qu’il y ait un foyer islamique dans le quartier, ils font la loi aux urgences ! Nous sommes au front”, déclare Patrick Pelloux, le président de l’Association des médecins urgentistes de France.

Il décrit un “un combat de l’islam intégriste politique pour mettre la main sur la santé”.

A la peur de s’opposer aux exigences communautaristes d’une part, s’ajoute le port de signes religieux chez certains personnels hospitaliers d’autre part.

A Saint-Denis, un médecin se fait briser les deux mains par le frère d’un patient.

La violence ronge les services d’urgence mais aussi les maternités.

“Un quart des patients n’ont pas de papiers, les autres sont SDF, sous l’emprise de l’alcool et de stupéfiants”. Très souvent ils ne parlent pas français.

Selon un médecin urgentiste, “les vigiles ont peur d’intervenir, craignant des représailles par la suite, en étant attendus sur le parking”.

Les exigences communautaires sont incessantes. Refus d’être examiné par un médecin de sexe opposé, demande de régime alimentaire particulier y compris pour les bébés. Refus de transfusion. Et même refus de se déshabiller pour une opération !

Médecins agressés par les maris, mais aussi des femmes qui sont interdites de contraception et contraintes à des grossesses qu’elles ne veulent pas.

Mais comme le dit Isabelle Lévy, auteur du livre “Menaces religieuses sur l’hôpital”, paru en 2011 :

“Refuser un soin pour soi, c’est un suicide. Le refuser pour un autre, c’est un meurtre”.

On a même vu un père musulman, dont la fille était soignée dans une clinique catholique, exiger que le crucifix accroché au mur de la chambre soit retiré ! (...)

"L'immigration finira par tout détruire", "Riposte laïque".

Une princesse saoudienne ordonne de "frapper" et "tuer" un artisan parisien

L'homme de main de la princesse lui assène un coup de poing sur la tempe avant de lui ligoter les mains. Zélé, le garde du corps ordonne à l'artisan de s'agenouiller et de baiser les pieds de la princesse. Récalcitrant, il est alors mis en joue. Selon les policiers qui ont recueilli le témoignage de la victime, les traces de coups étaient encore visibles au moment où il se confiait aux forces de l'ordre. L'artisan affirme que son calvaire a duré près de quatre heures, avant qu'un troisième larron n'intervienne : il réalise une photocopie de sa carte d'identité et lui enjoint de partir en lui interdisant « l'accès au 16e arrondissement à jamais » !

Fort heureusement, la clique princière a été expulsée sur le champ, et les gardes du corps rossés en public après s'être excusés et avoir remis son matériel à l'artisan martyrisé. Mais non, je plaisante!

Ce qui est fascinant c'est que cette info n'est révélée que par la presse "de droite" (Le Point, Valeurs actuelles) mais motus et bouche cousue ailleurs. Je m'attendais plutôt à ce que la presse du prolétariat tombe à bras raccourci sur cette princesse pleine aux as et maltraitant le petit personnel.

je m'attendais plutôt à ce que la presse du prolétariat tombe à bras raccourci sur cette princesse pleine aux as et maltraitant le petit personnel
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Ouais, c'est bizarre, je ne me l'explique pas... Est-ce à dire qu'avec une princesse hongroise pleine aux as nos defenseurs de la classe ouvrière auraient réagi autrement ?

Quand le culte de l'Autre suprême (le musulman) devient exclusif, le parti dévot, toute honte bue, en oublie son catéchisme de base ; alors, les féministes disent oui au voile voire à l'excision et à la polygamie, les rouges oublient les prolos et autres “dominés”, si du moins ils sont de souche. C'est ainsi, il faut s'y faire, et il ne sert strictement à rien de leur dire qu'ils se contredisent.

La seule question qui vaille est à mon sens celle-ci : s'agit-il simplement d'une hiérarchie des priorités ou bien y a-t-il là-dessous, ce que je crois, autre chose de bien plus fondamental ? Quelque chose qui expliquerait ce suicide civilisationnel que nous voyons ?

Hypothèse, que je rumine depuis quelque temps : ils ont tué Dieu, ils ont tué le père, le mâle, ils on tué la morale, ils ont renié leur histoire et ils ont l'air de courir dans tous les sens comme des poulets auxquels on a coupé la tête mais en fait non, ils savent au fond très bien ce qu'ils font : ils se ruent vers un autre Dieu, d'autres pères, une autre morale, impatients de se soumettre pour combler l'insupportable vide mais sans pour autant se renier en allant à Canossa car la haine de ce qu'ils ont tué est viscérale, elle leur est consubstantielle, ils l'ont tétée à la naissance puisque cette haine est à peu près tout ce qu'a produit la culture occidentale depuis un siècle.

Citation
Pierre Jean Comolli
Une princesse saoudienne ordonne de "frapper" et "tuer" un artisan parisien

L'homme de main de la princesse lui assène un coup de poing sur la tempe avant de lui ligoter les mains. Zélé, le garde du corps ordonne à l'artisan de s'agenouiller et de baiser les pieds de la princesse. Récalcitrant, il est alors mis en joue. Selon les policiers qui ont recueilli le témoignage de la victime, les traces de coups étaient encore visibles au moment où il se confiait aux forces de l'ordre. L'artisan affirme que son calvaire a duré près de quatre heures, avant qu'un troisième larron n'intervienne : il réalise une photocopie de sa carte d'identité et lui enjoint de partir en lui interdisant « l'accès au 16e arrondissement à jamais » !

Fort heureusement, la clique princière a été expulsée sur le champ, et les gardes du corps rossés en public après s'être excusés et avoir remis son matériel à l'artisan martyrisé. Mais non, je plaisante!

Impossible pour moi de "sortir" de cette affaire, véritable allégorie, raccourcis saisissant, de la Situation. Mais enfin, un Français, chez lui, châtié, réduit en esclavage et interdit de territoire par des Arabes! C'est la fois trop beau et trop hideux pour être vrai.