Quel est le moteur de ce petit morceau de propagande, comme on en produit chaque jour des centaines ? L'émotion. Aucune raison, aucun réel n'est à l'œuvre. Car ce qui parle ici, encore et toujours, c'est le féminin, le réconfort maternel, l'idée prodiguée au petit enfant que, comme par magie, tout finira par s'arranger.
Si l'Occident n'était pas gouverné par et pour la Femme, les sottises de ce genre n'existeraient pas, ou seraient balayées d'un simple revers de la main.