TF1 chez les Divers.

Une équipe travaillant pour TF1 violemment agressée par des jeunes de 15 ans en plein Paris: 5 techniciens blessés.


Coups de poings, tirs de mortiers sur l'équipe de tournage, affrontements...
Une équipe qui tournait pour TF1 a été violemment agressé en plein Paris, selon les informations révélées ce matin par le Parisien, et le bilan est lourd car il y a 5 blessés parmi l'équipe de tournage.
L'équipe de la société de production Cinétévé, qui tournait la nouvelle série de TF1 "Une femme d'exception" a été violemment prise à partie par un groupe de jeunes,

Jeudi soir, dans le quartier parisien de Belleville.

Une vingtaine d'adolescents âgés d'une quinzaine d'années ont tiré des mortiers d'artifice sur l'équipe, avant de dégrader le matériel de tournage.
Cinq techniciens ont été blessés.
Quelques heures avant l'agression, deux jeunes étaient venus réclamer de l'argent à la société de production en échange de leur «protection».

morandini.com
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Ou quand les Divers, longtemps tenus à l'écart du système médiatique et s'estimant de plus en plus "discriminés", revendiquent soudain les premiers rôles...

Cliniquement parlant, on pourrait presque dire que l'hyper-violence diversitaire est l'hystérie du mensonge spectaculaire-vivrensembliste, poussée à son paroxysme.

C'est le principe de base de la mafia : on paye pour être tranquille. Les sociétés de production audiovisuelle ne vont pas tarder un instant à intégrer ce prélèvement dans leurs frais divers : frais divers pour Divers.

Cinétévé, qui tournait la nouvelle série de TF1 "Une femme d'exception"

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Le tout dans un quartier d'exception, avec une population d'exception ! C'est l'exception française.

Ils pourraient s'entendre, les "jeunes", en guise de laissez-passer, proposant leurs propres productions à diffuser (tournante dans la cave, agression de "pute", arrachage de collier et de sac de vieille dame, caillassage d'équipement public...). Puisque, au fond, les deux parties n'ont que des saletés à offrir.

C'est le principe de base de la mafia
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Oui. Et le plus drôle, c'est que ces pratiques mafieuses, dans le sud de l'Italie ou ailleurs, scandalisent tout particulièrement nos journalistes.
Heureusement qu'ici, ça n'existe pas...