Respectons les (leurs) traditions.

La Jungle de Calais est en flammes ? "C’est une tradition des migrants."

La Préfète de Calais Fabienne Buccio a récemment expliqué sur BFM TV que c’est une tradition des migrants à laquelle elle est habituée : "Quand ils partent, ils mettent le feu."

"Les temps modernes se définissent par la castration et la domestication,
les chasseurs deviennent des sujets,
les loups des chiens,
les auroch des boeufs,
les sangliers des porcs."

Pascal Quignard, Abîmes, p. 185.


Et les dirigeants politiques de redoutables soumis...

"Quand ils partent ils mettent le feu"

On ne pourra pas dire que les collectivités locales (et leurs maires) chargées d'accueillir ces sauvages provisoirement n'auront pas été prévenus. Ces "migrants", ces hordes, ne prennent personne en traitre. C'est leur bon côté.

Plus généralement.

Les minorités se sont emparées du monopole de la violence. Il s'agit évidemment d'un instrument de conquête du pouvoir, non par des majorités haineuses et fascisantes (comme les médias font mine de le redouter), mais par des minorités actives plus ou moins organisées qui répandent leur haine propre. Souvent de tonalité religieuse.