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Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.

Envoyé par Utilisateur anonyme 
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 11:18   Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Ou quand la haine de soi, et des siens, est une passion...



Vous êtes nos amis, nos frères, nos pères, des êtres humains, avec vos faiblesses et vos forces. Entendre que les migrants seraient forcément des criminels me fait horreur. Je voudrais au contraire vous aider à retrouver votre dignité bafouée sur les mers et dans les broussailles de Calais.
À toi, migrant inconnu, je souhaite la bienvenue. Je serai heureuse de te rencontrer, de t’entendre, de partager. La fraternité créée t’aidera, je l’espère, à surmonter les obstacles qui subsistent. Car bientôt tu recevras des papiers actant la régularité de ta présence parmi nous.



[www.moniquerabin.fr]
"nos pères"... ?

En plus c'est bien mal écrit.
Vieille morue qui fantasme sur la réputation de virilité des envahisseurs. Elle leur ouvre grand les bras, faute de mieux...
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 13:29   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
La biologie a en effet ses raisons.

D'Angela Merkel à cette Merkel du pauvre qu'est Mme Rabin, en passant par les innombrables petites travailleuses sociales qui préparent et servent la soupe dans les “jungles”, l'enthousiasme débridé des femmes pour les migrants commence à devenir franchement gênant. Regardez comme elles s'affairent pour les accueillir : elles sont littéralement en chaleur. Il faut dire que trois ou quatre vagues de féminisme les ont rendues libres — libres d'ouvrir grand les bras et davantage.

Mais ne peut-on pas déceler dans cet enthousiasme, également, l'expression naïve et accablante d'une espèce d'instinct maternel pour ces nouveaux damnés de la terre qu'il faudrait nourrir et protéger ?

L'alliance de la jeune exaltée et de la vieille maternante. Et, toujours agissante, la gratification narcissique qu'elles obtiennent en se regardant chaque jour dans le miroir embellissant de la sainte Générosité.

Ah, women.
L'Européen post-moderne : l'homme mûr s'organise des virées en Thaïlande ; la femme mûre s'accueille de l'immigré clandestin en arrivage quotidien d'Afrique et du Proche-Orient.

Bonjour la théorie du genre.
Les infirmières, comme dit mon père.
Citation
Pierre Anton
"nos pères"... ?

En plus c'est bien mal écrit.

C'est en effet affreux quand la forme et le fond sont à ce point des symptômes. Et encore quelqu'un qui ne met pas de majuscule à "Français" quand il faut le faire!
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 14:35   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Un personnage tout droit sorti d'un roman de Houellebecq.

Me souviens de ce vieux musulman (algérien je crois) qui m'avait dit "Vous, les mécréants, vous serez trahis par vos femmes. Elles sont votre pire ennemi."
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 14:53   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Le choc des civilisations n'est, en fin de compte, qu'un choc entre celles où les femmes sont sagement tenues et celles où elles sont “libres” de laisser libre cours à leurs comportements instinctifs (trahison, irresponsabilité, immaturité, bêtise, attitudes putassières, adoration des alpha, castration des beta, etc.)

La biologie humaine ne permet pas longtemps la survie des sociétés où les femmes gouvernent (fût-ce par le truchement d'hommes soumis) et font tout ce qu'elles veulent. Les sociétés de ce type, toujours profondément décadentes, disparaissent rapidement, pour être remplacée par un nouveau patriarcat dix fois plus strict. C'est ce qui est en train de nous arriver, purement et simplement.

Remarquez comme il n'aura fallu que trois ou quatre minuscules décennies pour que nous entrions en phase terminale.

Fascinant.
Mais où diable est passée Taubira? Elle a, à la lettre, tout pour être au moins au second tour.
27 octobre 2016, 15:10   Des cœurs simples
Alors quoi, si on a simplement bon cœur, aussi bête cela soit-il, et si l'on est résolument dans le camp opposé, on est forcément putes ?
Psycho sexualisante à deux balles, quand même, trop facile, très ressassé...
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 15:14   Re : Des cœurs simples
La biologie des comportements n'apporte pas que des bonnes nouvelles.
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 16:03   Re : Des cœurs simples
Il est à cet égard intéressant de comparer le vote des femmes (surtout les jeunes) à celui des hommes à l'occasion de la première présidentielle autrichienne cette année.

[mobile.lemonde.fr]

N'oublions pas non plus que madame Rabin est juive, ce qui explique beaucoup de choses.
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 16:29   Re : Des cœurs simples
les innombrables petites travailleuses sociales qui préparent et servent la soupe dans les “jungles”, l'enthousiasme débridé des femmes pour les migrants commence à devenir franchement gênant. Regardez comme elles s'affairent pour les accueillir : elles sont littéralement en chaleur.

Vu un reportage où une "maman" de 4 enfants, calaisienne de souche, touchant le RMI, trouvait quand même le temps (et l'argent) pour préparer des soupes et des sandwichs pour les "migrants", lesquels "migrants" "pourraient être ses fils", déclarait-elle crânement.

Je crois que, pour certaines, le seul fait d'appartenir au camp du Bien les met littéralement en chaleur, que ça leur procure une sorte de jouissance sexuelle (il faudrait creuser ça). Après, évidemment, il y a celles, plus téméraires, qui franchissent la ligne jaune.
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 16:36   Re : Des cœurs simples
N'oublions pas non plus que madame Rabin est juive, ce qui explique beaucoup de choses.


Ah ouais ? Et Cosse, et Duflot, et Taubira, et toutes les autres (pas juives du tout), ça s'explique comment selon vous ?
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 16:55   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
« On peut invoquer les effets de l’industrie de l’hébétude, de son labeur acharné depuis un demi-siècle, à travers l’école et la télévision, principalement, pour imbéciliser, infantiliser, pénétrer et emplir d’oubli. Mais y aurait-il quelque chose de plus grave encore, de plus profond : une obtuse volonté d’en finir, un authentique désir de mort ? Comment un peuple peut-il accepter sans un geste de protestation ce qui, pour ses aïeux, a représenté des siècles durant le comble du comble de l’horreur, à quoi il était préférable de mourir mille fois ? Or nous mourons mille fois, mais sans rien empêcher, ni seulement le vouloir — sauf quelques dizaines d’autres et moi. C’est pour moi incompréhensible. »

Voilà ce qu'écrit Renaud Camus dans l'entrée la plus récente du Journal.

Il se pourrait fort que l'exemple de Mme Rabin — et la discussion qui s'ensuit ici – apporte la réponse ultime. C'est, j'en suis de plus en plus intimement persuadé, dans la relation entre les hommes et les femmes que s'est noué le désastre occidental. L'homme de nos contrées s'est complètement laissé intimider, culpabiliser, piétiner, ridiculiser par sa femme, par les femmes, par la Femme. Comment s'étonner, dès lors, qu'il ne soit plus en mesure de se défendre face à des hommes venus d'ailleurs et qui l'envahissent ?

J'ai bien peur que toute la belle tradition occidentale, qui va de l'amour courtois au féminisme en passant par la galanterie et le droit de vote accordé aux femmes, en prenne un coup, et c'est bien malheureux. Mais il me semble que c'est dans ces croyances et pratiques-là que s'est creusé le tombeau de l'Occident. La dévaluation du mâle occidental s'est nettement accélérée au sortir de la Seconde guerre mondiale et, de façon plus formidable encore, juste après la chute du Mur de Berlin. Depuis lors, on s'empresse de le remplacer. Sans s'en rendre compte, toutes ces braves dames qui s'empressent au chevet des migrants (parmi lesquels on ne compte pratiquement que des hommes) ne disent que cela : l'homme occidental est fini (et avec lui son histoire), et s'il s'en présente d'autres plus forts, plus rudes, plus enracinés, eh bien nous irons vers lui. Le blanc beta, qui n'a pas su nous contenir, n'a plus qu'à financer tout cela — le résultat de sa faiblesse, le résultat de nos pulsions.

Bien avant de perdre la guerre contre l'envahisseur étranger, l'homme occidental a perdu la guerre contre l'autre sexe.

La mère de toutes les défaites.
27 octobre 2016, 16:57   Re : Des cœurs simples
Je prendrai au sérieux la compassion des Rabin et consorts quand je la leur verrai réserver en priorité à leur prochain le plus proche à savoir leurs compatriotes dans la misère et aux pires victimes de notre société que sont les vieillards grabataires, baveux et pisseux abandonnés dans les hospices, plutôt qu'aux jeunes malabars africains.
Utilisateur anonyme
27 octobre 2016, 17:22   Re : Des cœurs simples
À monsieur Mavrakis,
Merci pour votre réponse.
De la même façon qu'il y a une forte proportion de délinquants parmi les Noirs et les Arabes, il y a une forte proportion de remplacistes parmi les Juifs. Cela n'implique pas que tous les délinquants soient des Noirs ou des Arabes ni que tous les remplacistes soient des Juifs.
"Alors quoi, si on a simplement bon cœur, aussi bête cela soit-il, et si l'on est résolument dans le camp opposé, on est forcément putes ?
Psycho sexualisante à deux balles, quand même, trop facile, très ressassé..."

On aimerait bien vous suivre, Alain, mais avec Mme Rabin, franchement, on ne voit pas comment se contenter d'invoquer son "bon cœur". Son laïus est tout sauf "simple", tout sauf "bête" et il n'est pas le fait d'une "pute". C'est une incantation assez délirante adressée à des colonnes d'hommes seuls par une femme et, que je sache, rien de tel n'a été produit par une élue à l'adresse d'autres femmes, pas plus qu'à leurs enfants qui n'ont d'autre rôle à jouer dans cette affaire que sous la forme de cadavres photographiés (au passage, cela ruine complètement ce que l'on répète depuis des mois quant à la composition des troupes de transfuges.) Non, sincèrement, le discours de cette élue est un cri du cœur, pour user d'un terme poli.
28 octobre 2016, 19:12   Un point de vue féministe
Je reconnais volontiers que cette Mme Rabin est gratinée, et frémissante, en matière de surenchère hospitalière, certes... Ce qui me gênait plutôt était cette sorte de ravalement systématique de toute femme, pourvu qu'elle manifeste quelque velléité de générosité envers les migrants, au rang de "salope" intégrale si évidemment débordée par un accès hormonal incoercible, avec le ton injurieux et méprisant de rigueur pour de telles souillons : d'abord parce que la seule biologie peine beaucoup à expliquer n'importe quel comportement un tant soit peu complexe, ensuite parce qu'à mes yeux, tout du moins, la franche et sensuelle salope est tout sauf objet de mépris.
28 octobre 2016, 21:41   Re : Un point de vue féministe
'' la franche et sensuelle salope est tout sauf objet de mépris.''
Justement. Ces bonnes femmes n'ont même pas le courage d'être de franches et sensuelles salopes. Ne pouvant se donner en chair et en os à ces jeunes mâles, elles se donnent à eux par France interposée en la leur livrant.
31 octobre 2016, 17:23   Fi !
Insensibles aux charmes de la femme française, quelle goujaterie ! Ou peut-être fuient-ils la guerre en Charente-Maritime ?

A nous les petites Anglaises
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 11:51   Re : Fi !
Encore et toujours cet amour inconditionnel et sans fin des femmes occidentales pour les “migrants” (cf. la vidéo) :
[www.fdesouche.com]
Au Moyen-Orient et en Asie arabisée, la présence occidentale se réduit désormais à des ONG, dirigées par des femmes, et à des reporters, et autres catégories de journalistes, qui sont majoritairement des femmes. Dans ma jeunesse, j'ai comme tout le monde croisé ces filles, qui, comme on le disait alors, "ne sortent qu'avec des Arabes".

L'arrivée fracassante en Europe de ces énormes vagues de vigoureux migrants ne pouvait que provoquer cette sorte d'orgasme géant, d'extase faussement affectée. Certaines vivent un réveil éveillé, et ne doivent plus savoir où donner de la tête.
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 15:08   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
La question n'est plus "combien de divisions?"... mais combien de pénis ???

A Malakoff, les migrants, pour Jacqueline, c'est no limit :

[m.leparisien.fr]
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 16:22   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
D'évidence, elle n'attendait que cela : le jour où elle allait enfin pouvoir, elle aussi, poser pour la photo entourée de ses chéris...
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 16:53   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
"réfugiés majoritairement originaires du Soudan, d’Érythrée et d’Afghanistan,"

Jacqueline,

Ça ne me regarde pas mais je te conseillerais plutôt de commencer ton "initiation" avec un jeune mâle afghan. Il paraît qu'au "marché aux migrants" on ne trouve pas plus vigoureux.
Il n'y a pas que Jacqueline et Monique, il y a aussi la pétillante Caroline, 22 ans, étudiante à Sciences Po :

[www.lemonde.fr]

(vidéo en bas de cette page du Monde qui contient un article sur le livre de Gilles Kepel).

On appréciera la sagesse du recul politique, la distance face à l'événement, la réflexion pertinente, originale, critique et profonde, chez cette jeune personne, et qui est la marque de cette école, Science Po, que le monde entier nous envie.

Caroline, dans une quinzaine d'années, si rien n'advient, sera déjà Secrétaire d'Etat. Elle gouvernera, régentera avec les pairs de sa caste, les vies de 60 millions de Français. Elle tranchera, opèrera des choix de société qui façonneront le pays, sa collectivité, ses paysages, de manière irréversible. De quoi sérieusement envisager d'émigrer dès aujourd'hui en Australie ou en Hongrie, pour votre avenir, et celui de vos éventuels enfants.
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 17:43   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Il est tout de même piquant de voir des centaines de femmes, jeunes ou moins jeunes, et qui doivent toutes se revendiquer à un degré ou un autre du féminisme, se dépêcher d'aller préparer à manger à ces cohortes de mâles “ancienne manière”. Ceci après avoir passé quarante années ou plus à vilipender machisme et patriarcat.

Et voilà qu'elles reprennent toute affaire cessante leur destinée archaïque et première, qui n'a jamais consisté, en fin de compte, qu'à enfanter et faire la popote.

Ces ardentes féministes, on s'en souvient, n'ont guère bronché suite aux viols de Cologne.

Les historiens expliquent volontiers qu'à l'issue de batailles victorieuses, les conquérants violent les femmes des villes et régions conquises. Peut-être, mais enfin, elles n'ont pas vraiment l'air de se refuser à eux — au contraire, comme on le voit ici. Comment imaginer en effet que Caroline, 22 ans, Sciences-Po, voix lunaire et lunettes rouges, ne tombe pas sous le charme d'un “réfugié” qu'elle pourra aimer doublement en ses qualités conjointes d'enfant égaré de la mondialisation et d'amant viril et conquérant chargé de sang neuf ?
Utilisateur anonyme
05 novembre 2016, 20:03   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Et voilà qu'elles reprennent toute affaire cessante leur destinée archaïque et première, qui n'a jamais consisté, en fin de compte, qu'à enfanter et faire la popote

Amusant.

Comme quoi les Françaises sont sympas, et gentilles, et soumises... Il suffit de savoir s'y (les) prendre.
La politique n'est pas une affaire de femmes.
C'est possible, après tout. Quand on voit Caroline (la petite écervelée de 22 ans, dans la vidéo du Monde), on a envie de renommer son école Sciences Popote.
Les femmes étant par nature différentes des hommes il faut en cesser avec cette obsession de l'égalité des sexes. Chacun à un rôle spécifique à jouer au cours de sa vie et rien n'y changera.
Utilisateur anonyme
07 novembre 2016, 12:12   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Citation
Guy Bert
Les femmes étant par nature différentes des hommes il faut en cesser avec cette obsession de l'égalité des sexes. Chacun à un rôle spécifique à jouer au cours de sa vie et rien n'y changera.

Ah bah c'est bein vrai ça !...
La question du bien public est rarement située sur l'axe où s'égrènent leurs personnalités et leurs soucis humains. Cet axe est celui qui va du pôle du narcissisme absolu (Ségolène Royal) à l'altruisme absolu (Jeanne d'Arc, Mère Teresa). Le souci du bien public et du politique est extérieur à cet axe qui court de l'acaparement de tout à soi au don absolu de soi.

Mais il y a des exceptions : en France, Natacha Polony, par exemple, semble être capable et avoir le goût de penser le bien public.

Le bien public est chose ennuyeuse, trop extérieure à soi pour passionner les femmes bien longtemps.

En Corée, ils ont élu une femme, Mme Park, en croyant bien faire : une femme, au moins, ne se corromprait pas aussi vite qu'un homme, elle ne confierait pas les secrets d'Etat sur l'oreiller à une gourgandine -- si le pouvoir corrompt absolument, il le fait moins rapidement sur les femmes que sur les hommes -- las ! voilà la dame qui se montre aujourd'hui, à l'issu d'un délai de brièveté record, sous les flash des médias, contrite en aveux coupables des mêmes vices de concussion que ses prédécesseurs hommes.

Il est possible que cela soit propre à leur sexe, comme le nôtre s'ennuie vite à se donner à fond à autrui -- impossible à un homme de se passionner pour le goûter des petits à préparer pour le lendemain -- comme il ne saurait s'attarder des heures sur le choix d'un fond de teint ou d'un mascara.

Nous parlons des penchants naturels et profonds : il va sans dire qu'un Cambadélis, en France, n'a pas plus le sens commun ni celui du bien public que ma concierge, qui ferait de toute façon bien mieux que lui à la tête du parti au pouvoir en France.
Utilisateur anonyme
07 novembre 2016, 18:19   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Lévi-Strauss parlait jadis du "signifiant flottant" du langage. On pourrait parler aujourd'hui de "l'insignifiant flottant" du politique, dont l'indifférence au bien public est un exemple parmi d'autres.
La théorie du genre a rebattu les cartes des manières d'être et des comportements, et si les attitudes et dispositions que rappelle Francis Marche ont la vie dure, on sent bien que les putschistes de l'indétermination sont en train de gagner la partie. Les hommes castrés ont d'abord été supplantés par des sortes de mixtes humains, opérés ou sur le point de l'être, à l'intérieur desquels les idéaux du moi masculin et féminin se font la guerre. Puis le Grand remplacement étant passé par là, des Afghans et des Africains de l'est, en rut et phallocrates comme jamais on le fut dans les sociétés méditerranéennes, se sont carrément substitués, dans un pays comme la Suède, aux hommes d'antan, des hommes laissés pour mort par un demi-siècle d'humiliations et de châtiments féministes.
La politique est une "occupation froide", Mitterrand, reptile à sang froid, y excellait. C'est une "science froide" et détachée, où le souci de l'ego est par définition secondaire, effacé devant celui du bien public, sujet froid, non passionnel.

Sa féminisation et sa médiatisation en ont fait une "occupation chaude", une question d'épiderme et de tutoiement, de personnalité. Le spectacle des primaires le démontre en l'envi : tout n'y est plus question que de "projet personnel", de valeur et de cote personnelles, et le spectacle devenant show il n'est plus qu'une tempête, un maëlstrom de narcissismes. L'homme politique (cf l'épiphénomène Montebourg) n'est plus qu'un coq de basse-cour que les femmes journalistes notent comme les hommes notent les femmes dans les concours de beauté féminin. Le meilleur est celui qui emportera la femme journaliste la plus en vue sur son coursier pour une chevauchée dans le désert et le couchant, vers Marrakech.

Le nirvana passionnel de l'homme politique français : se taper une journaliste de prime time et le faire savoir.

Le nirvana de la femme journaliste politique (désormais majoritaire dans la corporation) : la même chose dans l'autre sens.
Sur une des femmes politiques les plus en vue en France depuis 20 ans, monstre chaud, volcan d'égocentrisme narcissique:

[video.lefigaro.fr]

L'image est féminine, elle est la préoccupation féminine par excellence. Il n'y a rien de péjoratif dans ce constat, puisque l'image est le véhicule par excellence du Beau. Mais sur une science froide comme la politique, la préoccupation d'image est dévastatrice.
Utilisateur anonyme
08 novembre 2016, 06:52   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
@Pierre Jean
"La théorie du genre a rebattu les cartes des manières d'être et des comportements, et si les attitudes et dispositions que rappelle Francis Marche ont la vie dure, on sent bien que les putschistes de l'indétermination sont en train de gagner la partie"


On le constate tout particulièrement à école, où l'on n'apprend plus grand chose, sinon à "lutter contre les stéréotypes", c.a.d. à en créer de nouveaux, "corrects" ceux-là.
Plus on y pense plus on se dit que narcissisme (amour de sa propre image) et altruisme sont les deux faces d'une même médaille : pas de don altruiste de soi sans "s'aimer aimant" narcissique, ce qui est bien connu ; et l'autre face, qui l'est moins : pas d'amour de soi sans don sacrificiel de sa propre image à autrui ("souffrir pour être beau" ; "avoir orgueilleusement sacrifié sa vie privée à sa vie publique", etc.), ne serait-ce que pour les besoins, troubles et insondables, de la diffusion du Beau.

C'est dans cette dynamique d'échange complexe entre amour de soi et amour de l'autre que la femme excelle, fait florès, dans sa vie privée comme dans sa vie publique. Pauvre créature, qui ne peut vivre autrement que dans ce rapport dynamique, dialectique, intense et passionnel entre soi et autrui, et qui, en matière politique, a assassiné le bien public, a contaminé les hommes politiques qui ne ne sont plus que de petites femelles en quête d'image, et qui sont devenus pires encore, car l'imitation est toujours pire que l'original, que la dernière des petites échauffées servant la soupe aux beaux migrants aux regards si doux et si bouleversants d'exilés, façon "singe en hiver" grelottant sous le manque d'amour, lequel il faut s'empresser de leur procurer.
Sur ce plan, Donald Trump n'est pas meilleur que Mme Clinton : si sa virilité a été visée dans les attaques lancées contre sa réputation, ce n'est pas pour rien. Le cirque médiatique dévirilise, féminise, androgynise (Mick Jagger, avant de se lancer dans une carrière de rock star, avait sérieusement envisagé de se lancer en politique -- l'androgynat de son image eût pris la même voie que celle de la rock star; il eût été mêmement comblé de succès et se fût coulé dans un moule imagier semblable à celui qu'il donne à voir encore aujourd'hui).

Le souci d'image fait de l'homme politique une gonzesse. Pourquoi ne pas le dire simplement ?
Utilisateur anonyme
08 novembre 2016, 10:03   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Le souci d'image fait de l'homme politique une gonzesse. Pourquoi ne pas le dire simplement ?
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Mouais... Et Hitler ?, par ex., avec Hoffmann accroché à ses baskets, avec ses milliers de portraits, les albums photo dont on devait se procurer les images, les vignettes, une par une, c'était une gonzesse Francis ? Idem pour tous les dictateurs.
Le phénomène n'est pas nouveau, déjà magistralement analysé par Guy Débord (spectaculaire intégré/spectaculaire diffus, etc.).
Je pensais à Hitler en écrivant cela figurez-vous (et à vous Pascal*, n'y voyez pas offense je vous prie) : Hitler était une gonzesse. Con comme une bite. Seul un homme-gonzesse peut finir comme il a fini.

Hystérique comme Hilary Clinton, Ségolène Royal ou l'autre folle: Mussolini.


* Je veux dire "à vous prêt à m'opposer le cas Hitler"
Les grands politiques du spectacle ces cinq dernières années ont été les pitres sanguinaires de l'Etat islamique. Ces narcissistes hystériques sont en train de se la jouer "martyrs d'Or". Ils sont en train de finir comme toutes grandes folles hystériques (Hitler, Mussolini) -- dans le martyre sublime et toujours spectaculaire, dans le don de soi narcissiste :

[www.lemonde.fr]

(oui, bien sûr, Guy Debord, comme Bergson dans un autre domaine : à dépasser)

Il existe sur YouTube et ailleurs de brefs documentaires de ces combattants de l'EI, filmés depuis leurs lignes. Avez-vous vu comment ils se battent ? Comme des dindes ! Au point que les bataillons de vraies femmes kurdes leurs flanquaient régulièrement la pâtée, et une trouille bleue.

Pire que les gonzesses : les hommes-gonzesses de la guerre et de la politique spectacle, dont fut Hitler et dont sont les hommes de Al-Bagdadi.
L'importance démesurée qu'a prise le cinéma et ses stars dans notre société a pour conséquence que les observateurs autorisés (à la ramener) et les faiseurs d'opinion , au lieu d'informer sur le réel, n'en donnent qu'une ''représentation'' au sens cinématographique du terme, mais une représentation de série B, pour midinettes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez, toutes entières dans la compassion de l'instant et l'amourette aveugle pour l'acteur confondu avec le héros. Les rôles y sont distribués une fois pour toutes, comme jadis celui des Indiens et des cow-boys : les ''migrants'' y sont toujours les gentils et le mâle européen ''de souche'', le méchant oppresseur. Cette situation nous fait vivre dans une sorte de ''cinémonde'' qui se substitue au monde réel, où beaucoup, en particulier les femmes, se complaisent à faire leur ''cinéma'' de nombrilistes compassionnels.
L'Etat islamique au Levant, pendant 3 ans, n'a fait que ça : du cinéma, du Hollywood, du snuff-movie (décapitations gore, immolations publiques, destructions de monuments assyriens au pic, etc.). Tout ce que ces gens ont fait était conçu pour la gallerie, pour le show. Ils n'ont été rien d'autre qu'une grosse société de production, très active qui, de temps en temps, organisait (Bataclan) des snuff-movies de masse avec du personnel prêt à se sacrifier pour la maison.

Il n'y manquait pas même la distribution de stupéfiants aux acteurs à titre gracieux, à titre d'incitation. Comme ça s'est toujours fait dans les grosses boîtes de l'industrie du spectacle.
La Pasionaria (Dolorès Irraburi): femme politique espagnole élue députée (communiste) des Asturies en février 1936, directement et indirectement responsable du déclenchement de la guerre d'Espagne.

Elle prononce devant les Cortes un discours contre la droite, en menaçant de mort José Calvo Sotelo, député monarchiste qui s'en était pris aux républicains et qui avait exigé la fin des attentats anti-cléricaux et des désordres fomentés par des miliciens communistes, lui lançant : « Cet homme a parlé pour la dernière fois » (Wikipédia).

La femme en politique, c'est ça : "Cet homme a parlé pour la dernière fois", c'est personnel vous savez. Pour la mafia, toujours dirigée par des hommes, si on doit vous buter, ça n'a rien de personnel. On n'a rien de personnel contre votre personne. La mafia est comme la politique : froideur, distance, réflexion muette et action. Elle vous bute parce qu'elle doit vous buter, pas parce qu'elle a une dent contre vous. La politique et la mafia, sont des plats qui se mangent froid.

La femme politique, elle, aime les plats chauds, la vengeance personnelle. Vous passerez à la casserole parce que sa passion hystérique l'exige.

L'assassinat de José Calvo Sotelo par les hommes de la Pasionaria a décidé Franco d'agir. Et ce fut quatre années d'enfer qui déchirèrent l'Espagne.

Dolorès Irraburi était comme les grandes folles qui se faisaient passer pour de grands fauves en Allemagne et en Italie dans cette époque : une sous-gonzesse qui ne tenait pas ses nerfs.

Dans la vidéo sur Ségolène Royal (voir supra) : des hommes sont prêts à mourir (et donc à tuer) pour elle.
Utilisateur anonyme
08 novembre 2016, 17:12   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
: Hitler était une gonzesse. Con comme une bite. Seul un homme-gonzesse peut finir comme il a fini.


Francis,

vous oubliez qu'Hitler était un grand, un très grand orateur... et là, croyez-moi, face à une foule immense le discours ou la parole politique c'est autre chose que "la primaire LR" sur un plateau TV : c'est un dialogue avec l'âme des masses ! Et ce sont les masses qui sont féminines, qui sont "des gonzesses" - pas Hitler, qui lui, en tant qu'orateur, incarne la puissance mâle autour de laquelle tout concourt à l'exaltation de l'âme collective.

Si nous suivons les témoignages de ceux qui l'ont approché Hitler semble avoir été un mélange déroutant d'illuminisme, de mysticisme, d'habilité calculatrice poussée à l'extrême. - Une gonzesse ? Face à lui, même des personnalités aussi puissantes que celles d'un Goering, Himmler ou Goebbels sont étouffées, écrasées. Non seulement aucun de ces hommes ne prend jamais de décisions essentielles, mais ces décisions sont prises en dehors d'eux par Hitler et par Hitler seul. Qu'il s'agisse des hommes ou des factions, les uns et les autres ne s'agitèrent que sous ses pieds.

Hitler une gonzesse ? Vraiment ?...
Soooo romantic !

Et l'image : le regard perdu, la chevelure soulevée par la brise... (on se croirait dans une superproduction illustrant les amours et affres de Gilliat et Déruchette des Travailleurs de la Mer de Hugo)

dans son anglais sucré de professeur iranien

Quand on se tue à vous dire, y compris par messages subliminaux comme celui-là, que ces cohortes de migrants sont remplies de professeurs et d'ingénieurs.

La Pravda-Le Monde dans ses oeuvres.
Par Lorraine de Foucher et Emeline Cazi

Ce doit être ça l'écriture "genrée". (Que cet article m'a énervé...)
J'apprends, en prenant connaissance des nouvelles d'Amérique, que les électeurs états-uniens ont lu nos mises en garde contre les femmes politiques dans le présent fil de discussion et qu'ils ont su en tirer tous les enseignements et les conclusions qui s'imposent.

J'y vois matière à nous en féliciter, et à mettre en exergue l'influence, trop souvent minorée, de l'In-nocence sur la vie politique internationale.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 10:44   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
La démographie est impitoyable, et dans quelques décennies on verra les dernières blondes comme en d'autres temps on vit les dernières Vénus hottentotes.

Trump est le dernier sursaut d'orgueil de l'homme blanc aux USA.
Il a aussi gagné par défaut : la personne d'Hillary Clinton n'inspire pas l'électeur à se déplacer aux urnes, même chez ceux qui auraient jugé préférable de la voir à la Maison Blanche au lieu du grand gougnafier à la cravatte qui lui bat la braguette. Et puis il y a l'aversion américaine, très peu perçue en France, mais qui se réveille là-bas quand il s'agit de porter à la magistrature suprême du pays la femme d'un homme, la même famille donc, qui l'a déjà occupée (la magistrature). Ils ont déjà fait ça pour le fils d'un président (les Bush), pour des résultats assez peu convainquants, et ont éprouvé des réticiences à refaire l'expérience avec une "épouse d'ex-président". Certains commentateurs américains disaient par exemple qu'elle "connaissait trop bien le bureau ovale". L'Amérique n'est pas et ne sera jamais la Roumanie des Caucescu ou le Pakistan de Benazir Butto (paix à son âme).

Les Français eux, n'ont pas de ces réflexes qu'il faudrait dire essentiellement républicains : ils acceptent pour ministre Ségolène Royal, ex-compagne et mère des enfants du président actuel qui a cumulé vestes électorales sur vestes électorales partout où elle s'est présentée depuis sept ou huit ans. Personne, chez les "commentateurs" de la vie politique française, à l'exception d'un auteur qui a récemment fait paraître un livre sur le personnage, ne paraît s'en émouvoir.

D'ailleurs la défaite de Hillary Clinton face à Trump ressemble à s'y méprendre à celle de Ségolène face à Sarkozy en 2007. Comme Ségolène, Hillary était "limite fout la trouille", hystérique, "instable" (comme on dit là-bas), obnubilée par elle-même, dans un état d'auto-éblouissement permanent confinant à l'autisme.

"Lock her up!" (Enfermez-la !) s'écriaient les partisans de Trump à l'annonce de la victoire du candidat républicain.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 11:44   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Et Trump?, Francis, c'est aussi une gonzesse ?
Nous avons quatre ans pour en juger.
En voyant loin, ce dont les Américains ne voulaient pas, aussi, c'est de la fille, Chelsea. Sa candidature se profilait déjà à l'horizon.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 14:13   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Heureusement que sur France 2 Anne Sinclair ("pro Clinton" s'il en est) nous expliquait pourquoi un tel "vote irrationnel" l'avait emporté...
Oui, c'est irrationnel de ne plus vouloir vivre dans un pays où l'on peut passer des mois sans entendre un seul mot d'anglais.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 14:23   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Ouais, et c'est marrant cette façon qu'ils ont de décider que tel vote est "rationnel" et tel autre pas.
Ils ne se rendent même pas compte de la Détestation qu'ils inspirent. Incroyable.
Le Nobel à Bob Dylan (ce dont la grande majorité des Américains est extrêmement fière, figurez-vous et à juste titre), la présidence à Trump un mois plus tard. Et après ça certains vous contesteront que les Usa sont un pays merveilleux où tout est décidément encore possible.
Il est temps qu'un esprit aiguisé se penche sur les réactions débilo-hystériques que suscite désormais ce genre d'événement au sein des couches dénationalisées de la population mondiale. Sidération, pleurnicheries, grossièretés haineuses. La liberté d'expression dévoyée sur les réseaux sociaux, cela donne également ce purin-là.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 14:51   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
Citation
Pierre Jean Comolli
Il est temps qu'un esprit aiguisé se penche sur les réactions débilo-hystériques que suscite désormais ce genre d'événement au sein des couches dénationalisées de la population mondiale. Sidération, pleurnicheries, grossièretés haineuses. La liberté d'expression dévoyée sur les réseaux sociaux, cela donne également ce purin-là.

Un "purin haut de gamme", on va dire.
Utilisateur anonyme
09 novembre 2016, 17:23   Re : Monique Rabin ou le grand-remplacisme décomplexé.
« Et après ça certains vous contesteront que les Usa sont un pays merveilleux où tout est décidément encore possible. »

Le Nobel attribué à Dylan en dit bien plus sur l'académie de Stockholm que sur la culture aux Etats-Unis.

N'empêche, quel peuple, en effet ! Ils ont parfaitement compris ce qu'il leur arrivait. Ils tiennent à leur constitution (qui fonctionne encore bien), à leurs droits, à leur identité, à leur âme et à leurs armes.

Et ils ont parfaitement raison.
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